Le lancement de la Légende !

La brise qui secouait les vagues était fraiche et agréable. Elle secouait les mèches de mes cheveux les plus légères, celles devant mes yeux, dans une douce caresse. Le soleil était haut dans le ciel, et il cognait dur. J’avais l’impression que du feu tombait depuis le ciel. Moi qui n’avait jamais quitté Frimapic, me voila bien ! La brise continua, se perdant dans l’océan. J’étais confortablement assit sur le dos de Loklass entre deux bosses. J’en avais une entre les jambes à laquelle je m’agrippais autant que je m’y appuyais. Je m’ennuyais à vrai dire.
Mon regard se leva vers le ciel. Grand bleu, énorme. Vide aussi. En effet, nous sommes en pleine mer, et bien que cela n’ait aucun lien, il n’y avait aucun nuage nulle part. Pas même à l’horizon. Donc au moins, je n’aurais pas à redouter une tempête. Il n’y avait rien d’autre dans le ciel, à part le soleil. Pas même les pokemons oiseaux. Surement qu’ils ne devaient pas voler si loin de la côte. Je soupirais, en revenant en avant, les yeux complètement éblouit pas le soleil si lumineux.
Je m’ennuyais, et je devais une occupation et vite, avant que je ne me mette à faire des bêtises avec mon pokeradar. Je me levais donc, et marchais la distance qui me séparait du bord de Loklass (environs trois pas donc) et je me mis a genoux. Durant les premières secondes, je vis mon reflet, encouragé par le soleil. Après quelques secondes, je fis un pas sur le coté, et cachait la lumière aveuglante avec ma tête. Mes yeux mirent ensuite quelques secondes à accomodé, et a voir sous l’eau. La pareil, il n’y avait rien dans les fond marins.
Je soupirais, et continuais a fixer la mer, comme si je craignais de voir un Wailord surgir, ou a la recherche de quelques viskuses… Mais non. A par les abyss desesperément noires, il n’y avait personnes dans l’eau. N’y avait-il donc personne dans le trou paumé de cet océan ? Quoi que finalement, cela m’arrangeait. Je preferais cela plutôt que savoir qu’il y avait quelques Sharpedo qui nous nageaient autour. On aurait été ennuyé si cela était arrivé… Je me rassit lourdement, en soupirant : decidement le Destin était contre moi…
Alors que ma tête retournait sur le sommet de la bosse, j’entendis Loklass se mettre a chanter. Que sa voix était belle… Je pris un bon moment pour l’écouter, avant de me joindre a elle. Au debut, ma voix était faible et hésitante, comme si je craignait que quelqu’un ne m’entende, puis au bout d’une bonne heure, je chantais joyeusement a plein poumon pour accompagné ma monture. On était paumé loin de la cote, alors il n’y avait aucune probleme, pour que les gens sur la terre la bas nous entendent…
La terre ?!
Ma voix s’arrêta de même que mon regard se tournait précipitemment vers la berge. Joie, bonheur ! Comme si j’étais monté sur un ressort, je me remis sur mes pieds, et commencait a faire les cent pas (les trois pas) sur le dos de Loklass qui nageait toujours aussi vite. Mais d’ici, j’avais l’impression qu’elle prenait son temps, et cela m’agaca. Je fourrais mes mains dans mon sweet-shirt, et s’attendis. Puis, en ayant marre, je posais mon sac sur le dos de Loklass, et sautais a l’eau, persuadé d’aller plus vite a la nage que la haut.
Vous avez déjà essayé de faire la course avec un poisson ? Moi non plus. Mais c’était pas très intelligent de ma part. En effet, alors que j’étais sur son dos, Loklass semblait nager très doucement. Mais la vérité était qu’elle nageait vite. Très vite. Trop vite. En un instant, elle fit assez loin de moi, me laissant a peine le temps de faire quelques brasses. Me stoppant au milieu de l’océan, je laissais un grognement m’échappé, alors que ma bouche passa sous l’eau. Mon grognement se mua en un gargouillé assez moche, puis je tachais de retrouver ma compagne, qui m’attendais avec un sourire amusé sur les traits.
Une fois de retour sur mon ile flottante, je me rassit, et regardais au loin. A mesure qu’on s’approchais, je vis qu’il y avait une espèce de fête qui avait lieu sur la plage. Génial, des gens… Un nouveau grognement s’échappa de mes lèvres, alors que mes mains vinrent se saisir de mon capuchon, pour le rabattre sur le haut de ma tête, et ainsi cacher le haut de mon visage. J’avais pas envie d’accoster la bas, mais je n’avais pas le choix, cette plage étant la seule plage a des kilomètres a la ronde…
Je me remis ensuite sur mes pieds, et attendit. Après quelques minutes, je sautais dans l’eau. Maintenant elle m’arrivais au genoux. Je recuperais mon sac, que je mis sur mon dos, avant de faire revenir ma compagen dans sa pokeball. Je vis ensuite quelques pas, avant qu’un étrange type déguisé en clown ne s’interpose sur mon chemin. Sans lever la tête, j’écoutais l’homme faire, de sa voir gaie et enthouasiaste :
-Voyez qui nous viens de la mer ! Bienvenue a Ville-Friotte ! Pour te récompensé de ce long voyage que tu as fais, voici des pokeballs !
Il me refourga cinq pokeball, que je fourra dans ma poche ventrale, sans l’écouter plus. Visiblement il était en train de vanter les mérites de la ville. JE soupirais, fis un pas sur le coté, et m’en allais, l’ignorant somptueusement. Cependant, au loin, je vis un homme, qui avait, négligemment, laissé son porte monnaie depasser de sa poche. Alors sans me faire prier, je me dirigeais d’un pas sur, avant de lui rentrer dedans. Durant le choc, ma main subtilisa le porte monnaie, que je fourrais dans ma poche, avant de reculer d’un pas et de faire :
-Excusez moi.
Puis je repartis tout aussi vite, fuyant la présence humaine. Je traversais la ville sans un regard autour de moi. Je reviendrai dans la soirée, quand il n’y aura plus personne pour m’ennuyer. JE me refugiais en foret, au nord de la ville. Je m’enfoncais dedans assez loin, avant de trouver une clairière. Je m’assit contre un tronc, avant de sortir le porte feuille de l’homme. Je l’observa un instant, avant de sortir la photo de lui de sa femme et de ses deux gamins. Après une mine de dégout, je degageais la photo, avant d’aller la ou ca m’interessais : l’argent.
Consciencement, je me mis donc a compte combien j’avais gagné… 1000…2000…3000… 3000 tout rond. Cela faisait un sacré pactole ! Je ricanais, avant de ranger cet argent dans la poche de mon sac, et de me remettre debout. Je regardais autour de moi. Maintenant, il fallait que je trouve un pokemon feu. Je sais pas si j’allais trouver dans cette foret, mais bon, verra-t-on bien. Ma main se glissa sous ma capuche dans mes cheveux, alors que je me grattais la tête. Je me remémorais comment j’avais fais pour attraper mes premiers pokemons, puis je m’enfoncais dans la foret tranquillement. Au bout d’un bon moment de marche, je remarquais que les arbres s’écartaient. Ca tombe bien, j’avais un pokemon devant moi.
Avec un sourire de vainqueur, je fis apparaitre Loklass qui apparut gracieusement entre les arbres.

