[Terminée] Gabrielle Galt

Comment tu t’appelles ?

Gabrielle Galt

Superbe prénom, et t'as quel âge ?

Dix huit ans.

Dans quelle région es tu actuellement ?

Hoenn.

Ah au fait, c'est quoi ton métier exactement ?

Rien de spéciale, j'essaie de me trouver moi même.

Et quel est ton Pokémon ?

Mimitoss, avec Pics Toxik en repro.

Okay, et dis moi à quoi tu ressembles maintenant.

Passerais je sur les détails de base ? Je suis grande, Un mètre soixante quinze, je fais cinquante cinq kilos. Je suis de silhouette plutôt fine, sans être menu. Je pratique régulièrement du sport, comme mon crétin de frère, sauf que je m'y implique pour de bon. Je pratique régulièrement le VTT, la course à pied, la randonné, et le karaté, ou j'ai finis championne régionale (à Kanto). Tout cela a contribuer à me façonner un corps agréable, fin, musclé sans une once de graisse, sauf au niveau de mes seins, qui sont de taille normale.
J'ai la peau assez pâle, comme ma mère, alors que mon enfoiré de frère bronze comme un caramel au soleil, je rougit et brûle lamentablement, sans doute à cause de mon ascendance nordique. C'est triste. Et ça me coûte une fortune en crème solaire indice 100.
J'ai quelques tache de rousseurs discrète sur les pommettes de mon visage. Ce même visage est encadré ma une chevelure blonde abondante qui libérée retombe jusque sur mes reins, mais pour  plus de commodité, je les coiffe en chignon quand je sort. Mes yeux sont de la couleur de l'or, ou bien du bronze selon l'éclairage, sans nuances ou presque, mes lèvres sont fines, naturellement rouge et contrastent avec la blancheur de ma peau.


Et comment tu te comportes seul, avec les autres...

J'ai longtemps été dans l'ombre de mon frère. Etant la cadette de le famille, j'étais la préféré de ma mère, tandis que l'affection de mon père se porta sur John. Enfant, j'étais jalouse de leur relation. Car si ma mère m'aimait, elle m'aimait comme une petite fille, et non comme une femme que je suis devenu plus tard. Elle ne m'as jamais prise au sérieux, et bien que mon père eu tendance à me responsabiliser, j'ai beaucoup souffert de cette surprotection maternelle, allant jusqu’à de violentes colères contre ma mère.  Mes amis me décrivent comme quelqu'un de  jovial, de gentil, ouverte, curieuse, et toujours prête à débattre sur quoi que ce soit. J'ai été militante très jeune dans diverse association de protection des pokemons, allant jusqu'au militantisme terroriste, sabotage de laboratoires pharmaceutiques, d’entrepôts soupçonnés d'appartenir à la team rocket. Pas des occupation  pour une jeune femme. Suivant en parallèle des études d'éleveuse avant d'abandonner, j'ai suivis  plusieurs cursus mais n'ai accroché à aucun. Des test de QI on placé  mon intelligence au dessus de la normal, mais je n'ai jamais su quoi faire de toute cette matière grise. Je suis un peu perdu, la vie me fait parfois  peur, mais je m’efforce de le cacher au yeux des autres. J'aime vagabonder, me promener, être seul, qui est un point que je partage avec mon frère. Nous n'avons jamais campé ensemble, mais il m'a toujours couverte lors de mes escapades nocturne. Paradoxalement, la distances entre nous nous à rapprochés.


Qu'as tu à me raconter à propos de ton passé ?

Pas grand chose, juste des bribes, des souvenirs flou mêlés à l'imaginaire pour combler les vides de la mémoire. Je croit que j'ai jamais cessé d'être consciente de l'injustice du monde, depuis que je suis en age de comprendre, et ce fut très tôt. Toute violence me répugne, sauf quand il s'agit d'une urgence vitale.

