Une semaine au placard ?! [Reserve]

Quelques centaines de mètres de poursuite, vous tomber sur deux Pokémons à l'allure déboussolé, l'un est par terre et l'autre est vraisemblablement à son chevet. Celui par terre semble aussi avoir une vilaine ecchymose. Y'a pas photo, vot' furie blanche est passée ici !

Situation

Caninos Mâle : Forme Très Bonne, déboussolé.
Caninos Femelle : Forme Parfaite, au chevet du mâle.

¤Damian

Après avoir marché un moment, je trouvais un couple de pokemon sauvage, ceux-ci étaient blessés, ou du moins, a vu de nez, je dirais que seul le male avait un probleme. Tout en m’approchant, j’examinais le pokemon en face de moi. Non, il allait s’en remettre, surement avaitèil pris un coup de corne, mais rien de plus. J’étais inquiet, qu’arrivait a Absol, que se passait-il, était-il en saison des amours ? Pourtant l’année dernière il n’était pas ainsi, tout comme l’année d’avant. Je pris quelques seconde pour me rendre compte que cela faisais si longtemps que j’étais sur les routes, si longtemps que nous étions loin de notre foyer.
Je froncais les sourcils, je pensais ocmprendre, mais j’allais avoir besoin de mettre la main si ma furie blanche, afin d’en être sur. Et si c’était bel et bien le cas, alors il allait devoir rester enfermer dans sa pokeball… Une minute, sa pokeball ? Et si c’était parce qu’il l’avait finalement brisée ? Il revenait a l’état sauvage ? JE ne pouvais pas y croire. Enfin, il était inutile de spéculer, je devais le trouver, et vite. Et je pense qu’une fois cette histoire terminée, je pense que je reviendrais a Hoenn. J’irais saluer mon ami Thélos, et je trouverais une compagne a Absol. Et je devais faire ca vite, avant qu’il ne continue a terroriser Celadopole et qu’il me ruine par ses bétises.

Résumé du Rp:

Vous continuez de suivre les traces de votre Absol et passé de "pas-loin-des-limites-de-la-ville" à "de-retour-plus-en-ville". Votre Pokémon est assez facile à pister, vu les taches calcinées qu'il laisse sur son passage. Vous êtes sûr que c'était une bonne idée de lui apprendre Lanceflamme? Enfin, vous voilà qui voyez les traces se rendre jusqu'à une habitation. Cette même habitation s'avère avoir une fenêtre brisée, le trou assez gros pour un Absol.

À peine êtes vous arrivé que votre furie blanche traverse une autre fenêtre, cette fois de l'étage supérieure, et atterrit pas si loin de vous. Le Pokémon Ténèbre vous offre un regard quelque peu indéchiffrable, avec de s'élancer à nouveau dans une autre direction. Vous avez eut le temps de remarquer un sous-vêtement en dentelle rouge sur sa corne. Heureusement, il avait l'air propre.

Bon, les fenêtres.. ça coûte cher des fenêtres. Vous savez ce qui coûte plus cher? Un incendie. Et ouais, de la fumée s'échappe de la fenêtre brisé à l'étage. Vous pouvez alors apercevoir une femme et un homme sortir en panique de la maison, toussotant et tout, avec de la suie au visage en plus. Comme vous êtes la seule personne présente, malgré votre plâtre, la femme se tourne vers vous.

- Ma fille ! Ma petite fille !

Elle cri à s'époumoner et, déjà qu'elle a respirer de la boucane, ça va lui prendre des bonnes pastilles pour la gorge. Je vous vois déjà appeler les pompiers, mais l'incendie est déjà très gros, la maison risque d'être une perte presque totale. De l'étage, vous entendez des pleurs d'enfant et un faible "Maman, au secours !"

Alors, je sais pas quels Pokémon vous avez sur vous, mais vous êtes visiblement le seul espoir de la gamine. Je suis navré.

¤Damian

Je repartis donc a la recherche d’Absol. Celui-ci courant comme un fou un peu partout, flirtant avec les limites de la ville, pour ensuite y revenir. Nous croisions régulièrement des Pokémons blessés ou des traces de flammes. Je me demandais pourquoi soudainement il tombait dans un tel excès de rage. Et surtout, je me demandais s’il n’allait pas brûler quelqu’un avec son lance-flamme. Parce que j’avais beau être riche, je ne pouvais pas payer l’hopital et les intérêt a tout Celadopole… Du moment qu’il ne mettait pas le feu a une maison, cela me va.
C’est alors que nous arrivions devant une maison avec une fenêtre brisée, et je me mordis la lèvre, j’avais un mauvais pressentiment. Je me mordis la lèvre, avant de commencé a appeler mon partenaire :

-Absooooool ! Aaaaabsoooool ! Ou es-tu ? Aaaaaabsooooool ?!

Puis, répondant a mon appel, la créature saute a nouveau par une fenêtre et tombe a coté de moi, lancant des éclats de verre partout. Il prends tout de même le temps de me regarder, avant de partir a nouveau dans une autre direction. Alors que j’allais le poursuivre, j’entendis le crépitement que je redoutais depuis si longtemps. Je me tournais, et vis de la fumée s’échapper de la maison. C’est alors que la porte s’ouvrit a la volée, et laissa passé un couple toussant et couvert de suie. Et bien sur, un enfant était resté dans la maison. Combien j’ai pu râler pour ce coup : j’ai un platre, M’man, j’ai une tronche a servir de pompier. Mais je n’avais pas le temps de réfléchir, il fallait agir, et vite.
Je fis apparaitre trois de mes Pokémons.

-Ponyta, tu files au Old Cowboy, tu trouves Gallame, et tu lui dis de me ramener tout les Pokémons eau que tu peux, ainsi que Jacob. Lixy, tu vas me chercher les pompiers, vite. Quant a toi Furaiglon tu suis Absol.

Puis, sans plus réflechir, j’entrais dans la maison, clopin-clopant sur ma bequille. Je grimpais a l’étage aussi vite que je pouvais, tout en me couvrant les voies aériennes du foulard que j’avais autour du cou. Une fois a l’étage, je cherchais parmi le vacarme des flammes l’origine de la voix de la fillette en espérant qu’elle n’avais pas perdu conscience dans toute cette fumée…

Résumé du Rp:

Sans aucune hésitation, votre poney à la crinière de flammes se mit au galop, direction le Old Cowboy. Ça c'était un truc de fait, mais il faudrait certainement un peu de temps avant que la troupe arrive. Lixy suit de près, mais prend une autre direction en allant chercher les pompiers. Et là je me dis "T'as pas un téléphone, Rod?" Mais bon, des Pokémons qui course, c'est mieux hein! C'est plus joli et dramatique ! On est ça le drame ! D'ailleurs, vous courez vers celui-ci en entrant dans la maison ! Ah oui, Furaiglon est parti aussi, à la poursuite de Absol comme indiqué.

