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 OS ouverture du Old Cowboy

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Rodrigue Zwei
Master Quat'Pattes
Rodrigue Zwei


Région : Kanto
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Feuille du personnage
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MessageSujet: OS ouverture du Old Cowboy   OS ouverture du Old Cowboy EmptyMer 19 Fév - 19:03

Maintenant tous deux échange fait, il revint à la ferme. La petite marche qu’il précédé l’arrivait a la ferme était fort agréable. En effet, après être passé devant l’hôtel, il y avait un petit sentier, qui zigzaguait le long de la falaise, petit sentier de gravier, qui semblait vraiment peu emprunté, et assez dangereux, au vue de l’absence de garde-fou. Puis une fois en haut, sur les falaises d’où s’écoulait les cacades, des immenses plaines herbeuses s’étendaient jusqu’à perte de vue. Mozheim n’avait pas pris la peine de faire un accès à cette zone du village, car il n’y avait rien, excepté deux ou trois paysans, avec quelques fermes solitaires qui s’étendaient entre deux touffes d’herbes. J’étais tout à fait satisfait du cadre pittoresque que j’avais choisi pour ma pension. Rien que voir cela avait le don de m’apaiser.
Je m’approchais de la ferme, le petit panneau « The Old Cowboy » seul marquait son entrée. La première chose que j’entendis en arrivant, était les différents cris des Pokémons officiant dans la zone, ce qui donnait l’impression d’être vivant, malgré cette impressionnante impression de vieillerie. Je souris, avant de me diriger vers le champ, dont je sautais la barrière d’un saut souple. Je vis avec satisfaction que la terre était toute fraiche, et que quelques Pokémons insectes nécessaires a sa vie grouillaient encore dans les grumeaux. Après un frisson, je tournais mon regard aux alentours de moi, à la recherche des Pokémons qui y avaient officiés. Tous étaient partis chacun de leurs cotés, ne laissant ainsi plus aucune trace d’eux, des ouvriers fantômes.... J’entrais alors dans la salle que j’appellerais désormais la Machinerie, car un énorme tracteur poussiéreux trônait en son centre. A coté, dans le fond, posé contre le mur, il y avait une vieille tondeuse, ainsi qu’une vieille remorque, dont la roue gauche manquait. Les réserve de bois, posées contre un mur jusqu’à ma mi hauteur assurait d’avoir du chauffage peut importe la saison, et l’état de l’électricité, enfin je repérais un vélo en piètre état. Je me grattais la tête : il faudrait que je vois avec les Miss si c’était possible de faire ainsi spawner un vélo.... Mes pas se dirigèrent ensuite vers le hangar qui avait servit autrefois d’Etable. Maintenant que la paille avait été enlevée, il ne restait qu’un grand endroit vide. Je me grattais la tête : à quoi allait me servir cette zone…
Je regardais autour de moi, des hautes fenêtres faisaient entrer la lumière dans la zone poussiéreuse, cependant je ne pouvais pas me servir de cet endroit pour y parquer les Pokémons, cela serait indigne d’eux… Je m’assis en plein milieu de la zone, et ferma les yeux, à la recherche d’une utilité à cet endroit. Devant mes yeux clos, se dessina à nouveau la zone, et différentes décoration se succédèrent : une espèce de salon pour Pokémon ouvert aux quatre vents, mais ou les Pokémons, assommés par la chaleur ou la fraicheur de la journée, pourraient venir se reposer… Non… Vint ensuite une zone ou plein de jouet Pokémon étaient dispersés un peu partout. J’effaçais de ma tête cette vision, inutile de gaspiller cet endroit pour ça, car en plus, les jouets auraient vite fait de disparaitre, éparpillés partout, et vu qu’ils étaient assez léger, un simple brin de vent aurait tôt fait de les faire s’envoler...
Puis, c’est alors que je pensais à une zone d’entrainement, et devant mes yeux se superposèrent plusieurs accessoires trouvés chez mes parents : un obstacle pour les ponyta, ou les galopa, un tunnel pour les Ponchiot ou les Caninos, un Cerceau pour les Corboss et les Gueriaigles, des murs inclinés pour apprendre aux Pokémon tels que Rattata ou Gobou à être endurant ou même des slaloms, pour l’esquive. Je souris, oui, j’allais faire de cela une zone d’entrainement, car la zone était ouverte aux quatre vents, donc il y avait un courant d’air, idéal pour lutter contre la chaleur, et les grandes portes coulissantes permettaient de garder la chaleur à l’intérieur l’hiver, la hauteur du plafond était idéal pour accrocher à différentes hauteurs des cerceaux, et pour ne pas handicaper les Pokémons volants, à cause d’un plafond trop bas. Je souris, satisfait, avant de voir Ame devant moi. Naturellement je sursautais, je ne m’étais pas attendu à voir quelqu’un devant moi, et même si je savais que mon intense activité cérébrale allait forcément attirer quelqu’un, je ne pensais pas qu’il se faufile aussi discrètement devant moi. Il me regarda, tout en penchant la tête, et en demandant :

