Comment tu t’appelles ?John Hugo Galt, mais tout le monde m’appelle Hugo , c'est plus simple.
Superbe prénom, et t'as quel âge ?J'ai 23 ans, mais tu es de la police ou quoi ?
Dans quel région es tu actuellement ? Kanto, dit c'est l'inquisition un peu là non ?
Ah au fait, c'est quoi ton métier exactement ?J'ambitionne d'être dresseur, je sais, c'est original.
Et quel est ton Pokémon ?Marcacrin, parceque.
Okay, et dis moi à quoi tu ressembles maintenant. Je ressemble à ma photo à gauche...
Pour les détails, je mesure un mètre quatre vingt cinq et je pèse quatre vingt kilos, un peu plus aux moments des fêtes. Mais comme je fait beaucoup de sport, j'élimine facilement. Malgré le fait que je fume comme un pompier, et que je mourrais probablement d'un horrible cancer, j'aime beaucoup courir et nager, et j'ai fait un peu de karaté étant plus jeune, il me reste de bonnes bases et je m'en sort pas trop mal en baston. Je suis blond foncé, je crois qu'on dit comme ça, j'ai les yeux vert pale, presque jaune, un nez fin, quelques taches de rousseurs discrète, un visage fin, lui aussi. J'ai une musculature moyenne, disons que comme je m'entretient, je suis pas à la rue quand il fait séduire, quoi. Je tire souvent la gueule et j'ai l'air blasé, mais faut pas si fier, intérieurement, je suis tout à fait jouasse, parfois. J'ai les dents blanche, je précise... Oui parce que vue que j'enfile mes deux paquets par jour, on pourrait croire que j'ai les chicos merdique, mais non, je les entretient comme un soldat entretient son arme, c'est à dire avec amour. J'aime fumé, mais j'aime encore plus mes dent blanches, voilà, c'est dit, il fallait que ça sorte.
Sinon, pour tout ce qui est fringues, vu que je m’apprête à voyager loin et souvent, je privilégie les vêtements de randonnées, sportif, des pantalons en toile solides et amples, des chaussures de marches, et quelques effets chauds type polaire, sous pull, manteau... enfin voilà quoi, je suis prévoyant. Mais j'ai quand même pris avec moi tout mes t-shirt de mes groupes favoris, c'est plus simple pour engager la conversation, parfois, et puis je les aiment trop. Le reste, bah, je préfère les fringues pratique. J'en vois se balader en minijupe tellement courte que ça en devient malsain, et quand je les regarde, j'ai froid pour eux. Je parle pas des autres qui ont des fringues tellement flashy qu'ils font fuirent les pokemons à un kilomètre aux alentours...
Bref.
Et comment tu te comportes seul, avec les autres... Bien.
En général.
D'accord, pour être honnête, j'ai pas beaucoup d'amis, je suis quelqu'un de solitaire. J'aime bien passé du temps chez moi, entre ma collection de disques, mes livres et mon pc. Je suis pas asocial non plus. J'ai fait des études de médecine que j'ai, heu, arrêté prématurément, la plupart de mes connaissances et amis viennent de là.
J'ai le contact facile, même si ma gueule de taulard et les cernes que j'ai a force de lire dans la pénombre ne sont pas forcément engageantes. J'aime bien faire la fête de temps en temps, et pas avec modération, mais ça reste assez rare.
En fait, disons que j'ai du mal à accorder ma confiance et que la phase « d'observation de l'autre » peut prendre de quelques semaines à plusieurs mois. Et je parle pas beaucoup, sauf quand je suis seul, j'aime mesurer mes paroles, et pas l'ouvrir pour rien.
Je prend les gens comme ils sont, avec leurs défauts et leurs qualités, et si le courant passe pas, je ne vais pas chercher à m'accrocher et je vais me barrer.
Ma devise : « Vas Chier. »
Qu'as tu à me raconter à propos de ton passé ? Je demande à parler à mon avocat, d'abord.
Bon, je suis née et j'ai toujours vécu à Kanto. Mes parents possèdent un terrain et exploitent des sources chaudes non loin de la route 01, ils possèdent un spa et accueillent une clientèle orientés « nouveau riches » que je n'ai jamais pu encadré. J'ai grandis dans un environnement familial stable, pas de parents divorcés, pas d'enfants battus, pas de meurtres horribles pour me traumatiser, je ne suis ni orphelin ni psychotique. J'ai une petite sœur de dix sept ans qui s'appelle Lisa, elle s'oriente en soin aux pokémons et est plutôt brillante dans ces études. Mon père était un dresseur venant de Jotho, il a pas mal voyagé dans sa jeunesse, et il a même gagné plusieurs badges d'arènes avant de rencontrer ma mère et qu'ils finissent par jeter l'ancre ici, dans ce trou oublier des divins. Enfin, disons que ma mère à jeter l'ancre pour lui, c'est comme ça que je l'ai compris moi.