-C’est partit Loki, donne tout ce que tu as !

T'veux briser la glace ?!:

Le dé shiney, c'est parti ! :D

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'Le dé Shiney' :
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FOUINETTTTTTTTTTTTTTTTTTTTEEEEEEEEEEEEEEE !

John.

Ce pokemon, c’était un Fouinette. Je levais la tête : décidement, je n’étais pas habitué a croiser d’autre pokemon que des pokemons glaces, et j’avouais que cela me destabilisais un peu. Bon soit, je sais ce que j’avallais faire. Ce pokemon était somptueusement naze. Mais j’allais l’attraper, puis le mettre en vente. Comme ca, je me ferais assez de money money pour ensuite me racheter des pokeball. Voyons voir.

-Loki, fait Berceuse tout en lui souriant, puis utilise Empal’Korne, mais seulement si’l dort. Sinon recommence Berceuse.

Voila mes ordres lachés, je m’assit sur le sol, en tailleurs, puis me mis a compter. Voyons voir. Je vais capturer cette daube, cela me ferais donc 1 pokeball en moins, donc 100 pokedols en moins. Mais si je le revends a 500, cela me ferais un benefice de 400, et donc je pourrais m’acheter quatre nouvelles pokeballs. Ou alors je pourrais bien l’échanger, mais je doute que quelqu’un veuille de ce pokemon.
Boarf, je verrais. Pour le moment, je regardais ce qu’il se passait devant moi, après tout c’était mon combat, et il fallait quand même que je supervise ce qu’il se passait. En faite, ce que je voulais, c’était en finir vite. Or, je savais qu’Empal’Korne ratait la plupart du temps, mais si la cible ne bougeait pas, cela minimisera les chances a l’attaque de rater. Il faudrait que j’emploie cette technique régulièrement, et peut être qu’avec le temps, Loki parviendra a la placer systematiquement ? J’en doutais, mais c’était beau de rever.
Doucement la douce voix de Loklass envahit la zone, et je me laissais bercer moi aussi. Pas question de m’endormir, mais je pouvais bien apprecier cette voix. Elle était si harmonieuse, si douce. J’aurais jurer entendre une mère chanter pour son enfant tourmenté par des cauchemars. De vilain cauchemars. Le Croque-mithaine devait bien s’amusé a cet instant. Moi de mon coté, j’aurais bien voulu que Loki ait devoreve, mais bon, je ne pouvais pas otut avoir, et je n’avais pas d’interet a lancer cette attaque, sauf peut être perdre un tour ?
Ou alors je vends Fouinette a 400 ou 300… ? Je sais même pas si les gens en voudrons. Boarf, je toruverais bien un fou qui en voudra.

Ca jette un froid, hein ?:

Ça c'est de l'efficacité, une petite chanson plus tard voilà que Fouinette s'est envolé pour le pays des rêves et avec Empal'Korne c'est une conclusion éclaire : voilà que le pokémon est KO et que ce match est terminé avant d'avoir commencé.
La suite c'est quoi ?