« -Qu’est-ce que tu fais ? »
-Je suis en train de chercher mes idées pour notre futur chez nous.
« -Et comment ça se présente ? »
-Très bien. Ici sera la salle d’entrainement. Tu veux venir avec moi, continuer à faire le tour ?
« -S’il te plait. »

Je souris, avant de soulever le Pokémon, et de l’asseoir sur mes épaules. J’aimais bien l’avoir ici, au moins, je me sentais proche, et je me disais, bien que stupidement, qu’il était plus facile pour lui de lire mes pensées. Ceci fait je me redressais, avant de prendre mon portable, et de noter, dans un message, d’appeler les fournisseurs pour les équipements Pokémons, a défaut d’avoir autre chose sous la main. Puis j’ajoutais qu’il fallait que j’achète un nouveau portable, et un ordinateur tout aussi portable, parce que continuer avec mon petit portable incapable de prendre la moindre photo, et qui à encore sa petite antenne au dessus. Oui, j’avais ce portable sur lequel on pouvait jouer au Seviper. Cependant, maintenant que j’avais ma pension, il me faudrait pouvoir aller sur internet, et pouvoir consulter mes mails, même dans les tréfonds de Mozheim.
Ceci fait, je passais dans le pré, attenant à la zone ou j’étais préalablement. Je souris, avant de voir les Pokémons eaux en train de construire leur lac avec ferveur. Moi qui m’attendais à ce qu’ils fassent une flaque grande comme moi, c’était raté. Ils avaient fais un grand cratère, et avaient utilisé les rivières pour le remplir, tout en utilisant leurs propres pistolet à eau. Je me doutais que les gens de Mozheim, privés de leurs cascades, allaient raller, mais cela m’amusais de les voir faire, et puis ce n’était que provisoire, j’allais leurs rendre leurs cascades, sans trop tarder.
Enfin, je passais dans l’ancienne écurie. Les box étaient tous toujours la, et en bon état pour la plupart. Il n’y en avait qu’un ou deux qui étaient détruit, et je ne voyais pas l’intérêt de les reconstruire, vu que j’en avais dix à coté, et que vu leurs états, ils pourraient plutôt me servir de petit dépôt pour le foin ou la paille. Il y en avait un auquel il manquait une porte, et cela me donna une idée. Plutôt que mettre les Pokémons dans mon grenier, comme je l’avais décidé, j’allais plutôt les laisser s’installer ici, ils seraient plus à l’aise, et auraient bien plus d’intimité, que planqué la haut, en plus j’avais du mal à imager des Pokémons tels que Tadmorv ou Limagma entrer chez moi. Pas que cela me dérange, bien loin de la, mais c’était plutôt que j’avais peur qu’ils me laissent des traces, ou qu’ils me brulent la maison. Ça serait dommage de brûler la pension sitôt après l’avoir obtenue... Je souris, avant de regarder Ame, et de faire, avec un sourire :

-tu m’aide à enlever les portes ?
« -On peut ? »
-On est chez nous, non ?