On en vient donc à ce qui vous arrive à vous, qui êtes héroïquement entrer dans une maison en flammes. Chanceux que vous êtes, le feu est encore concentré à l'étage pour l'instant. Quoi? Vous montez à l'étage? ... ça va votre tête? Ah oui, c'est vrai, la gamine. J'suis bête, c'est pour ça l’héroïsme, pas pour la baraque ! Hahahaha... il est con ce narrateur...

Enfin, vous vous rendez donc à l'étage et remarquer les flammes venant de l'une des chambres et débordant même un brin dans le couloir.Avec la fenêtre brisé, c'est un feu bien nourri. Heureusement pour vous et la petite fille, ses cris viennent de votre gauche, alors que le feu est à droite. La porte est fermée, mais pas verrouillé et je décide que vous y allez parce que sinon on en sortira jamais. (Et on va s'entendre, qu'auriez-vous fait d'autre?)

Vous êtes chanceux d'avoir entendu, parce que au final, un coup dans la chambre rose bonbon, la fillette pleurniche à peine, roulée en boule sur son lit. Un dernier coup d'oeil dans le couloir et vous voyez les flammes gagner les escaliers et même de la fumée directe du rez-de-chaussé. Le feu a dut défoncer le plancher de la chambre des parents. Je vous vois déjà vous poser la question... Oui, vous êtes bien coincé dans la chambre de la gamine, dernier bastion qui n'est pas encore entrain de se carboniser.

1) Je vous conseille de fermer la porte.
2) La petite vient de lâcher un de ces cri stridents en entendant la maison craquer alors qu'une poutre du plafond tombait dans le couloir.
3) L'aide n'est pas encore tout à fait arrivée, en même, faut se rendre et avertir tout le monde.

¤Damian

Donc, a l’étage, le feu n’était toujours pas la ou je pensais, tant mieux ! il était dans la chambre de droite, et bien que le bruit soit terrible, j’entendais les chouinements de la petite venant de la gauche. Sans plus attendre, je penetre dans la chambre, sans prendre la peine de regarder la décoration. De toute façon, ce n’était pas comme si tout allait cramer et que j’avais d’autre intérêt que la déco. Donc,la filette était dans son lit, roulée en boule, couverte de suie. Je grognais, avant de m’approcher.
Une poutre tomba alors, et la fille se mit a hurler, ouais, j’vois le tableau. J’avais cependant un problème j’avais beau être forte, je n’allais pas pouvoir soulever la fille et ma bequille en même temps. Après un grognement, je m’approchais du lit. Après un regard derrière moi, je compris que ma seule sortie était la fenêtre. Je venais de me briser la cheville en sautant de bien plus haut. JE pris la fille contre moi, me mordit la lèvre jusqu’à la fenêtre, que j’ouvris d’un coup d’épaule, avant de resserrer ma prise contre la fille :

-NE bouge pas, et tout ira bien.

Je montais a grande peine sur le rebord de la fenêtre, avant de faire face a la chambre, et de dire, en fermant les yeux :

-Que Celebi me protège.

Et je sautais en arrière, sans voir si rien ni personne comptais me rattrapé. En présentant mon dos, je savais que je risquais de me retrouver paralysé, amsi je savais que la fille en tombant sur moi, se fera moins mal que si je lui tombais dessus. J’aime sentir le vent dans mes cheveux. J’aime moins avoir les cheveux dans la face. Que Celebi me protège.

résumé du rp:

Alors, la petite n'a point du tout l'envie de vous écouter, mais ça reste une gamine et vous un adulte. Plus fort qu'elle, vous arrivez à l'arracher à son lit, non sens qu'elle traîne la couette avec vous, mais bon. Vous ouvrez ensuite la fenêtre avec beaucoup d'aisance et vous balancer en bas. Ce à quoi je vous dis : z'êtes suicidaire mon vieux !

Mais bon... que voulez vous, j'me suis scotché à vous comme on agrafe une affiche "recherché" à un poteau téléphonique, du coup... CELEBI APPARAÎT ! ... Vous y avez cru? Moi non plus.

En faits, ce qui arrive vraiment c'est que le temps que vous trouviez la petiote dans la baraque, Ponyta s'est rendu au Old Cowboy et a alerté la cavalerie. Longue histoire courte, Metamorph s'est morphé en Gallame et ils sont tout amener à coup de Téléport. Puis, pas "tout", j'entends : Laggron, Ptitard, Tentacool, Carapagos, kokiyas, Hypotrempe et Otaria, en plus de Carapuce, Kabuto, Gobou et Wailmer qui appartiennent à Akuzo. Y'a aussi Jacob qui est là. D'ailleurs, il vient de gerber à cause de la téléportation. Enfin du coup, avec tout ça, votre chute est à peine entamé que Gallame se téléporte à vous en plein vol et vous ramène sur terre. Si c'est pas de la chance et de l'héroïsme ça !

Pendant ce temps, la bande se met au travaille à coup de Bulle d'O, Pistolet à O, Tourniquet, Hydrocanon et autre truc efficace contre le feu ! Metamorph a d'ailleurs morphé en Laggron pour aider l'effort de pompier ! Parlant de pompier, c'est là que vous entendez les sirènes pas trop loin, il seront là dans moins de cinq minutes.

Il s'en passe des trucs ! Puis, c'est pas fini, car la gamine saute de votre bras sans prévenir et court rejoindre ses parents. La mère vous offre un regard trempé de larme de joie et vous chuchote un "merci". Profitez-en pour NE PAS sortir votre carnet de chèques, ils ont l'air assez content que la fillette soit saine et sauve qu'ils ont l'air de se foutre des pertes matérielles. En plus, c'est vos copains à vous qui font le boulot des pompiers là !