Just K

Voila, Fouinette s'endormait a la suite de la voix de ma belle Loki. Tout en me redressa, j'avais décidé que finalement, ce pokemon, completement inutile, j'allais pas le capturer, ca allait être une perte d'argent considérable. Donc, Loki se traina jusqu'a lui, et a l'aide d'Empal'Korne, mit fin au combat. En faite, ce que je vis, fut un Fouinette partir au travers des bois, pour s’écraser quelques mètres plus loin. Je m’approchai de Loki, et grimpa sur son dos, pour lui caresser le haut de la tête.
A l’aide de mes ongles, je lui grattais le haut de la tête, et elle se tortilla de joie sous ma douce attention. Elle chercha même un peu plus le contact, quand celui-ci s’éternisa, et finalement, je passais ma main sous son museau. Un ronronnement puissant s’échappa de sa gorge ravie. J’aurais pu faire un remake de Dragon, mais ce n’était pas mon but, de ce faite, elle apprécia juste plus la caresse sous la gorge.
Finalement, au bout de quelques minutes, je la lachais, pour m’approcher de Fouinette. J’attrapais un baton courbé en son sommet, et lui poquait le flanc. Voyant qu’il était bien hors combat, je souris, et regardais le baton. Il était legerement plus grand, et il avait un espèce de croissant de lune au sommet. Je levais un sourcil, avant de me dire qu’il pourra m’aider, dans l’une ou l’autre situation. Il semblait assez robuste, alors je decidais de le garder, comme une arme, vous savez, pour écraser sur le sommet du crane des gens trop collant. Ou alors pour les assomés.
Je revins auprès de mon sac, et attrapais le pokeradar. Je vint alors m’asseoir sur Loki, qui me regarda faire. Moi de mon coté, je ne comprenais pas comment cela fonctionnais. Je l’ouvris, le refermais, puis le rouvrit, il y avait un écran, quatre bouton, un truc qui ressemblait a un écran graphic de ma calculette de colège… J’appuyais sur les quatres boutons, ca marchais pas, puis finalement, pensant qu’il avait prit l’eau, me mit a le secouer. La choc émit un long « bip touit ».
Je levais un sourcil, ne comprenant pas trop comment j’avais fais pour le faire marcher. Et je savais pas trop ce que j’avais fais, étant donné que rien ne s’était passé. Durant les premières secondes. En effet, après quelques instants, je vis un buissons remuer a l’endroit ou j’étais tout a l’heure. Ah, surement que c’était la machine qui l’avait attiré ? J’en sais rien, d’un rapide coup d’œil sur la machine, je vis qu’il y avait un point qui clignottait dessus…
Dans un soupir, je me levais, et m’approchais du buisson, dans l’idée de deloger le pokemon dedans a l’aide du baton, qui me procurait une allonge de deux mètre visiblement.

-Voyons voir qui se cache dans ce buisson…

Ca jette un froid, hein ?:

Petite germe deviendra grande !

John.

Une petite feuille apparut parmit temps d’autres, avant que je ne me recule, pour voir un Germignon apparaitre devant moi. Je levais un sourcil, et fis ce geste debile, des gens qui avaient quelque chose pendant longtemps et qu’ils en l’ont plus : attraper le pokedex. Mais vu qu’il avait sombré en compagnie de mes pokemon et de mes chaussures au fond de l’océan, ma main se referma sur du vide. Je soupirais, et remis le sac dans mon dos, et m’appuyais sur le baton, le laissant sortir de son buissons. Je m’accroupi un instant ensuite, et tendit la main pour qu’il s’approche. J’avais un sourire amical.
Finalement, je m’assit, laissant le baton au sol derrière moi, et tendit la main. J’attendis que le petit pokemon daigne s’approcher de moi, et je lui caressais la tête. JE pouvais me montrer d’une grande patience quand je voulais quelque chose. Une fois le pokemon a proximité, je fis un mouvement a Loki, afin de lui ordonner d’attaquer. JE me doutais qu’elle savait quoi faire. Doucement, sa douce voix emplit l’atmosphère ravissant mes oreilles, et surement celles de Germignon aussi.
Je souris, j’aimais beaucoup la voix de ce pokemon, et l’entendre aussi souvent me ravissait, bien que j’avais peur de m’en lasser. Mais bon, je pourrais toujours lui demander de chanter autre chose si j’en avait marre. Donc alors que la berceuse continuait tranquillement, je regardais autour de moi, peut être que d’autre pokemon pourraient être attirés par la belle voix de Loki ? Je souris, avant de regarder Germignon : allait-il succomber a la voix de mon pokemon, ou bien faire style de rien ? Je souris, sans bouger, inutile de faire des mouvements inutile, car s’il était en train de s’endormir, faire un mouvement serait passible de le reveillé, et ce n’était pas ce que je voulais.
Je fis un autre mouvement a Loki discret, qui su aussi quoi faire : pourquoi changer une tactique qui marchait ? Si cela me permettait de gagner facilement, alors j’allais pas me gener pour me servir de ca.