Le Pokémon psy sourit, avant que je ne le pose sur le sol. Tout les deux d’abord, on retira une à une les portes, puis vinrent nous porter assistance Machoc et Magnéti. A nous quatre, on se débarrassa rapidement de cette corvée, et les box étaient encore plein de paille propre. Je souris, avant de regarder mon Pokémon psy, qui inclina la tête, sans pour autant en dire plus. Je ne compris pas exactement la nature du message qu’il avait voulu me transmettre... Je pris mon portable, et j’ajoutais à ma liste de chose à commander, de trouver un arrangement avec uns des paysans autour, pour que j’ai de la paille, et du foin propre tout les mois Ceci fait, entre deux box, je découvris une petite salle, dans laquelle il y avait une table assez grande, poussiéreuse, de nombreuses affiches de chevaux vieillies, ainsi que les horaires ainsi qu’un calendrier, et autre affiches en tout genre, qui encombraient un tableau à moitié de liège, et à moitié à craie de tailles moyenne, une cafetière crasseuse dans un coin de la pièce, sur une armoire imposante.
Dans cette armoire, j’ouvris les portes les plus hautes, et remarquais qu’il restait pas mal de babioles, dont les classeurs qui contenaient les inscriptions. JE levais un sourcil : ils avaient oublié cela ?... Je soupirais, avant de le sortir, et de le mettre sur la table, alors qu’Ame se téléportait dessus, et l’ouvris, afin de regarder les caractères à l’intérieur. Il y avait aussi des fers à chevaux neuf, avec les clous, ainsi qu’une paire de gant. En ouvrant une autre porte, je trouvais des cordes. Tout en levant un sourcil, je les mis sur la table. En ouvrant les autres placards, je trouvais des paquets de biscuits entamés, ainsi que des sacs poubelle. Tout en extirpant le rouleau noir, j’affichais un sourire satisfait, avant de me tourner, vers Ame, qui s’était tout emmêlé dans les cordes. J’explosais de rire, avant de lui venir en aide, et de terminer mon tour de la salle, tout en sortant les objets qui pourraient m’être d’une utilité potentielle.
Ceci fait, j’entrais dans la maison, par la porte fenêtre, la plus proche de celle de l’écurie. Elle était assez grande, et il y avait encore le lavabo en pierre d’époque. JE souris, avant de m’approcher de l’objet, et de l’effleurer du doigt : je pouvais presque sentis les siècles passés à nourrir des gens, je pouvais presque sentir les moments de joie dont ce lavabo avait pu être témoin.... Il y avait aussi un robinet d’époque. Quelle chance. J’ouvris la valve et de l’eau, d’abord rouillée, apparue avant que de l’eau claire n’apparaisse. Ame, debout sur le bord, regarda l’eau, avant de me regarder moi. Quand je joignis mes mains pour recueillir le liquide, que j’ingurgitais rapidement, il me regarda d’un air profondément dégouté. Je me doutais qu’il se retenait de me faire un commentaire, mais a son attitude, je ne mis pas longtemps à comprendre qu’il n’aurait pas pu faire ce que je venais de faire. Au goût, elle me semblait potable. Il faudrait que je fasse vérifié cela plus tard, ce serait dommage que je m’intoxique parce que je n’avais pas fais les vérifications nécessaires. J’ajoutais cela à ma liste.
La pièce voisine était vide, et pas vraiment spacieuse. Il y avait deux fenêtres de chaque coté, donc, pas de télé sans reflet, ce n’était donc pas pratique pour regarder l’image. En plus, imaginons que j’avais un invité, et que j’étais en train de servir pendant ce celui-ci était en train de regarder le petit écran, il allait devoir se farcir mes allées et venue sans cesses, ce qui pourrait être considérablement dérangeant pour la personne. De  plus, dans ce que j’avais considéré comme ma cuisine, et surtout, comme je l’avais imaginée, je n’avais pas la place de mettre une table, si la taille de mes meubles était juste. Donc cette salle serait la salle à manger, je verrais même pour faire abattre la moitié du mur la bas, afin de faire un passe plat, ou un petit bar, si nous n’étions pas assez nombreux pour avoir à manger sur la table à manger. Je souris, avant d’ouvrir toute les fenêtres : la poussière s’étant accumulée, Ame ne tarda pas à éternué. JE souris, avant de passer dans la salle voisine à nouveau.
Il y avait une porte en bois, d’origine, massive et impériale. En entrant dans la pièce, elle était le premier élément que j’avais remarqué. Sûrement aussi que cette porte avait beaucoup vécu. A cet instant, je pensais notamment a la Grande guerre qui avait dévasté cette zone (bon dieu que j’avais détesté ce chapitre en Histoire !) Je m’imaginais facilement, alors que les Pokémons à l’extérieur tiraient sur toute la zone, des soldats, ou des paysans désespérés frapper a cette vaillante porte, pour demander l’asile. JE souris, oui, j’aimais bien vivre ainsi, imaginer, et supposer. La pièce était suffisamment large pour permettre de mettre et une cheminé, et une télé qui cohabiteraient ensemble. Quoi que le pan de mur qui était tout à fait adapté pour la télé, était occupé par une vieille cheminé, comme l’on en faisait plus. L’âtre allait demander pas mal d’occupation, mais je suis sur que je pourrais trouver, dans la foule de Pokémon, un Pokémon qui aimait vivre dans la suie, et qui allait se faire une joie de me ramoner tout ça tout les jours. Je souris à cette idée.
Instantanément, dans ma tête, se dessina les plans du salon. Je souris, j’aimais bien cette vieille ferme, qui alliait l’ancien et le nouveau avec facilité. Et qui semblaient tout autant intemporelle. Oui, je n’étais ici que depuis quelques heures maintenant, mais je me sentais chez moi, j’avais l’impression d’être chez mes Grands-parents, qui avaient une maison tout a fait ainsi, dans un coin, il y avait un ordinateur, et dans l’autre, il y avait un cheval a bascule. J’étais attaché à tous ces objets qui faisaient monter à ma tête des images toutes droites venues du passées, et je ne comptais pas les enlever de sitôt. En effet, j’étais bien conscient que la porte allait laisser passer un froid de tous les diables, une fois l’hiver venu. Mais soit, j’étais prêt a relevé le défi, et une chance pour moi : je n’étais pas du tout frileux.
L’escalier était en bois, en vieux bois craquant, et en dessous, il y avait assez de place pour mettre des rangements, mais pas assez pour faire un coin bibliothèque. Adjugé, je passais à l’étage. Premier pallié, la première chose qui me vint a l’esprit en voyant cet endroit, était le piano. Il y avait un piano abandonné dans cette pièce. Je m’approchais, et passais mes doigts sur les touches poussiéreuses. JE souris, avant de regarder Ame :