Enfin, tout ça c'est beau, mais vous, vous soufflez un peu, et les pompier arrive enfin pour contrôler l'incendie. Puis, votre Absol est pas ici, il est ailleurs. Pour trouver Absol, trouver Furaiglon ! Ouais? Non? Surement... Peut-être? *clin d'oeil*

¤Damian

Donc en chute libre, je ne voyais pas ce qu’il se passait derrière moi, surement que j’avais oublié toute autre idée qui pourrait s’approcher de prêt ou de loin de l’avenir, toutes les idées que je gardaient a l’esprit était simplement le fait que j’allais me rompre le dos, et, qu’au mieux, je finirait paraplégique, au pire je me tuerais. Cependant, alors que je continuais a tomber, je vis Ame a coté de moi. Celui-ci me pris contre lui, et nous étions de retour au sol, sain et sauf tous autant que nous étions.
Puis, j’entendis et je sentis énormément d’eau jaillir. Après un regard autour de moi, je fus fier de voir tout les élments aquatiques de la ferme en train d’arroser généreusement la maison, allant des simples bulles d’O a la redoutable attaque Hydrocanon de Laggron. Au carré d’ailleurs, Tamorph ayant pris sa forme de Laggron. Au loin, j’entendais vaguement la sirène des pompiers qui arrivaient en retard comme d’habitude. Car je restais bien conscient que si je n’avais pas été là, a l’heure qu’il était, la petite serait en train de brûler vive, et le feu se serait surement répendu sur les maisons alentours.
Finalement, la petiote s’échappe de mes bras, et je me redresse avec l’aide de Gallame. Celui-ci me gronde télépathique, mais pas beaucoup, il aurait fait de même. Uen fosi les pompiers arrivés, je ramenais les petits pokemons qui m’appartenaient, donc Lixy et Ponyta, puis je demandais a Gallame et Jacob de revenir avec l’ensemble des troupes, sauf Metamorph, que je demandais de rester sous sa forme de quadrupède. Tout en grimpant sur lui, je dis a mes deux amis :

-Je vais retrouver Absol. S’il revient a la ferme, ne l’engueulez pas, je veux regler son problème moi-même.

Puis, moi et Meta-Laggron on parti a la recherche de Absol la ou je l’avais vu disparaitre pour la dernière fois, tout en appellant Furaiglon de la voix.

Vous enjambez donc votre monstre des marais et partez dans la dernière direction connue de votre furie blanche. Même pas 500 mètres plus loin, vous apercevez déjà Furaiglon, point particulier dans le ciel. Je ne doute pas que vous lancez Meta-Laggron à sa poursuite, question de retrouver votre Absol au plus vite. En vous voyant arriver, le petit aigle réduit son altitude et vient à votre rencontre, battant rapidement des ailes.

Visiblement épuisé, il vous pointe une direction du bec et piaille avec insistance. Je mettrais ma main au feu (haha) que Absol est de ce côté ! Fier de sa mission, Furaiglon se laisse choir sur votre chapeau de cowboy pour un repos mérité alors que vous vous élancé dans la bonne direction sur votre Laggron. Quelle n'est pas la scène que vous rencontré...

Votre Absol, toujours avec sa culotte féminine en dentelle rouge sur la corne, tourne autour d'un autre Absol. Non, ce doit être une Absol, vu les traits et tout. Sur le coup, il ne fait que tourner autour, mais après quelques tours complets, il se met à le faire en utilisant uniquement ses pattes arrière. Je ne sais pas pour vous, mais ça m'a tout l'air d'une danse nuptiale. Ça ressemble à ça, et il semblerait aussi que la femelle est tout sauf intéressée, tournant la tête le menton haut pour éviter de voir votre bouffon de Pokémon. Elle a d'ailleurs une petite boucle sur sa corne, d'un bleu léger.

De l'autre côté de la drôle de scène, à votre opposé donc, se trouve une demoiselle fort jolie, qui semble bien confuse par la démonstration de votre compagnon pyromane. Elle fini par vous remarquer et contourne les Absol pour venir à votre rancontre.

- Est... est-ce votre Absol, monsieur?

Sa voix est douce et légèrement timide. Elle porte une robe bleu imprimée de fleures bleu comme la boucle de la Absol. Elle tient aussi une unique Pokéball, aucune autre en vue, à moins qu'elle n'en ait dans son sac à main.

¤Damian

Donc, j’enfourchais Laggron, ou du moins Meta-Laggron, et celui-ci parti rapidement. Sans problème nous retrouvâmes Furaiglon, qui descendit a notre hauteur, avant de nous expliquer rapidement ce qu’il se passait, bien que je n’en compris pas un mot, puis Laggron parti, alors que furaiglon tombait mollement dans mon chapeau. Je récupérais mon couvre-chef, et rappellais le Pokémon, après l’avoir félicité pour son labeur. Pas très loin, je retrouvais ma furie blanche, en compagnie d’un autre Pokémon. Tout en restant crampé sur Laggron, je regardais la deuxième Pokémon.
Son corps était plus fin, moins musculeux, et un noeuf ornait joliment sa corne. Elle semblait bien mal a l’aise, et Absol était en train de lui tourner autour tel le prédateur qu’il était. Je froncais les sourcils, avant de lever le regard,e t de voir une délicate jeune femme derrière, qui regardait la scène sans trop savoir comment agir. Elle contourna les deux Pokémons, avant de s’approcher de moi, et de me demander si le Pokémon était a moi. Je lui répondit après quelques seconde :

-Oui. Et il est temps de mettre un terme a cette mascarade qui n’a que trop durer. Reculez.

Je descendis de ma monture, et m’approchais de mon Pokémon, m’interposant alors entre le futur couple. Je pris quelques seconde pour regarder mon meilleur ami contre qui j’étais énormément en rogne. Après quelques seconde, je le frappais du plat de la mains ur le museau avant d’hurler :

-J’espère que tu es content ? Ça y est, tu as assoumis je ne sais quelles pulsions ? Tu te rends seulement compte de tes conneries ? Tu as ruiné la vie d’une famille entière, tu as manqué de tuer une enfant, de me tuer moi par extension, et de foutre le feu a Celadopole tout entier. Tu te rends compte combien tu as baissé dans mon estime ? Je pensais t’avoir inculqué quelque chose de plus noble que ça. Tu cherches quoi exactement, a me faire regretter de t’avoir donné ces capsules techinques ? Parce que l’utilisation que tu en fais, c’est complètement stupide. Franchement Absol, tu me déçois.

Puis, j’attrapais la ball autour de sa nuque, et je le rappellais dans sa prison. Oui, sa prison. Une fois le Pokémon enfermé, je marmonais a la pokéball :

-Moi qui te faisais assez confiance pour te laisser en autonomie, franchement tu me déçois.

La pokéball était toute couverte de coup de crocs et de griffe. La peinture était écaillée, et quelques entailles dans la coque montrait qu’il n’y était pas allé de main morte. Après quelques seconde, je soupirais très très profondément, afin de retrouver mon calme, avant de me tourner vers l’autre Absol :

-J’espère que tu excuseras mon compagnon de t’avoir importuné. Tu es une très belle Absol, et ce noeud que tu portes là te vas très bien.