[Il manque la balise modération...]

Voyant la scène, un Ranger Pokémon vous surprend et vous empêche de tenter quoi que ce soit sur le Germingon.

_ Eh ! Vous comptiez faire quoi là gamin ?

John.

Alors la, jai pas compris ce qu'il s'était passé : Lokhlass s'était bel et bien mise a chanté, pourtant cela n'avait rien fait. En effet, Germignon était toujours entre mes mains, a la recherche de câlin. Cela me fit soulever un sourcil, d'autant plus que la voix de Loki rameuta un Ranger, qui, porté par son devoir, était venu a la rescousse du germignon. Mais pour le moment, j'avais encore absolument rien fait, en faite...
Je soupirais, avant de prendre tendrmeent le pokemon plante dans mes bras, et je me revelais, pour faire face au Ranger. Prenant l'air le plus gamin que j'avais dans mon repertoire, je lui mit le pokemon sous le nez, en disant, enjoué, bien que je n'avais qu'une envie; s'était de partir, ou de le faire partir :

-Regardez monsieur ! Ce pokemon c'ets un Germignon ! Il est trop mignon ! Je faisais rien de mal, je le caressais juste. J'ai pas le droit ?

Non mais vraiment, j'avais pas besoin de me passer pour une fillette de 16 ans en plus de ca. Je lui fit un petit sourire, avant de m'approcher, guillerret d'apparence de Lokhlass, et de faire pareil, de lui mettre sous le nez, avec la me^me intonnation, et le même enthousiasme :

-Tu as vu Loki ! Il ets mignon hein ? Dis, petit pokemon plante, tu veux venir avec nous ?

Je le reposais par terre, délicatement, inutile de faire du mal a ce pokemon, c'était pas lui qui me frustrait, mais le Ranger, que j'évitais soigneusement de regarder, n'ayant pas envie ni de le voir, ni de l'entendre, ni même de savoir qu'il était la. Mais soudain, une bonne idée me traversa l'esprit. Je regardais le pokemon plante, avant de lui faire, avec un réel anthousiasme cette fois :

-On pourrais découvrir le monde, aller au dela des plus hautes montagnes, au dela des plus profondes forets ! Et le soir, quand la nuit sera bien froide, que la neige tombera, on chantera tout les trois autour d'un feu pour se rechauffer !

Alors que je me baladais dans la zone, rien a faire du Ranger tranquillement, je finis par grimper sur le dos de Loki, et me colla a elle pour mimé que je me rechauffé, et je lui murmurais mes ordres simples : endormir et le Ranger et le Germignon. Puis si je n'arrivais pas a l'endormir, je pourrais toujour sl'assomer avec le baton. Je finis par sauter au sol, et m'accroupir devant Germignon, avec un sourire enfantin sur les traits, les mains sur les genoux, le baton derrière moi. Je lui demandais finalement simplement :

-Ca te dis ? Tu seras bien traité, tu n'as pas a t'inquièter.

JE souris et tendit la main, pour revenir le caresser sur le haut de la tête avec une mine réellement joyeuse, ayant completement zappé la présence de l'autre homme qui était venu se meler de nos affaires.

Ca jette un froid, hein ?:

[/color]

Le ranger n'est pas un amateur et voyant votre tactique, se bouche les oreilles automatiquement. Une fois la berceuse passée, ce dernier vous prend par le colbac et vous menace de prison, tout en criant d'autres menaces.

Pendant ce temps-là, le Germignon s'est enfui, pris de peur par le Ranger... Dommage, à moins que vous ne puissiez courir vite.

John.

Décidement, Lokhlass n’avait pas de chance, personne ne daignait l’écouter. Je regardais le ranger se boucher les oreilles, avec un leger regard haineux envers lui, et je ne m’attendais pas a ce qu’il s’en prenne a moi directement. Quand il m’attrapa par le col de mon pull, qu’il manqua de deformé a tirer dessus comme un bœuf, je serrais la main sur le grand baton que j’avais dans la main. Je l’écoutais deballer ses menaces, et mes sourcils se froncèrent, alors que je faisait revenir Loki dans sa pokeball. Inutile de la laisser hors de l’eau plus longtemps. Une fois ma compagne dans sa pokeball, je réalisa qu’il me tenait toujours, et mon regard se fit soudainement plus dur.
Alors que le bout de mon baton s’enfoncait dans le ventre du Ranger, je profitais que sa poigne se desserre, pour me reculer d’un pas, avant de le toiser froidement, et de dire :

-Aller en prison ? Pour capturer un pokemon ? AHaha, laisse moi rire !

