En route pour le troupeau du mois (2/3).

Je venais de prendre la route, pour le fameux troupeau du mois. J’étais partit récemment de Lavanville, et mes pas me conduisait vers la «capitale » de la région Kanto, Céladopole. Ville commerciale qui allait me faire un choc comparé à Lavanville, elle était surement la deuxième ville à ameuter le plus de touristes. La première étant Carmin. C’était aussi plus facile, étant une zone portuaire. Mais il fallait avouer que la ville avait un charme marin, irrésistible. Céladopole elle était la mégalopole moderne, immense qui serait bondé de monde. Je n’aimais pas quand il y avait foule, et j’avais hésité à passer à côté, mais je devais emprunter la piste cyclable pour aller à mon prochain point, Parmanie. J’avais heureusement l’argent nécessaire pour emprunter un vélo, sinon, j’aurai dut marcher de nombreux kilomètres… J’avais déjà entamé une si longue randonnée à Hoenn, et j’avais été épuise. Quand je pense que si j’avais dut éviter ce passage, j’aurai au moins fait trois fois pire. Je n’étais pas vraiment sportif en plus… M’enfin la question n’était pas là, j’avais l’argent ! En attendant la route qui reliait Lavanville et Céladopole était bien jolie. J’avais dut refuser de nombreuses offres de combats dresseurs qui avait repérés mes Pokéball attaché à ma ceinture. Espérons que ce soit plus calme dans la ville à ce niveau là…

(…)

Oui dans la ville, c’était vraiment plus calme à ce niveau. J’étais en plein centre-ville, entouré de buildings, de casinos… La foule était en masse si bien que j’étais percuté dans tous les sens. Je n’avais même pas le temps de regarder qui m’avait bousculé que j’étais encadré de nouvelles personnes. Je pensais à ce moment à ceux qui n’aimait pas la foule… Moi ça allait, mais c’est vrai qu’en abondance comme ça. Je tentais de me frayer un chemin, tant bien que mal pour voir enfin un panneau, piste cyclable.

(…)

J’avais l’impression d’être poster dans la foule depuis une éternité, mais j’avais enfin repéré le bâtiment qui menait à cette chère piste. Je me dégageai de la foule principale, pour être enfin un peu plus libre. Je rejoignais à pas vif, le bâtiment. A l’intérieur, il y avait une queue assez impressionnante pour louer un vélo… Super si il y avait bien une chose que je n’aimais pas contre était les files d’attente. Je commençai à bidouiller mon Pokénav, pas de réseau… Super. Bon ben… Patientons !
Après plus d’une heure, c’était mon tour. Heureusement qu’il restait un vélo… Le seul moyen d eme faire péter un câble, rupture de stock. Après avoir déposé la modique somme de 50 P$ sur le comptoir, je m’en allais goûter à la joie du cyclisme.