Je me redressais, avant de caresser la tête de la jolie furie blanche, avant de m’approcher de Tamorph, et de grimper dessus, puis regarder la jeune femme :

-Excusez moi pour la scène. Je me présente, je suis Rodrigue Zwei, propriétaire du Old Cowboy. Je suis fier de vous annoncer que votre Absol, contrairement au mien, est très belle, et qu’elle semble redoutable en combat. A qui ais-je l’honneur ?

Le jeune femme sembla quelque peu mal à l'aise d'assister à l'engueulade de votre Absol, mais accepta bien les compliment sur sa partenaire. Au commentaire des combats cependant, elle sourit.

- Oh, ma Absol ne se bat pas souvent, nous sommes des panélistes de concours !

Si vous êtes moindrement versé dans la connaissances des Concours Pokémon, vous pouvait remarquer que la boucle sur la corne de la Absol est en fait un ruban de concours de la catégorie Beauté. Ça ressemble à une victoire d'ailleurs. Enfin, la demoiselle vous offre un sourire charmant.

- Enchantée de faire votre connaissance, monsieur Zwei. Je suis Elena Knox et je viens de Hoenn. Dites, euh... si ce n'est pas trop demandé, il a quoi votre Absol... et ce truc sur sa corne, c'était... ?

Hehe... elle a remarqué. Bonne chance pour expliquer ça !

¤Damian

La jeune femme, je la comprenais, était mal a laise après que j’aie engueulé si fort Absol. Mais je ne regrettais ni ma sévérité, ni la lourdeur de mes propos. IL m’avait cherché. Quand je complimentais la belle pokemon blanche, je vis du coin de l’œil la jeune femme accepter les commentaires pour deux. Je souris, et elle me corrigea : elle n’était pas dresseuse, mais elle faisais des concours. Immédiatement une lueur admirative se dessina dans mes yeux, avant que je le dise, tout en regardant la belle Absol :

-Oui, maintenant que vous le dites, elle semble parfaite dans ce role. C’est vraiment interessant, vous êtes la première que je rencontre, il faut dire qu’il n’y a pas beaucoup de gens comme vous ici, il n’y a pas de concours a Kanto. Que faites vous dans cette région ?

Mon regard revint sur la quadrupède, et notamment sur ce ruban, et rapidement, je me rendit compte qu’il n’était pas un simple nœud lambda comme je pourrais en faire avec ma cravate si j’avais trop bu et que j’en portais une, mais bel et bien une récompence de concours. La couleur bleue signifiais la beauté. JE n’y connaissais pas plus, mais je comprenais bien que la pokemon avait gagné un concours de beauté, et cela m’amusa, elle semblait pourtant parfaitement a l’aise dans ce role.
Enfin, je me présentais auprès de la jeune femme, qui se présenta a son tour comme Elena Knox. Quel étrange non de famille, mais j’aimais bien. Après tout je m’appellais bel et bien « Deux » moi, alors pourquoi pas quelque chose qui s’approchait de « Knock ». Non, j’aimais bien oui, son nom de famille. Elle m’annonca qu’elle venait de Hoenn, et je souris en voyant la pokemon blanche, surement nous étions nous croisé une fois ou l’autre quand j’étais sur les routes la, bas. Rêveur, je marmonnait :

-Hoenn… Quelle belle région. Voila longtemps que je l’ai quittée. Mes parents tiennent un ranch aux coté de Cimetronelle. Je suis aussi originaire de la bas, mais j’ai décidé de m’installer a Kanto, afin de ne pas faire d’ombre a Thélos, déjà installé là-bas.

La femme embraya en me demandant ce que pouvais Avoir Absol. Je levais le regard, en réfléchissant, ouais, il se sentais seul, il avait envie de retrouver des copinous qui lui ressemblaient. JE pense qu’un voyage a Hoenn était de mise. Je soupirais longueement, avant de répliquer a la demoiselle :

-IL se sent seul, il a besoin d’une compagne, et c’est sa manière de me le faire comprendre. Quant a son ornement, c’est un larcin, qu’il a pris dans une maison. Je pensais vraiment mieux l’avoir éduqué que ca… Je vais devoir revoir toute ma façon de faire…

Et a la fin de cette phrase, un soupir dpité s’échappa de mes lèvres… J’avais échoué… Cependant, désireux de ne pas laisser la femme s'inquieter de mon sort, qui, au final, n'était que du positif pour moi, je la regardais, avant de dire, avec un grand sourire aimable :

-Puis-je vous demander de me faire une demonstration de vos talents ?

La demoiselle n'en finissait plus de sourire et c'était un sourire radiant d'ailleurs. Un sourire gracieux, bien placé entre deux pommettes d'un roses vivifiant. Pour répondre à votre première question, elle ouvrit les bras et désigna les environs.

- Je suis venu dans l'espoir d'instaurer les concours dans la région, ou du moins d'aider le mouvement. C'est déjà très populaire dans Hoenn, mais ceux qui n'y vivent pas et aimeraient tout de même participer n'en ont pas trop l'occasion. Je suis un peu une pub ambulante !

Et elle fit cette petite pose avec le sourire et le signe de paix avec les doigts, toute kawaii. Elle réagit ensuite avec une petite moue tristounette à l'information du pourquoi du comportement d'Absol. Le coup du vol lui arracha un petit rire cristallin alors qu'elle portait la main à ses lèvres pour le minimiser. Puis, à votre demande, elle afficha un sourire.

- D'accord, mais à une seule condition ! dit-elle. Vous devrez m'inviter à diner !

Oh, je vois, elle en veut à votre gros... porte-feuille ! Du coup, il semblerait que si vous tenez à voir sa belle Absol en action, il fallait l'inviter au restaurant. Vous êtes chanceux, j'ai entendu dire qu'il y avait des spéciaux pour les couples à ce temps-ci de l'année... Enfin, de là où je vous écrit ça !