Ceci fait, je lui lancais un autre regard noir, avant de me detourner, et de partir dans la direction que le petit pokemon plante avait emprunté, a la recherche de ce dernier. Je ne voulais pas le laisser partir en étant terrifié. Rien de bon ne pourrait arriver… Donc, enjambant le buisson, je partis, m’enfoncant encore plus dans la foret, laissant aussi le Ranger, surement plié en deux, derrière moi. Je faisais attention a ne pas faire trop de bruit, a ne pas faire de mouvement brusque, et mes yeux tombaient régulièrement aux pieds des arbres, a la recherche d’un trou dans lequel il aurait pu se cacher.
Cela me fit aussi bizarre d’entendre une foret aussi calme. EN effet, lorsque j’étais dans la foret, du coté de Frimapic, comme il y avait de la neige tout le temps, il n’y avait pas un bruit, pas un ronflement, pas un bruissement, car la neige étouffait beaucoup les bruits, de ce faite, me retrouver ici, sans neige, me donnait l’impression d’être un tank sur un champ de bouteille de verre… Finalement, il s’arrêta un instant, inspira, expira, afin de calmer sa respiration, et continua sa progression, après quelques pas, il fit tout haut :

-Germignon… Reviens s’il te plait ! Je ne te ferais pas de mal ! Je le jure ! Reviens…

Je laissais ma voix zigzaguer autour de moi autour des arbres, avant de me laisser aller contre un tout grand. Je me retrouvais assit au sol en soupirant, avant de dire en contemplant mes pieds :

-Je fais rien que tout gacher… Illuminé de ranger va ! J’aurais du taper sur son Capstick tiens ! Grrr !

JE soupirais, alors que ma main regarda le baton posé a coté de moi. Oui, avec ce truc, j’avais une assez grand allonge, et je pourrais me defendre en cas d’attaque… De pokemon trop nombreux par exemple. Je décidais donc de le garder, en soupirais. JE pris le machin que j’avais utilisé avant.. C’ets quoi son nom déjà ? c’est écris dessus… Ah oui, el pokeradar, et je regardais plus attentivement. Je ne voulais pas l’utiliser maintenant, je voulais savoir comment ca marche.
Donc, plongé dans la découverte de la machine, je ne me rendit pas compte qu’un petit pokemon curieux était devant moi, a bien trois mètre plus loin. Germignon ou pas, alors, mister ?

Ca Jette un froid, hein ?:

Vous courrez donc voir si le Germignon dans les parages. Le ranger vous poursuit mais vous avez le temps de voir le Pokémon. C'est un simple Roucool, le Germignon doit être loin maintenant !

_Dis donc gamin ! Pars d'ici si tu veux sauver ta peau ! Que je ne te revois plus trainé dans les parages !

Eleven

Décidement, j'étais tombé sur THE ranger collant. Je vis un petit roucool paître devant moi. Surement devait-il grignoter quelques baies ou autre conneries du genre. Cependant, a peine avait-il capté ma présence, qu’il me fixa, avant de partir en toute hâte, quand le Ranger arriva en m’hurlant dessus, de nouveau. Cela me fit froncer les sourcil, et me fit aussi soupirer d’agacement. Comment lui faire comprendre que je ne voulait pas de sa compagnie, que je ne voulait pas de sa pseudo morale, et que, par l’Homme de la Lune, merde, j’ai rien fais de mal ?!
Je ramenais mon baton contre moi, avant de le remettre droit, et de me redressé, laissant mon arme de fortune le long de moi. Il était encore a quelques mètres de moi, et profitant de la distance, je lui soulevais le menton afin de bien voir ses yeux, parce que ceux-ci étaient cachés par ses cheveux, avec l’aide du croissant de lune du baton. Avec un sourire mauvais je declarais alors, tout en le fixant droit dans les yeux :

-On vous apprends a l’école des Rangers comment foirer une capture de pokemon ? Tu dois être le premier de la classes non ? Ecoute moi gamin, tu m’empeche de capturer les pokemons, a remuer de l’air comme tu le fais. Alors tu vas arrêter de croire que cette foret est ton domaine, et tu vas t’asseoir gentiment.

Mon regard tomba autour de moi, alors que le baton retournait a mes cotés. Après quelques minutes, je vis ce que je cherchais. J’ai vécu durant une année dans la foret du nord de Frimapic, et, bien que les conditions soient différentes d’ici, il y avait bien une chose que j’avais remarqué : les baies poussent, peut importe l’endroit. Et durant mes froides nuit de disettes, j’avais longuement cherche des baies a me mettre sous la dent.
Durant ma retraite, j’avais appris une chose, c’était que toutes les beies, pour les pokemons étaient comestible,s mais pour les humains, la donne était différentes. Les baies sibanac, par exemple, déclenchaient des fous rire a qui en prenait. Je me souviens m’être longuement tenu les côtes en me roulant dans la neige, tant l’effet de quelque dizaine de ces baies avait été puissant. Et ces baies, je les voyaies la bas. Très semblables a des baies Tronci, elles avaient cependant une texture différentes de cette des Tronci.
Je m’approchais donc du bosquet, et les cueillis tranquillement. Pour les cueillir, j’étais penché en avant, et ma capuche tomba sur ma tête. Trouvant qu’elle y était bien, je l’y laissais, avant de revenir vers le Ranger. Je lui pris sa main, et glissais les baies dans le creux, avant de faire froidement :

-Mange et maintenant pour la dernière fois, laisse moi !