-Je sens que je vais me mettre au piano moi.
« -Comment peux-tu toucher cette chose noire et couverte de poussière… »

Cela me fit rire, la façon dont le Pokémon sur mes épaules semblait dégouté par la saleté. Je souris, avant de passer dans la pièce attenante a celle-ci. Une pièce de taille moyenne, assez grande pour en faire une chambre. Je souris, satisfait. Finalement, j’avais plus eu à me creuser la tête, pour la salle d’entrainement, que pour la maison elle-même. Adjugé, la chambre était votée. Je passais dans une pièce sensiblement similaire, qui allait être le bureau. S’était important d’avoir un bureau, parce que j’allais avoir pas mal de paperasse dans un premier temps. J’imaginais bien la pièce : la grande fenêtre a gauche de l’entrée dispensait une grande lumière dans toute la pièce. J’allais mettre le bureau en face de cette fenêtre, comme ça je pourrais voir l’extérieur, quand je serais lassé de ma paperasse.
Enfin, dernière salle, très moderne, je ne m’y serais pas attendu, une salle de bain, avec une baignoire et une douche séparée. Je ne trouvais pas ça très intelligeant, mais pourquoi pas. Je comprends maintenant pourquoi la pension coutait aussi cher. Après avoir fait jouer les robinets, je vis que tout marchait pour le mieux. Joie bonheur, j’allais pouvoir prendre une douche se soir, et je ferais le nudiste pour sécher, vu que je n’avais rien. Tiens, j’ajoutais a ma liste d’appeler mes parents, histoire de les mettre au courant.
Enfin, je grimpais le deuxième escalier, pour atterrir au grenier, ou plutôt, sous les combles. S’était dommage de renoncer a une telle superficie, d’autant plus qu’il y avait beaucoup de lumière qui entait dans la zone, et il y avait un accès au toit lui-même. DE grand poutre inclinées réduisaient considérablement la superficie exploitable, mais cela donnait son charge a m’endroit. Une espèce de poichigeonnier, en quelque sorte. Je soupirais, a quoi allait donc me servir ce grenier ? Je trouvais dommage d’en faire ma chambre, condamnant ainsi cet endroit, et sa beauté, a ne reste connu que de moi, et de laisser la chambre en bas pour les invités (d’autant plus que si j’avais besoin d’accédé a mon bureau, c’était passage obligé par la…) car je trouvais cette pièce de toute beauté…
Je réfléchis tranquillement, a quoi pourrait me servir cette zone…  Puis finalement, l’idée du coin bibliothèque me revint en tête. Ouais, ce grand espace au calme serait idéal pour bouquiner en paix, loin des bruits de la ferme, loin de l’agitation des Pokémons, et loin de la zone de vie, bien que je me doutais d’avoir réellement le temps de bouquiner, mais ne serais-ce aussi que pour faire une pause. Cette zone me servirait d’espèce de petite île, un petit endroit au calme, la ou rien ni personne ne pourrait me déranger, ou j’étais seul avec ma réflexion. Oui, un îlot seul, c’est tout à fait ce dont j’allais avoir besoin, afin de pouvoir m’évader, pendant quelques heures, le temps de décompressé. Je souris, avant de voir, devant mes yeux, apparaitre le mobiliser. JE souris, je l’avais mon idée !