¤Damian

La jeune fille souriait de toute ses dents, comme si ma simple présence la rendait si heureuse qu’elle en aurait eut des crampes a force de sourire. Elle ne tarda pas a m’expliquer, en montrant autour d’elle, qu’elle était là pour s’occuper de démocratiser les concours, en disant que Hoenn était privilégiée car elle fut la première a proposer ce genre de distraction, et qu’elle aimerait que Kanto puisse en profiter aussi. Elle conclut en m’expliquant qu’elle était une pub ambulante. JE souris, avant de regarder le Absol a ses pieds, alors que la file prenait la pause type que panélistes. Cela m’amusa.
Cependant elle aborda le sujet d’absol, et je lui expliquais. Elle fit une moue triste quand j’abordait sa solitude, avant qu’elle ne rit, quand je disais qu’il avait volé un sous vêtement en dentelle. Si le sujet n’avait pas été si grave, je pense que j’aurais pu la rejoindre. Mais je n’avais pas l’enthousiasme de sourire a ce propos : c’était grave, car même si je n’avais pas du le sort de la maison dans laquelle il avait fait ce vol, la réalité était bien la : il avait manqué de tué quelqu’un et avait fichu le feu a toute une vie entière. Cela m’énervait tant d’inconscience.
Finalement, je déviais le sujet, pour voir son Absol en action. Elle accepta, a la condition que je l’invite a manger. Je souris, amusé. De prime abord j’était tenté de l’inviter au Old Cowboy, afin qu’elle fasse aussi la connaissance de Jacob. Cependant je pris quelques seconde de réflexion, quelque chose chez cette femme ne m’inspirait pas confiance. Surement qu’elle était un stéréotype de jeune fille pure ? Peut être. Mais sans rien montrer, je dis :

-Entendu. J’en connais justement un pas mal dans la périphérie de Celadopole !

Je descendis de Meta-Laggron, et je m’assis en tailleurs sur le sol, alors que le tas de morve reprenait sa forme originelle, et qu’il vienne sur mes genoux. Moi j’étais prêt a regarder la demonstration de la jeune femme, les yeux grands ouverts.

Au moment où vous acceptez la condition, le sourire innocent de la demoiselle un pue plus déterminé, comme quoi le concours peuvent mettre quelqu'un dans un état d'esprit semblable au combat Pokémon. Elle offrit un regard à sa Absol avec un hochement de tête auquel le Pokémon répondit. Elena s'éloigna un peu, vous entraînant avec elle pour laisser place à sa partenaire. Puis, elle chanta une succession de quelques notes très harmonieuses, probablement un signal que sa Absol comprit, car c'est là qu'elle commença.

Bien assise, elle baissa la tête un instant avant de la relever avec une légère torsion du cou. De ce mouvement, elle invoqua une sphère incandescente de sa gueule. La boule de feu extrêmement brillante lévita quelques secondes sur place avant que la Pokémon Ténèbres ne tourne sur elle-même pour l'envoyer plus haut dans les airs. C'était une attaque Zénith, créant un micro-soleil qui brillait ma fois de milles feux, blanc et éclatant.

Poursuivant les tours sur elle-même, la Absol invoqua un autre phénomène météo autour d'elle. Bien vite, des milliers de flocon de neige se mirent à virevolter, tourbillonnants. Après une succession de tour, Absol envoya ce Blizzard virevolter dans les airs dans tous les sens, autour du Zénith. C'est là que toute la beauté de l'acte entra en compte, alors que les puissants rayon lumineux traversait le Blizzard dansant. Traversant les cristaux de glace, la lumière se projetait en multitude de couleur sur le sol et les maisons à proximité. Pour ajouter au lots, à travers ces lumières dansante, Absol était de retour en position assise et entamait un magnifique chanson, un Réquiem.

Après près de deux minutes, le Blizzard s'estompa, suivi du Zénith, et le Réquiem atteint sa note finale. Absol exécuta une révérence et sa dresseuse l'applaudit, heureuse.

Elle se tourna ensuite vers vous.

- Est-ce que ça vous a plut, Monsieur Zwei ?

¤Damian

La démonstration de la jeune femme était tout a fait impressionnante, on voyait bien ue son Pokémon avait l’habitude de faire de telle démonstration, car elle le fit avec un rigeur et une efficacité a toute épreuve. C’était incroyable, et j’en profitais pour regarder les capacité de son Pokémon, Zenith et blizzard. J’avais leurs versions plus utiles et plus précises, sur Absol, qui étaient Lance-flamme et Laser-Glace. Si seulement il n’était pas en train de faire sa crise d’adolescent, j’aurais bien proposé a elena un petit combat, comme je l’avais fait avec Akuzo… Finalement la demonstration terminée, je me levais, et pris ma canne,et demandais a la jeune femme :

-Puis-je vous demander encore une chose ? Puis-je morpher votre absol ? Toud ‘abord parce que cela semble être une chose qui calme mon absol, et qu’elle semble tout de même redoutable ?

Puis, une fois qu’elle m’a donné sa réponse, si elle a accepté, je laisse Tamorph fait son affaire, mais si elle a refusé, je n’insiste pas, et je le fais revenir. Puis, après quelques seconde, je ne tarde pas a lui tendre mon bras libre (et ma main paralysée au passage !) afin qu’elle puisse s’en saisir, et je lui dit avec un sourire aimable :

-Allons y, cette démonstration a du vous ouvrir l’appétit, gent Dame.

Tranquillement a mon rythme, hein. Une fois en ville, je dirigeais nos pas vers un restaurant a proximité du Old Cowboy. C’était un petit restaurant modeste, mais j’aimais bien l’ambiance la bas, ils faisaient une très bonne nourriture, et ils ne se prenaient pas la tête, les serveurs étaient très agréables, et ils étaient de très bonne humeur tout le temps. Et la petite particularité, c’est qu’ils faisaient le service a rollers, ce uqi me permettais de trouver des hommes, et une femme plus grands que moi ! Ce qui en soi n’était pas très important.
Naturellement on se fit accueillir comme on accueillait l’homme le plus riche de la ville, et un prit une petite table tranquillement, et le repas était tout a fait rafraichissant, une petite salade et une petite viande très tendre. Je tachais d’être de la meilleure compagnie pour la jeune femme, ignorant complètement les avances qu’elle pouvait me faire, vu que la gent féminine ne m’interessais absolument pas. J’trouve limite Jacob ou Akuzo plus attrayant que cette petite blonde.

Le membre 'Rodrigue Zwei' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'dé Shiney' :
Une semaine au placard ?! [Reserve] - Page 1 FAILED_4

- Je ne vois aucune raison de vous le refuser ! dit-elle encore souriante.

Une fois le morphing effectué et un court moment de "miroir", vous prenez ensemble la route du restaurant que vous atteignez votre destination sans problème, vous installez et commencez le repas en parlant de tout et de rien. La demoiselle essaie bien sans résultat de se rapprocher de vous, y allant de contactes subtils et de regard intéressés. Seulement, tout ne peut pas toujours bien aller. Demandez à Monsieur Damian Grey de Johto, il en sait quelque chose.

Du coup, à mi-chemin dans le plat principal, l'un des serveurs (pas le votre), s'approche de votre table. Le gars porte une veste de cuir, des pantalon en jeans quelque peu déchirés et beaucoup, beaucoup d'accessoires en cuir et en métal. Ses cheveux sombres sont atrocement bien sculptés et une paire de lunette fumée lui couronne le dessus de la tête. Sur ses rollers, il approche de votre table et tourne sur lui-même de manière extrêmement cool.