Je le considerais un instant, avant de … de faire quoi ? Si je partais, il allait me suivre, si je restais il allait m’embeter… que faire que faire… Je finis par lui tourner le dos, avant d’attraper mon sac, et de me rendre compte qu’il y avait un grand trou dans le fond. Aaaah, c’était bien ma veine. Je soupirais, avant de me rendre compte qu’il y avait la place d’y glisser le baton. Aussitôt je mis le baton dans mon sac, et tout en faisant cela, je vis que je pouvais grimper a l’arbre.
Je grimpais donc dedans agilement, tout en grognant : j’aurais bien voulu avoir le germignon… Une fois au sommet, et convaincu qu'il ne pourrait pas m'aider, je regardais le ciel, j'aimerai bien avoir un pokemon vol... Ou un quelconque autre pokemon. J'attrapais donc mon pokeradar, et le mit en marche. La machine émit ton bruit, alors que mes yeux continuaient de fixer le ciel attentif.

Ca jette un froid, hein ?:

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Voilà que vous êtes au sommet d'un arbre maintenant... Le ranger vous regarde, et vous prend pour un fou. Quelle chance, il s'en va ! Mais juste après vous apercevez des silhouettes au loin. D'oiseau. Ils semblent foncer sur vous. Ils sont deux.

Ils n'ont pas l'air très content en vous apercevant, et tente de vous donner des petits coups de becs. Peut être que leur nid se situe là. En tout cas votre réflexe est de descendre, mais même là ils vous suivent. On dirait bien que pour eux, la vengeance est un plan qui mange froid... (Jack Frost, froid...)

Eleven.

D’un rapide coup d’œil vers le bas, je vis que le pot de colle me regardait d’un air circonspect. A ce regard, je su immédiatement que dans son esprit je n’était qu’un pauvre fou, qui n’avait surtout pas beosin d’attention. Soit, qu’il parte, il était mieux loin de moi. Donc, perché dans cet arbre, j’étais bien. Je sentais l’écorce dure sous la plante de mes pieds, je sentais le vent penetrer dans mon sweet, je sentais des feuilles caresser mes chevilles. J’étais bien la haut, et je suis sur, que perché de la haut, le coucher de soleil serait magnifique.
Mais ledit soleil était encore très haut dans le ciel, et je n’avait pas le courage de rester la haut a attendre. Au loin, je vis deux point noir. Surement des pokemon vol. Je n’avais jamais été particulièrement attiré par le ciel. J’étais très bien sur terre, et les pieds dans la neige m’allait bien moi. Je suis un homme du nord moi, un vrai ! Un sourire amusé se dessina sur mes traits, alors que je forcait sur mes yeux afin de mieux voir les points, et mon sourire s’effondra quand je vis des Piafabec.
Le truc avec ces oiseaux, c’est que comparé aux roucool, qui se contentent tout simplement de partir, eux c’était des hargneux. Et je me doutais que si j’étais sur leurs terres, non seulement je risquais de me retrouver avec un rapasdepic sur les doigts, mais en plus de bonne blessures. Donc, soit, descendons avant que ca ne tourne au vinaigre. Sauf qu’avant que j’ai pu esquisser un seul mouvement vers le bas, mes yeux tombèrent sur le detail que j’aurais du voir avant : entre mes orteils, il y avait un amas de plume, de brindille et de coquille d’œuf.

Merde.

J’entendis leurs cri strident, et je su que la descente de l’arbre allait être plus rapide que prévue. En effet, eux aussi avait capté que j’avais mis les pieds dans le plat, et m’avaient attaqués, pour l’instant pas trop violemment. Donc, dans la précipitation, je descendis de quelques branches avant de glissé, hey oui, les désavantages d’être pied nu, et me retrouva a chuter sur toutes les branches. Par chance, je sais pas trop comment, je parvins, non sans me sonner quelque instant, a me rattraper a une grosse branche, et a stopper ma chute.
Donc, arrêter dans ma descente, je repris mes esprit, et levais le nez : ils étaient toujours la eux… Donc, je terminais les quelques branches qui restaient, et je me mis a courir, j’avais pas envie de me fritter avec eux. Durant ma course, j’attrapais mon baton, qui depassait genereusement de mon sac, et tourna la tête pour voir qu’ils se rapprochaient. Je m’arrêtais donc, je me mis face a eux, avant de tenir mon arme improvisée a deux mains, et de les attendre. Connement ils me foncèrent dessus, et moi, je donnais un violent coup a l’un des deux l’envoyant plus loin en hurlant :

-Foutez moi la paix !

JE voulais pas une attaque de monstre, je voulais pouvoir en capturé un… Mais la dans ce cas la… Bon, l’un des oiseau devait être, au mieux sonné, au pire furax. Mes doigts, mes pieds et mes chevilles, ainsi que ma nuque étaient déjà couverts de coup de bec, et je craignais que cela ne s’intensifie. Mais en les frappant eux, moi-même directement, j’esperais leurs faire peur. Je ne voulait pas de ces oiseaux, je ne voulais pas avoir affaire a eux. J’aurais pu tomber sur un quelconque autre oiseau, mais non, il a fallu que je tombe sur des stupides piafabec !
Décidement, mon aventure commencait vraiment mal. Je devais faire quelque chose, parce que la, a part avoir des bleus, et des engueulade avec un Ranger illuminé du bulbe, je ne servais a rien. Peut être qu’en allant vers la grotte de je sais plus quoi a coté de Ville Griotte, je trouverais quelque chose d’interessant ?

