Déméter S.
Région : Hoenn Classe : Eleveuse Nombre de messages : 198 Age : 33
Feuille du personnage Equipe Pokémon: Objet du sac: Pokémon PC:
| Sujet: Pension de Déméter : Gobou et agent du gouvernement ? { Terminé. Ven 7 Juin - 18:05 | |
| Déméter venait d'acheter la pension et après quelques jours de rénovation et d'installation de nouveaux appareils, que toute pension se devaient d'avoir, elle pouvait prétendre à être ouverte. Metamorph n'était pas sans cacher la clé de toute cette histoire, il pouvait se métamorphoser en tous les Pokémon qui se trouvaient ici et pouvait donc... bref !
D'ailleurs a peine les boxes installé, la propriétaire avait eut une surprise avec Gobou, un oeuf rond avec une étrange couleur bleuté se trouver là. Elle le récupérera et le mit dans la couveuse prévu à cette effet, si un dresseur passait par là peut être en aurait-il besoin ? Déméter prévoyait justement de retourner en ville pour voir les prix d'un Terminal Mondial, peut être qu'elle pourrait s'en offrir un et le faire installer dans la pension ? Pour son usage personnel bien sur.
Déméter n'avait pas entendu la première fois qu'on toqua à la porte, trop absorbé par l'oeuf qu'elle tenait encore dans les mains, cependant au bout de quelques minutes, un grand fracas se fit entendre... La porte venait d'être défoncé ? Elle n'eut - malgré ses réflexe - pas le temps de se retourner et se retrouver en face de deux hommes vêtu de noir, elle sentie plus qu'autre le choses le pistolet taser contre ses côte, l’électricité parcoura son corps, la paralysant comme une attaque Cage-Eclair et toujours tenant l'oeuf contre soi, elle s'affala sur le sol. Elle tomba dans l'inconscience.
* - Il faut que je lave le sol... - *
Sa première pensée à la vue du sol de la chambre vide dans laquelle elle se retrouvait. Comment avait-elle atterri ici ? Elle essaya de se lever, mais en vain, elle était trop faible, mais surtout elle était attaché ! Alors elle essaya de parler, mais encore une fois c'était inutile, sa bouche était pâteuse et en plus un bâillon lui sceller les lèvres. La seule chose qu'elle pouvait faire c'était de bouger la tête, levant la tête, elle vit en face d'elle, deux hommes, vêtu de noir sous leurs blouses blanches... des blouses blanches qui ressemblaient tellement à celle d'un asile de fou.
* - Merde ! Ils me veulent quoi eux attendez que je me lève et j'vous crève ! - *
Un des homme semblait lire dans les pensées, car à peine venait-elle de penser ça, qu'il s'approcha avec un sourire et se pencha à son oreille.
- Quand tu ressortiras d'ici, tu seras une toute nouvelle femme ! Enfin... quand nous sortirons d'ici. Ne t'inquiète pas Déméter, tu ne vas absolument rien sentir. -
Sur ses belles paroles, elle sentie un aiguille lui entrée dans le bras et elle s'endormit de nouveau.
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Le petit matin au réveil, elle était confortablement installé dans son lit, le seul hic c'était cet affreux mal aux crânes, d'ailleurs cela la réveilla et d'un bond elle sauta sur ses jambes, provoquant de nouvelles douleurs à son cerveau. Hier ... mauvais rêve ? Cauchemar ? Ou réalité ? Elle se toucha la tête, l'endroit de sa douleur, un ... tissu ? Non... du bandage ! Se précipitant devant la glace de sa chambre, elle se regarda et effectivement, elle avait un bandage, qu'est-ce qu'il lui avait fait ! Alors qu'elle allait penser à des idées de meurtres, une douleur fulgurante lui traversa le corps, la base était son cerveau, la douleur était tellement puissante, qu'elle vomit, lui faisant oublié toute pensée meurtrière.
- Qu...qu'est-ce q...qu'ils... m'ont fait ! -
Les halètements qui sortait de sa bouche baveuse, elle les essuya d'un revers de manche. Elle se redressa et s'habille en quatrième vitesse, il lui avait fait quelques choses à la tête et elle devait découvrir quoi ! Si seulement Anderson était là... lui il saurait, la folie en lui saurait.
Elle descendit en titubant, arrivant finalement dans la cuisine, elle vit alors un objet posé sur le comptoir, à peine entra-t-elle en contact avec ce dernier, qu’il s’illumina, une mini personne habillé proprement d’un costume noir, tout ce qu’il y avait de plus professionnel. C’était un message holographique, une voix se fit entendre, comme si une personne lui parlait à l’oreille.
- Mademoiselle S. Nous sommes ravis de vous avoir retrouvé. Si vous avez mal à la tête cela est normal, nous vous avons implanté une puce dans le cortex cérébral celui qui régit toute vos pensées et vos intentions meurtrières ou maligne. Nous espérons ainsi vous faire avoir une vie normale de jeune Eleveuse. Vous ne pourrez ainsi plus faire de mal, tuer ou penser à mal, la puce ce chargera alors de vous envoyer une décharge dans votre tête, qui se répercutera sur tout votre corps. Bien sûr dans un cadre défensif et bien vous pourrez vous défendre ! Veuillez agréer, Mademoiselle S., nos sentiments les plus sincères. Ce message s’autodétruira dans 10 secondes. 1 … 2 … 3 -
Une puce, ils ne lui avaient même pas donné leurs identités, qui étaient-ils ? Elle ne pouvait plus penser à mal, d’ailleurs, à peine cela lui avait-il traversé l’esprit qu’une douleur sourde commençait à pointer le bout de son nez, elle se focalisa sur autre choses afin d’oublier, la douleur était insoutenable… c’était donc ça avoir mal ?
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