- Hey there, Elena, comment tu vas ? Tu te souviens de moi, d'un mouvement, il sort un peigne, le passe dans ses cheveux et le range avec un tour sur lui-même, Johnny. Johnny Johnson !

Dès son apparition, Elena roula des yeux et soupira avant de lui offrir un sourire un peu forcé.

- Bien sûr que je me souviens de toi, Johnny, qui pourrais oublier ?

Elle vous offrit alors un regard de détresse et articula un "Aidez-moi".

- Hm, ouais, qui le pourrais, hein? Alors, je me disais qu'on pourrait bien reprendre là où on s'était laissé la dernière fois, hm?

Okay, mais ce mec c'est qu'un boulet au fond ! Et en plus il veut probablement pas que lui lire des poèmes à Elena, sinon elle ne vous aurait pas demander d'aide... Que faites-vous ?

¤Damian

Alors que nous étions tranquillement en train de diner, uns des serveurs, que j’avais déjà repéré depuis un moment, pas pour les raisons qui semblent évidente, s’approcha. Il faisait de l’œil depuis un moment a Elena, mais pas qu’a elle, car comme je venais relativement souvent ici, je pouvais savoir ce que Johnny Johnson faisait de ses yeux quand il servait. Et il en draguait des jeunes filles. Sur le tas de serveurs, il était de loin le plus mignon, mais il était aussi le plus populaire auprès des filles. De ce fait, il ne prêtait absolument pas attention a moi, et c’était bien dommage.
Ducoup, cette scène me découpa le cœur en deux : faire de la gringue a ce jeune homme et perdre l’estime d’Elena, ou, aider Elena et perdre l’espoir de me taper le jeune homme. Après un long soupir, je regardais Johnson, avant de dire :

-Eh bien, qu’as-tu fais de Carla, Johnny ?

Carla était, je crois, la dernière fille qu’il avait aguiché dans le restaurant, et qui avait accepté de sortir avec lui. Je n’avais pas chercher a espionner, c’était débile, cependant ils faisaient tellement de bruit en se becottant contre uns des murs d’enceinte du Old Cowboy, que j’étais forcé d’avoir cette bande son en fond. Et j’avais eu un mal de chien a retenir Gallame et Lucario d’aller les agresser, mais heureusement Ame commencait a comprendre les lois de ce monde, et il n’eut aucun mal a comprendre que s’ils allaient casser la tête a ce couple, j’allais avoir de sérieux problemes. Ducoup ça avait un peu refroidis leurs ardeurs. Mais pas au couple, qui avait continué, sans se soucier du tapage que nous faisions nous de notre coté du mur.
Après quelques seconde, je quittais mon masque agréable, pour regarder sévèrement le jeune homme, et reprendre le ton hautain d’un client mécontent :

-Je vous signale que vous nous dérangez en plein repas, vous n’êtes pas notre serveur, veuillez retourner a vos tables, avant de mettre vos cheveux dans nos plat.

Et c’est justement a ce moment, en fait, simultanément, que je vis qu’il y en avait déjà un dans mon plat, et que mon téléphone sonna. Je décrochais, évidemment, avant d’entendre la voix inquiète d’Akuzo.

-Hey mon ami, quel plaisir de t’entendre … Comment ça, inquiet ? Mais non, ça va … T’inquiète, j’avais Meta-Laggron … J’ai régler le problème avec absol oui. N’aie crainte, il ne t’embrasera, et j’ai bien dis embraser, les fesses … Ah euh, ouais, j’arrive.

Je raccrochais, mon ami était inquiet de me savoir dans la nature avec un absol fou furieux. Je me levais alors, et mis l’assiete sous le nez de Johnny, avant de dire :

-Je ne porterais pas plainte contre l’établissement, cependant n’attendez pas de moi que je paie. Remportez moi cette horreur, et pensez bien que j’ai les moyens de faire couler ce restaurant comme je le veux.

Tout en fichant l’assiette dans les mains de l’homme en roler, je me levais, attrapais ma béquille, et quittais le restaurant, après avoir fait un signe a Elena de me suivre. Une fois a l’extérieur, je m’inclinais autant que ma béquille me le permettais, et je lui dis alors :

-Je vais devoir te laisser, le devoir m’appelle. Je te souhaite une très bonne chance pour ce que tu entreprends de faire. Tiens, je te donne ma carte. Sache que tu sera toujours la bienvenue a la Ferme, si le besoin s’en fait sentir. Bon voyage.

Puis, je reparti rapidement au Cowboy, afin de ne pas inquieter d’avantage Akuzo

C'est un Rodrigue déjà tiré d'affaire et absol(ument) calme qui me répondit alors que que je prenais le chemin de Céladopole-même. D'après ce que j'avais entendu en arrière-plan, il se trouvait dans un restaurant, ou du moins un lieu fort agité. Je regardais Riolu qui marchait à mes côtés, bombant le torse. La vue de ce bébé pokémon m'arracha un sourire bien que je sois encore un peu inquiet pour l'éleveur.

Alors que j'allais filer, la petite louve s'était accroché à ma jambe. Malgré mes efforts et sa ball, il apparut fort vite qu'il n'était pas la peine d'essayer de l'emmener autrement qu'en la faisant marcher.On aurait presque dis que ça la vexerait que je la transporte autrement. La façon dont elle bombait le torse à l'heure actuelle, d'ailleurs, me portait à vouloir le surnommer "Pride", pour saluer cette fierté qu'elle portait comme une seconde peau : et elle n'avait émis aucune objection à cela.

Il ne fallut guère de temps pour que nous retrouvâmes Rodrigue et sa patte folle : il semblerait qu'il n'était pas loin du Old Cowboy quand je l'avais appelé. Je fus réellement soulagé de le voir en pleine forme (enfin, autant que possible), et même Pride avait l'air de s'en réjouir.

- Et bien, j'espère que ta cheville n'aura pas trop souffert de cette épopée, mon ami. Mais dis-moi, qu'est-ce qu'il lui est arrivé, exactement à Absol ?

En vérité, je m'inquiétais plus de ce qu'il aurait pus faire subir à des passants innocents, car je savais qu'un Absol entraîné comme lui n'avais que peut à craindre d'éventuels adversaires. Toutefois, je restais curieux de connaître les tenants et aboutissants de cette escapade.