Donc, ils gèrent leurs petites affaires, et ça marche bien, jamais une galère de thunes, une vie normale de gosse dans une famille aisé. Un premier enfant, moi, et une chieuse quelques années plus tard. Un cadre idyllique sur les contreforts des montagnes. Une enfance passé en compagnie de la nature et des pokemons, vu que le spa accueillent aussi les pokémons des gens de passage. J'ai fait une scolarité normale à Bourg Palette en rêvant secrètement de fuir de ce trou dès que je le pourrais. Mes meilleurs souvenirs ? Les randonnées avec mon père, nos visites à Celadopole (Ho ville, comme je t'aime) et nos vacances à la mer non loin de là.
Je grandis, j'apprend vite, j'ai des notes correctes voire bonnes, mais je ne me donne jamais à fond, sauf en sport ou dans les matières concernant les pokémons. Je lis et écoute beaucoup, très souvent, je passe tout mon temps libres à voyager via les livres, je veut découvrir le vaste monde, et mes yeux d'adolescent le perçoivent immense et plein de promesses. J'ai grandi, premières clopes fumées en cachette, premières cuites, premières rencontres intéressantes avec le sexe opposé.
Je fait un peu de médecine pokemon, mais les cours m'emmerde. Je me défoule au karaté, je court, je continue d'explorer les montagnes, je deviens solitaire, je n'ai besoin de personne pour être moi et me construire. Les filles sont d'agréable parenthèses, les potes sont loin, et ont se revoient avec d'autant plus d'entrain. Ont courent les bars la nuit, ont crient, ont chantent, ont s’enivrent et ont gueulent à la face du monde qu'il ne nous fait pas peur et qu'on va lui péter les rotules, pour commencer.
On fonde même un groupe de rock, parce que c'est notre façon de rejeter la société. Avant même que je réalise, j'ai vingt ans et l'avenir est vaste et incertain.
Je passe mon temps à réfléchir, à lire, mes parents s'inquiète un peu, je les rassure comme je peut, mais la plupart du temps, je fuis dans mes montagnes, là ou personne ne m'attend, ni ne m'entend.
Et puis je rencontre Marcacrin. Ce crétin s'était aventuré dans un des grands bassins, visiblement malade, et se serait noyé si je n'étais pas intervenu. Après l'avoir soigné, j'ai voulu le relâcher, mais il n'a jamais voulu repartir. La première nuit, il est revenu gratter à ma fenêtre, à trois heure du matin. Furax, je me suis levé dans l'intention de l'envoyer bouler, et puis au moment de tirer le penalty, il ma regardé avec ses petits yeux, et toute ma colère à disparut dans l'espace d'un battement de cœur.
Je l'ai pris avec moi, il ne savait pas trop quoi faire, alors je lui ai fait une place dans mon lit, et il a finit par s'endormir.
Et à ronfler.
Ce petit con ronflait aussi fort qu'une locomotive à charbon.
Les jours suivant, voyant qu'il ne me lâchait pas d'un pas, j'ai décider de le garder avec l'accord de mes parents. Mon père à été très content de moi, je crois que son désir secret est que je reprenne la route là ou il l'avait arrêté. Ma mère, plus circonspecte, à dit un truc du genre « ok, mais tu t'en occupe entièrement, même sa litière ».
Merci maman.
Du coup, marcacrin s'est mis à vivre avec nous, je le nourrissais, et en échange, j'ignore pourquoi, sa simple présence m’apaisait. Je l'emmenais avec moi en ballade, je lui ai appris à nager, au cas ou, et j'en prenais soin. Ce pokemon à une influence bénéfique sur moi, même si j'ai eu du mal à l'admettre, et à m'en rendre compte. Mes parents, pas dupent, eux, ont commencé bien innocemment à faire des petites remarque sur les dresseurs de pokemons, et l'incroyable challenge de la ligue pokemon. Et cette idée à commencer à prendre dans mon esprit. J'ai commencé à économiser dans ce but, à me renseigner, et j'ai entraîné marcacrin comme j'ai pu, jusqu'au jour au je me suis senti prêt.
Je suis parti très tôt le matin, j'ai laissé une lettre à ma famille en expliquant que je les aime, et qu'ils sont et resteront mon meilleur soutient. Je n'aime pas les adieux, il m'arrive d'être émotif, parfois.
Et me voilà, sur les routes, avec mon sac et mon petit pokémon, et je ne me suis jamais senti aussi bien.
As-tu repéré le code dans le règlement ?[Bon Code (Benji')]Comment as-tu trouvé notre forum ?Google.
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