Soit, je crois que l’Antre Noire sera ma prochaine destination ! Mais pour l’instant, je devais degager ces oiseaux. Tient, je pourrais peut être les manger, ce soir ?

Ca jette un froid, hein ?:

Vous croyez quoi ? Vous êtes un humain, et eux des Pokémon. Le Piafabec esquive votre bâton, et apparemment, si vous ne sortez pas un Pokémon à qui ils vont faire la fête, c'est sur vous qu'ils vont se venger, ils commencent donc à vous attaquer. En attendant, ils vous pince, vous griffe... Vous l'avez bien mérité, non ?

Eleven

Alors qu eje detalais tel le lapin blanc que j’étais, je reflechissais a ce que je pouvait faire. JE pouvais pas les laisser m’attaquer comme ca. Je grognais un instant, alors que je sentais a nouveau leurs serres entrer dans ma peau pour la pincer. Ah, je sens que j’allais souffrir encore un moment après eux. A moment donné, l’un décidé de s’attaquer a mes cheveux, et la, ca ne me fit pas plaisir. Donc, prenant mon bâton a deux main, oui oui, j’ia bien dis le bâton, pas le courage, je frappais de nouveau au dessus de moi, dans l’espoir de le faire degager, puis je bifurquais dans la foret un peu plus profonde.
Je cherchais une clairière assez grande pour accueillir Loki. Mais comme j’vaais décidement pas de chance, il n’y en avait aucune qui se présentais, mais cela me permettrait de mettre en place mon plan, même si, depuis tout a l’heure, tour ce que je mettais en place finissait a l’eau… Un nouveau soupire dépité s’échappa de mes lèvres : j’arriverais pas a refaire ma vie, mince, j’avais perdu tout mes potes, j’arrivaient pas a capturer un seul pokemon, et j’étais en train de detaler face a des pokemons un peu trop aggressif.
Décidement s’était pas ma veine, mais il fallait que je garde espoir, j’arriverais bien a capturer un de ces quatre au moins un pokemon ! Bon, je vois un peu plus loin une clairière, j’attrapais alors la pokeball de Loki, et la lanca en l’air. Ma compagne apparue dans l’herbe, et me regarda courir comme un fou vers elle, oui, elle était apparue un peu plus loin de moi, et je lui hurlais, sans m’arrêter :

-Endors moi ces oiseau de merde ! Utilise Berceuse sur chacun d’eux !

Puis, je m’arrêtais a quelques mètres devant elle, et me mis a nouveau a agiter mon bâton, dans l’espoir de les blesser, alors que Lokhlass attaquait elle aussi. Si au moins l’un des deux pouvait s’endormir, je pourrais m’en servir comme otage… Je supposais que les deux piaf étaient ensemble, vu qu’ils m’attaquaient ensemble depuis tout a l’heure… Non ? J’esperais surtout que leurs cri n’en avaient pas rameutés d’autre, parce que, meêm avec toute la bonne volonté du monde, même Loki ne pourra rien y faire…

Ca jette un froid, hein ?:

Les oiseaux n'ont aucun mal à éviter vos coups de bâtons... A mon humble avis, ce n'est pas vraiment la bonne solution, vous semblez, au contraire, plus les énerver qu'autre chose. Mais au moins, ça à le mérite de les occuper et votre Lokhlass à le temps qu'il faut pour les endormir... Enfin, le doux son de la berceuse n'atteint qu'une oreille, faisant tomber le premier Piafabec au sol. Le second, conscient de ce qui arrive à son pote, se place devant son corps endormi prêt à le défendre, tout en regardent méchamment votre Lokhlass (créant un Groz'Yeux). Il finit par utiliser Griffe qui atteint sa cible.
On dirait que vous êtes parti pour un combat...

Situation :

Lokhlass : Forme Très Bonne, def -1.

Piafabec 1 : Forme Parfaite.
Piafabec 2 : Forme Parfaite, endormi.

Dora'

Bon, soit, en me mettant au premier plan, je prenait des attaque, mais ce n’était pas grave, j’avait connu la morsure du froid, alors, même si ca faisait mal, ce n’était pas tout a fais la même douleur, et j’arrivais a passer outre. Et bien sur, n’ayant pas l’habitude de ne plus avoir mes amis gelés, capturés et élevés avec amour a Frimapic, le premier ordre qui me vint a la bouche fut :

-Aglagla utilise Griffe acier sur Piafabec !

Cependant voila, Aglagla mon DImoret n’était plus la, et Loki ne comprit pas ce que je lui voulais. Je grognait de frustration : pourquoi fallait-il que je me retrouve a combattre de vulgaires Piafabec, alors que Dame Glacée, mon Momartik aurait très bien pu les congelés simplemetne n passant a cotés d’eux hein ? Je grognais, avant d’ordonner frustré :

-Loki utilise Berceuse autant de fois que neccessaire sur le Piafabec pour l’endormir !