Cela faisait étrange de marcher sans Absol a coté. C’est vrai, depuis le début, je ne l’avais jamais rappellé, il était toujours a mes cotés, jamais il ne m’avait fait défaut. Et la, devoir marché sans sentir sa chaleur contre mon genou, de ne pas entendre le bruit de ses griffes dans la poussière, de ne pas entendre son souffle… Je sais qu’il n’était ni mort ni disparu, mais j’avais l’impression d’avoir perdu mon ami, avec cette histoire. En effet, je n’aurais jamais cru qu’autant de violence sommeillait en lui… Et j’ignorais fondamentalement comme le calmer. Et cette ignorance m’indisposait. C’était moi l’expert en Pokémon ?Comment ça se faisait que je ne pouvais pas comprendre mon meilleur ami ?...
Plongé dans mes pensées, je ne me rendit que tardivement compte que j’étais arrivé au centre ville de Celadopole, et qu’Akuzo ainsi que la fille de Wolf étaient la, et me regarder. JE chassais mes questions loin dans ma tête, avant d’afficher un sourire ravi a mon ami. Celui-ci me rendit mon sourire, et je vis la petite Riolu s’agiter. Je lui souris aussi, puis en arrivant a sa hauteur, je serrais la main a l’humain, et caressais la tête au Pokémon. Akuoz ne tarda pas a entrer dans le vif du sujet.
JE me grattais la tête, je préférais qu’il ignore mon petit jeu dans les flammes tout a l’heure, il n’était pas utile de l’inquieter plus que raison. Il ne tarda pas aussi a me questionner sur son comportement, avant que je n’attrape la pokéball toute abîmée du concerné, et que je la regarde tout en parlant :

-Je l’ignore et ça me frustre. Je pense qu’il se sent seul, et qu’il a besoin d‘une compagne. Mais je ne comprends pas pourquoi il a craqué maintenant, alors qu’il était calme jusqu’alors.

Je soupirais, avant de ranger la ball : pas question de le refaire apparaitre, j’avais trop peur qu’il ne fasse de mal a Akuzo, surtout qu’il le considérait comme son grand rival. Et énervé comme il était, il était certain que le scientifique n’allait pas en sortir indemne. Et je refusais cela. Je soupirais, avant de me pencher caresser la Riolu :

-Bon, trève de bavardage, je suis surpris de te revoir de sitôt a Celadopole, que puis-je pour toi ? Ou alors es-tu revenu pour mon exceptionnelle … Choucroute ?

Je souris, en attendant la réponse, je me doutais bien qu’Akuzo savait que j’avais un penchant pour les hommes, huhu.

La ... solitude ? C'était d'autant plus surprenant, en effet, que ni lui ni Fate n'avaient jamais montré ce genre d'attitudes jusqu'à présent. Certes l'Absol de Rodrigue était bien plus sauvage que Fate (au point qu'il m'était même arrivé de me demander si Fate n'avait pas déjà connu un dresseur avant notre rencontre), mais de là à devenir agressif.

-Bon, trève de bavardage, je suis surpris de te revoir de sitôt a Celadopole, que puis-je pour toi ? Ou alors es-tu revenu pour mon exceptionnelle … Choucroute ?

Il souriait, de ce sourire qui me rappelait ses goûts. Je ne pus m'empêcher d'échapper un rire en entendant la façon dont il présentait les choses. La petit Riolu me regarda, surprise, et je lui renvoyai un sourire rassurant.

- Non, je n'ai pas faim. En fait, j'ai profité de la présence de Lilias à Lavanville pour venir passer le bonjour. J'ai laissé des coordonnées à Jacob, elle devrait vous permettre de récupérer les pokémons que je met au PC : je suis sûr qu'il préfèreront gambader au Old Cowboy plutôt que de pourrir dans une boîte informatique.

Nous reprîmes tranquillement le chemin du Old Cowboy. Ces histoires de solitude m'inquiétaient un peu : actuellement, il n'y avait que peu de pokémons, dans mes rangs, capables de tenir tête à Fate si jamais il se mettait à agir de cette façon. Bah, il serait toujours temps de m'en occuper plus tard, et d'ici-là mon équipe serait en mesure de l'empêcher de provoquer des dégâts. J'étais venu pour rendre Visite à Rodrigue et passer le bonjour à tous mes pokémons. En arrivant, mon regard fut attiré par ma Lilia fraîchement capturée : elle semblait s'amuser comme une folle avec Kabuto, Amaraga et Ptyranidur. En fait, c'était Amagara le centre d'attention des trois autres, ce qui me fis sourire. J'imaginais sans peine la seule de ces pokémons à avoir vécu à un autre âge en train de leur raconter le passé du monde.

Cherchant un peu mes autres pokémons du regard, je vis Carapuce se balader aux côtés du fameux Gobou, Wailmer en train de s’amuser dans le lac, Bekipan qui faisait une sorte de ronde avec Papinox, sûrement, dans le ciel. C'est du coin de l’œil que je vis les queues de Nox et Arcana disparaître derrière un coin de mur. Ils avaient l'air de s'être parfaitement acclimatés à la ferme, et je m'en réjouissais. une question me vint soudain à l'esprit : je l'avais mis un peu devant le fait accompli sans lui demander son avis, après tout.

- Au fait, tu es sûr que ça ne te dérange pas que je laisse mes pokémons au Old Cowboy ? Je ne voudrais pas te causer des soucis d'organisation ou des charges trop lourdes.

