Juan "Jhin" De Luca

Comment tu t’appelles ? Juan de mon prénom, De Luca étant mon nom famille. Jhin est le prénom de ... L'autre.
Superbe prénom, et t'as quel âge ? 22 ans.
Dans quelle région es tu actuellement ? Hoenn, au Site Météore.
Ah au fait, c'est quoi ton métier exactement ? En dehors d'être un peintre et amateur d'art, Dresseur pourrait être une dénomination me correspondant.
Et quel est ton Pokémon ? Dans le berceau d'une pluie d'étoiles filantes, un Météno est tombé. Dorénavant, il est mien. Lui et moi nous ressemblons tant ...

Okay, et dis moi à quoi tu ressembles maintenant.

Juan et son alter ego sont en tout points identiques physiquement parlant étant donnés qu'ils partagent le même corps. De longs cheveux de jais en bataille, des sourcils épais qui surmontent une paire d'yeux noirs, un petit nez et des lèvres pulpeuses, le tout le rendant légèrement plus "mignon" que "beau". Il culmine toutefois de son mètre quatre vingt douze, son poids léger en faisant quelqu'un de mince, presque rachitique vu sa grandeur. Juan porte des vêtements grandiloquents pouvant parfois rappeler des tenues de théâtres, des manteaux et robes valant une petite richesse.

Et comment tu te comportes seul, avec les autres...

Juan est un jeune homme un peu étrange. Plutôt dans la lune et taciturne, il peut soudainement devenir une vraie pipelette ou commencer à parler d'un sujet n'ayant aucun rapport avec la conversation actuelle. C'est un grand amateur d'art et un véritable génie dans cette matière : Peintre, sculpteur et même auteur et compositeur d'une unique chanson dans deux langues différentes en même temps. Malgré cela il évite beaucoup de se montrer en grand public, tassant son succès. Il dispose d'idéaux chevaleresques, ayant de fortes impulsions de protection envers la veuve et l'orphelin, malgré le fait qu'il ne connaissent d'autres armes que sa parole et qu'il soit très fragile mentalement parlant. Mais parfois, tout ne se passe pas comme prévu et là ...

...Vient le temps d'enfiler le masque de Jhin, les choses changent. Son attrait pour l'art s'étend à de nouvelles possibilités telle que la douleur, le sang et même la mort. La seconde personnalité sait se contrôler car Il sait très bien que des répercussions sur ses actes ne pourraient qu'empêcher la pratique de son art si particulier. Jhin est un homme mentalement plus vieux que Juan, possiblement d'une vingtaine d'années, ayant donc une certaine sagesse dans ses propos qui ne sont tenus qu'en italien. Jhin est la partie noire de ce corps pourtant si jeune, ayant engrangé en secret pendant des années de l'expérience dans des moyens macabres d'arriver à ses fins. Il est à noter que là où Juan ne sait à peine que tenir une arme, Jhin est doué de nombreuses lames et armes à feux, ayant toutefois une préférence pour les fusils.

Pour faire la transition entre les deux êtres foncièrement différents, le propriétaire originel de ce corps enfile et enlève un demi-masque fait sur mesure  dans une matière quasiment indestructible pour laisser la place à L'Autre. Ce geste si particulier provoque automatiquement le remplacement et passer de l'un à l'autre sans ce rituel demande des efforts considérables à chacun, leur laissant pendant de longues heures des douleurs crâniennes à en briser un Charkos.

En résumé, son comportement sera donc assez décalé : Tantôt un jeune homme un peu étrange, dans la lune et difficile à parler avec mais foncièrement bon, tantôt un vieux loup dangereux refrénant ses pulsions meurtrières mais parfois plein de sagesse. Tant de points communs avec un Météno, n'est-ce pas ?

Qu'as tu à me raconter à propos de ton passé ?

Depuis son plus jeune âge, Juan est le fils d'une grande ponte de la finance. Il aurait dût être promis à une vie simple remplie d'argent, de monnaie et d'encore plus de flouze. Seulement, les complications commencèrent dès sa naissance. De graves problèmes à l'accouchement tuèrent la mère, tout en entraînant le fils baigné dans le sang maternel sous assistance respiratoire pendant quatre longs mois où chaque jour sa survie était questionnée. Le père fut déchiré par la perte ce qui eut des conséquences radicales sur la puissance économique qu'il était.

Les années passent, le diagnostic de son paternel tombe alors que Juan rentre en pleine puberté. Son fils n'est pas normal. La chair de sa chair, le sang de son sang agit parfois comme un véritable dément, prononçant des insultes dans une langue qu'il ne connait pas, détruisant le mobilier avec une force qui ne lui appartient pas et ne se souvient jamais de rien après chacune de ses crises. Il est alors placé dans un "centre de rétablissement, pour son propre bien" où il restera 95% de son temps allongé sur son lit dans une camisole, shooté à des cocktails de médicaments gentiment prodigués par des "médecins" surpayés pour garder des zombies.

C'est au bout de trois longues années que l'adolescent pourra alors revenir chez lui, reprendre une vie normale sont les termes de son paternel peu scrupuleux. Terriblement affecté par cette expérience plus que traumatisante, Juan trouvera sa rédemption dans l'art. D'abord aussi minuscule qu'un grain de sable, sa passion dévorante pour cet univers si grandiloquent finit par se transformer en un désir frénétique, presque compulsif de pouvoir admirer, écouter, composer, peindre.

Pendant tout ce temps, le jeune homme aura été laissé seul dans une petite maison rien qu'à lui au beau milieu de nulle part, livré des courses deux fois par mois, laissé à lui-même dans un désir d'éloigner le potentiel héritier. Car oui, son paternel s'est remarié avec une autre femme après tout ce temps et cette dernière, enceinte à vue d'oeil, voit justement d'un oeil mauvais la possible succession du fils unique "fou à lier" d'après ses termes.

Neuf ans ont passés depuis sa sortie de l'établissement psychiatrique. Depuis tant d'années, c'est la première fois qu'il as eu une crise d'une ampleur pareille. Il le sait car en regardant la date, quatre jours sont passés depuis qu'il commençait à se lever pour aller chercher à boire. Malgré tout il ne panique pas, regardant d'un air songeur les présents se trouvant sur sa table. A sa droite un sac de voyage visiblement bien rempli. Sur sa gauche, une feuille où est écrit quelques mots d'une écriture élégante, raffinée, presque pompeuse. Il n'as pas besoin de comprendre un traître mot de la langue utilisée sous ses yeux pour savoir qu'il la reconnait. Il n'as pas non plus besoin de comprendre cette langue pour savoir qu'une nouvelle vie s'ouvre à lui, alors qu'il enfile le demi-masque qui était posé sur la lettre. Ses yeux se ferment l'espace d'un instant avant qu'il ne les rouvrent, un sourire éclatant sur son visage, tout autant que le rire qu'il laisse échapper au même moment.

Sono ritornato, il mio ragazzo.

(N.D.A : L'histoire est assez confuse et brouillonne, je le conçois, surtout la partie sur le masque. Tout cela sera expliqué - probablement - plus amplement en RP au fil du temps. Je ne sais pas encore comment je vais me débrouiller avec tout ça, mais je pense que j'ai de quoi faire !)

As-tu repéré le code dans le règlement ?
Comment as-tu trouvé notre forum ? Pas difficile ... DC de Cathy Lalym ! :)
Quel objet rare choisis-tu ? Un Cherche VS.
Qui est le personnage sur ton avatar, d'où provient-il ? Un fanart de Jhin, un personnage de League of Legends très ... Particulier.