Je ne réalisais que maintenant, que mes chers compagnon, ceux que, durant uen année, j’avais capturés, que j’avais élevés, qui avaient su réchauffés mon corps congelés lors de ces longues journées d’hiver, eux qui avaient appris compment je fonctionnais, qui savaient exactement ce que j’allais dire avant même que j’ai ouvert la bouche. Eux qui étaient mes amis… Reposaient maintenant quelque part au fond de l’océan.
Mes poings se serrèrent, alors que Piafabec passait juste a coté de moi, comme pour me narguer et ensuite aller piquer mon pokemon eau. Je grognais, alors que j’essayais a nouveau de le frapper : je voulais qu’il m’attaque moi, pas Loki ! Donc a nouveau, ej lui donnais un coup de bâton, en attendant que la chanson de Loki l’atteigne. Ensuite, une fois endormi, ce serait la fin pour eux. Pourquoi avait-je pris ce damné bateau, hein ? Pourquoi était-ce moi qui me retrouvais perdu quelque pat sur uen terre que je ne connais pas, sans mes amis, sans rien pour m’aider, hein ? Il y en avait a qui tout allait bien, qui prenait le bateau tout les jours, et ou tout allait bien.

Et moi, al seule fois ou je prends le bateau, je naufrage, et doit recommencer mon dur labeur d’une année sans personne d’autre que moi pour me soutenir. Je grognais. Non je n’étais pas seul. J’avais Loki. J’aurais pu me reveiller sur cette plage seul. Vraiment seul. Mais en contrepartie, Loki était venu a ma rescousse. Donc non, je n’étais pas seul, j’avais une amie. J’avais Loki.

Ca jette un froid, hein ?:

C'est au bout de la première chansonnette, que le charognard s'endort. Je suppose que vous allez profiter de ce moment d'inconscience de vos ennemis pour partir...

Situation :

Lokhlass : Forme Très Bonne, def -1.

Piafabec 1 : Forme Parfaite, endormi.
Piafabec 2 : Forme Parfaite, endormi.

Eleven.

Quelle joie de voir enfin, ce piaf tomber au sol, et s’endormir, sincèrement. Cela me faisait tellement du bien de me retrouver dans le silence le plus total, exceptés les roucoulement des deux oiseaux en train de ronfler littéralement sur le sol. Tout en les regardant pioncés, je reflechissais a une manière de me venger, une manière a leurs faire regrettés de m’avoir attaqués… Mmmh. Surement ils étaient en couple, car ils m’avaient attaqués tout les deux alors que j’avais marchés dans leur nid.
Ils étaient en couple, donc, il y a de l’amour dans l’air, hein ? A ce que je sache, les Piafabec ne sont pas des inséparables, hein ? Mais je me demande comment cela marcherais si je les séparaient, hein ? Completement inutiles ces oiseaux, alors pourquoi pas. Un sourire mauvais naquit sur mes traits. S’ils étaient parent, surement y avait-il des bébé piailleurs quelque part. Voila uen bien cruelle punition pour eux. Mais c’est pas grave, ils l’avaient cherchés.

-Lokhlass, utilise Empal’Korne sur les deux oiseaux.

Je soulevais mon bras : mon sweet était sain et sauf, il y avait juste des petits trous partout, trous qu’ils avaient fait en plantant leurs griffes dans ma peau. Je soulevais alors la manche, et regardais mon bras .Effectivement, il y avait de nombreuse égratignures tout du long, et la ou j’avais subit leurs coups de bec, il y avait des bleus. Bon, ce n’était rien de grave, ca allait très bien guerir tout seul. Bon, coté reste du corps, mon torse me lancais, la ou j’avais pris les coups de bec et coup de serre, ma nuque aussi. En passant mes doigts je sentis une griffure a la base de ma nuque.
Je touchais un petit moment, afin de m’assurer que ca ne saignait pas, avant de passer ma main dans mes cheveux. Avec toute cette agitation, ils étaient en pagaille, bon pas qu’ils soient completement en ordre habituellement, et en plus, je le sentais sous mes doigts, ils étaient couvert de terre de sel et a la texture surement encore impregné de cette insupportable sensation d’eau de mer. Quoi que mon pull aussi d’ailleurs…

Je me saisis du col, et le reniflait. Ouais il sentait l’eau, je detestais ca. Dès que la nuit tombera, j’irais a Ville Griotte, prendre une chambre dans les centre pokemon, puis je prendre une bonne douche, et lavera mes fringues. Cela ne pourra me faire que le plus grand bien. Mon regard revint enfin sur les monstres : Lokhlass avait réussi a les mettre K.O ou bien ?

Ca jette un froid, hein ?:

Cela est risqué d'usé deux attaques si peu précise. D'ailleurs, les deux échoue. Lokhlass manque la première, et veut exécuter trop rapidement la deuxième. Cerise sur le gâteau, un des Piafabec se réveille et use de Picpic sur Lokhlass.

Situation :

Lokhlass : Forme Bonne, def -1.

Piafabec 1 : Forme Parfaite.
Piafabec 2 : Forme Parfaite, endormi.

Eleven

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