Lors de ma demande alambiquée, le jeune homme, plutôt que répondre d’une manière plus ou moins abrupt, sourit tranquillement, ce qui m’amusa, et je pense que c’était la meilleure des réactions a avoir. S’il avait réagis en m’agressant, j’aurais été vexé, s’il avait répondu quelque chose sur la plaisanterie, il m’aurait fait des espoirs. S’il avait râlé il m’aurait mis mal a l’aise. EN souriant, il me fit bien comprendre que rien n’était envisageable entre nous, mais que ça ne le dérangeais pas que j’agisse ainsi. Et puis, je n’étais pas fou amoureux de mon ami, il n’était qu’un ami, alors ce ne me dérangeais pas qu’il me repousse comme ça. NE pas confondre amour et amitié, c’était la base d’une vie. J’aimais bien quand même ce petit bonhomme aux cheveux bleus. Du coté de Riolu, elle semblait plutôt surprise, mais se calma suite au sourire d’Akuzo
Le jeune homme ne tarda pas a m’expliquer la raison de sa venue : il avait profité d’une apparition massive de Pokémon a Lavanville, pour venir ici. C’est vrai que c’était la porte a coté, et a dos de Trioxydre, il ne devait pas avoir mis plus de deux heures pour venir ici. Et encore, je comptais a vol de Tropius. Avec sa tête de course, vingt minutes tout au plus et c’était réglé, haha. Il continua en m’expliquant qu’il comptait me laisser ses Pokémons, pour qu’ils restent ici librement. C’est vrai que j’en hébergeais quelques uns a lui, mais ils ne m’encombraient pas, au contraire, tout le monde était bien heureux d’avoir de nouvelles têtes a chambrer. En plus, j’étais bien d’accord avec ça, les boites PC n’étaient pas les plus confortables pour nos redoutables combattants. Ça me rendait un peu inquiet d’ailleurs de savoir mes Pokémons stockés dans une base de données. Je les préférais bien physique, quitte a me trainer dans les pattes.
Une fois arrivé a la ferme, je regardais mon compagnon, il ne mis pas longtemps a reperer ses amis et Pokémons, qui étaient tous plus ou moins la, et rien qu’a voir le sourire de bonheur de mon ami, je me doutais qu’il n’avait pas choisi ma pension pour rien. Après tout il connaissait la maison, et il savait a qui il confiait ses Pokémons. Ce n’était pas comme les pensions les toutes petites qu’on trouvaient, je crois, au sud de Safrania, qui n’accueillaient que deux Pokémons contre de l’argent, sans qu’on sache le traitement qu’il y avait derrière. Non, ici il savait qu’ils étaient bien traités et heureux, et surtout que la porte de la maison (et de la chambre a couché) était toujours ouverte !
Finalement, le jeune homme me demanda si ça ne me dérangeais pas d’avoir tout son équipage. Cela me fit sourire, avant que je ne pose ma main avec entrain sur son épaule. Après un sourire de couillon, je lui dis :

-Plus y’a de monde chez moi, moins il y a de Pokémon en danger. Tant que je sais que des Pokémons sont ici, je sais qu’ils sont en sécurité. Et tant qu’ils continuent d’arriver, je te sais en vie, mon ami, et cela me suffit.

Je souris, puis nous entrions dans le salon, ou Jacob était en train de lire. Quand il me vit, il s’approcha inquiet, c’est normal, puis après quelques minutes ou je lui expliquais que tout allait bien, que Absol était dans sa ball, que je n’étais pas blessé et tout le tralalala, nous grimpâmes a l’étage, puis on entra tout les trois dans le bureau. La, je pris ma place sur mon siège de bureau, et me poussais afin qu’Aku puisse venir derrière avec moi, puis ensemble (enfin, plutôt lui que moi…), nous configurions la base de donnée afin que ses Pokémons soient envoyés directement ici. Une fois ceci fait, pendant qu’akuzo partait courir après les recrues qu’il cherchait a récuperer, je pris discrètement un anti-douleur, avant d’entendre la voix de Gallame dans ma tête :

« -Tu t’es fais mal. »
« -Oui. Evidemment, sauter d’une fenêtre en flamme en me tenant sur mes deux pieds ça fait pas du bien… »

Pas de réponse, je me doutais que le Pokémon psy était déçu de mon attitude. Après un soupire a mon tour, je sorti, et parti a la recherche de mon ami. Quand je le retrouvais, Lucario était a ses coté, en train de dire au revoir a sa fille. Après un sourire attendris, je retournais dans mon bureau, sur ma paperasse, en attendant qu’aku ait terminé, et que tout ses Pokémons aient fait leurs « au revoir » aux parents et autres amis.

Configurer la boîte PC était bien plus compliqué que je ne l'aurais cru. Je savais que les professeurs comme Chen usaient quelque fois de ce procédé avec leurs "recrues" les plus talentueuses, mais au vu du casse-tête que ce fut, je comprenais mieux pourquoi ils ne pratiquaient pas l'exercice avec tout un chacun. Quoiqu'il en soit, une fois la besogne effectuée, je préférai laisser Rodrigue prendre un peu de repos. je sortis donc de la pièce, pour aller saluer correctement mes pokémons.

Le Old Cowboy était un véritable havre, où mes pokémons passaient du temps ensemble, mais aussi avec les pensionnaires de Rodrigue. Je pris un peu de temps pour prendre des nouvelles de tout le monde et les présenter à Motisma également, qui rencontra ses parents par la même occasion. Il fut toutefois bientôt temps de repartir. J'avais quelques petites choses à vérifier, avant de me mettre en chasse d'un Gringolem : et autant aller y regarder de suite avant de partir pour Unys. Après tout, le voyage serait sans doute long.

Finalement, le calme revint a la ferme. Akuzo était parti, quant a moi, j’étais en train de finalisé l’achat de mes billets de bateau. En effet, je prévoyais de voyager a Hoenn, et je ne pouvais pas y aller a dos de Pyrax malgré tout. Je devais avoir un minimum d’organisation. Et pour cela, j’avais donc pris un bateau pour dans deux jours. En effet, avant cela, je voulais aller au safari régional, qui était a deux coup d’aile de Pyrax. Le Safari m’interessais, car j’allais grandement pouvoir complété ma collection de Pokémon, et trouver certains Pokémon rares, tels que Mimitoss, Leveinard ou Rhinocorne.
Donc, une fois mes billets imprimés, je fis appeler Jacob. Là, je lui expliquait diverses choses. Tout d’abord comment allait tourner le Old Cowboy. EN effet, avec plus de gens, cela demandait une organisation supplémentaire. Je lui donnais donc ses nouvelles consignes, en dévouant a plusieurs gardiens les taches les plus aisées, notamment de garder, de surveiller les arbres, qui subissaient une étrange maladie et qui refusaient de donner de quelconques fruits, ainsi que de rassurer les habitants. Ensuite, je demandais a mon associé de me faire un rapport a chaque arrivée de Pokémon a la ferme, histoire de savoir ou nous en étions pour tout cela.
Ceci fait, je me levais, et fis ma valise tranquillement, renouvellant mon stock de nourriture. Une fois mes préparatif terminés, je pris mes pokeballs, avant de prendre Pyrax. J’étais plus rassuré de savoir Pyrax avec moi le temps qu’Absol aille mieux. J’avais l’impression qu’il était en cente de desyntox, terrible… Pendant que je faisais tout cela, j’expliquais a Jacob mes projets une fois a Hoenn. Trouver une compagne a Absol, puis trouver le Maître Capacité pour Glas de Soin, ensuite rendre visite a Thélos. A partir de la, je n’avais pas d’autre idées, mais je me doutais que ça allait durer un moment. Une fois mes préparatifs terminés, nous partîmes joyeusement de la ferme.

Résumé du Rp:

» La suite [réservé à Aya]
» [réservé (A.)] Doublonville : Entraînement
» The Sons of Kanto [reserve Aya]
» Briser la glace... [RESERVE]
» Un ciel fleuri [Réservé par Morichi]