Tout comme john, j'ai grandis dans la pension de mes parents, sur la route 1, près de Bourg Palette. Ce petit coin de paradis est entouré de grande  prairies sauvages peuplé de pokémon. De grand prés d'herbe verte et grasse, de vaste forêt sur les contrefort de la montagne, parcouru de dizaine de ruisseau de fonte de glace, de torrents intrépides à l'eau pur et fraîche. Dans l'air, le parfums de milliers de fleurs, trèfles, pissenlits, coquelicots, roses sauvages, lavandes, genièvre, mures et fraises sauvages, pommiers et cerisiers, arbres à baies délicieuses et sucrées, chênes et marronniers. Au printemps, une débauche de vie colossale glissant sur les terre de l'hivers, percutant tout sur son passage, les crocus et perces neiges partant à l'assaut de la lumière dès les premiers rayons de soleil, tandis qu'un vent chaud venant du large balaie la terre, la réveillant de son sommeil. Une explosion de couleur dantesque propre à émerveiller même l'âme la plus blasée. Et la nature sauvage croissait, et l'on pouvait l'entendre. La glace fondait sous les rayons ardents en grossissant le lit des torrents qui bouillonnaient en charriant la terre lourde et grasse, fertile, qui n'attendait que ce signal pour se couvrir d'une parure végétal impératrice et réceptive. Dans ce vivier, pullulait les pokemons de toute types et formes. Simple insectes intéressés par l'abondance de vie, lézards paressant au soleil, insectes volant butinant jusqu'a l'ivresse, jeune oisillons sachant à peine voler faisant  la course à travers les arbres, troupeaux broutant paisiblement. Je courrais pieds nues, petite, agitant une branche, soulevant de grands essaims de papillusion sur mon passage. Le vie revenait tout les ans chez nous avec violence et passion, et je crois dire que ce spectacle restera le plus beau qui m'est été donné de voir.

C'est ici que j'ai grandit, dans les vapeurs chaudes des sources. Une eau riche en fer et minéraux remontait à travers l'écorce terrestre depuis le noyaux du monde, un voyage lent prenant des dizaines d'années, et jaillissait en bouillonnant dans de grands bassins aménagés par ma famille. nous étions  à la fois thalasso et pension. Les dresseurs pouvaient nous laisser leurs pokémons, nous les leur rendions en pleine forme, et ces mêmes dresseurs restaient  parfois profiter des bassins.
Longtemps, enfant, j'ai cru qu'un pokemon légendaire se terrait sous terre, et que c'est son corps brûlant qui faisait chauffer l'eau à son contact. Mon père me répétait de ne pas courir dans la maison, sinon le bruit de mes pas allait lui parvenir, il se réveillerait et serait en colère. Longtemps, j'ai écouté, dans le noir, entre ma respiration et les battements de mon coeur, j'ai guetté les signes avant coureur de son approche, et combien de fois n'ais je pas sursautée au moindre grincement du plancher ?

C'est la que j'ai grandis.

Un jour, vers mes six ans, un cirque pokemon est passé près de chez moi. Figuant une  nuit, je m'introduisait dans leur tentes et me cachait pour partir avec eux. Je suis resté dans le cirque trois semaine, le temps que celui ci arrive à Azuria, ou la police m'a récupéré. Dans cette troupe, j'étais devenue la mascotte, j'étais la petite fille sage qui aimait se déguiser et se grimer pour surprendre son monde.
A mon retour, j'ai eu droit aux larmes et aux cris. On m'enferma, on m'interdit de sortir le soir, de jouer dehors, et plus mes parents durcissaient sur leurs positions, plus j'avais envie de voir le monde. C'est dans mes gènes, ma dit mon père un jours.

A l'école, j'ai eu des amis, puis bien plus tard, des petits amis. Le souvenir de la nature sauvage, des  odeurs, de la chaleur de son corps sur le miens ce soir là. Il était gentil, j'ai oublié son nom, j'avais quinze ans.

Mimitoss et moi, cela fait plusieurs années que l'on se connait, il est comme un ami pour moi, un confident, il est sensible à mes humeurs, à moi en général, et je crois être plus  proche de lui que de bien des être humains. Il s'est rapproché de moi le jours de mes douze ans, attiré par le festin, affamé lui même, il à franchis la clôture, et, se perdant, il s'est caché dans ma chambre. C'est si simple, c'est ça que j'aime.

Maintenant que ma majorité est consommé, je part, je part pour découvrir de la nouveauté mais aussi me découvrir moi même, savoir ce que je veut, quel est mon rôle dans tout ça, quel est mon but,et quel traces  de mon passage sur terre laisserais je après ma mort ?
Une âme tourmentée ne marche pas sereinement, mais elle marche avec détermination, même vers l'inconnue.
 
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Comment as-tu trouvé notre forum ?

DC de John Hugo Galt, le dresseur cool.

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Ayase Eri, de Love Live!

Rebienvenue à toi, dresseur cool !

El possède les capacités Charge, Entrave, Clairvoyance ainsi qu'une capacité par production de ton choix. Tu connais la suite de la chanson mais n'oublie pas cependant de faire recenser ton double compte en plus, je te souhaite de bons RPs avec ce perso !