Rapidement, je me saisis d’un papier et d’un stylo, et je notais la liste des objets dont j’allais avoir besoin par pièce. Dans la foulée mes parents appelèrent, et ils furent très content d’apprendre que j’avais enfin concrétisé mon rêve de gosse, et enfin heureux d’avoir la paix, a ce propos. Je souris, et laissais échapper dans la conversation, que j’avais besoin d’un ordinateur et d’un portable un peu plus performant que mon fossile de l’âge du pokenav. Ils rigolèrent, et ils m’assurèrent qu’ils me procureraient tout ça. Peut importe la manière, ils ne décrochèrent pas de cette idée, bien que cela me dérange de devoir leurs demander de quels investissement, car je savais bien que les ordinateurs et les portables étaient des véritables trous pour les portes monnaies.
JE soupirais, avant de reprendre mon inventaire tranquillement. Finalement, après quelques bonnes heures, durant lesquelles Ame me quitta, ennuyé de la platitude de mes pensées, je terminais le tout, et j’appelais les magasins spécialisés qui m’assurèrent de tout envoyé très vite dans la journée. JE n’y croyais pas, mais soit, je n’avais plus rien à perdre. Donc, n’ayant rien de plus a faire, je passais par les Ecuries, afin d’accédé au Lac, quand je vis deux œufs a moitié ensevelis sous la paille, que je récupérais rapidement dans mes bras pour ne pas le laisser prendre froid, avec un sourire, même ici, ça continuait d’être de pondre. Tant mieux, cela sous entendais que les Pokémons n’étaient pas trop perturbé de leurs nouvel endroit, et cela montrait aussi que j’avais bien fais de mettre en place les Ecuries comme zone de reproduction, vu qu’ils étaient venus eux même pondre ici. Au motif sur la coquille, je me doutais que c’était un œuf d’Ame, mais avec qui ?... Heureusement que j’avais écoulé les trois que j’avais. Je le rangeais rapidement, avant de reprendre ma route vers le lac.
Les Pokémons eaux avaient presque terminé de le remplir. Je levais un sourcil, ils avaient fait plutôt vite, mais au moins, les gens de Mozheim ne râleraient pas trop je l’espérais. Finalement, je pense que je me suis endormi dans l’herbe, parce que c’est Absol qui est venu me réveillé, quand les déménageurs et leurs équipe de Machoc, Machopeur et Mackogneurs étaient arrivés. Heureusement que je pouvais compter sur lui, parce que perdu dans l’herbe comme je l’étais, ils auraient pu me chercher encore longtemps. Finalement, ils me livrèrent tout les meubles, et me les installèrent, même, heureusement, parce que je ne me voyais pas me voir les grimper tout seul jusqu’aux étages.
La cuisine devint quelque chose de très fonctionnelle, avec un îlot central, un grand frigo en zinc et  de nombreux plans de travaux, avec en plus des placards un peu partout. L’un des plans de travail était en face de la fenêtre, je pourrais donc voir mes Pokémons gambader tranquillement tout en cuisinant, bien que je voie la coupure arrivé, avant même d’avoir empoigné un des couteaux de céramiques que la société m’avait offert. J’étais satisfait, je ne m’étais pas trompé, que ce soit dans la taille des objets, ou dans leurs coloris. Dans la salle a mangé, il y avait un grand meuble pour la vaisselle, ainsi qu’une table pour six place, avec les six chaines assorties, ainsi qu’une plante, que la société m’avais offert. Ne sachant pas trop ou la mettre, je l’avais mise la…
Le salon était doté d’une télé sur un meuble a roulette, que pourrais déplacer comme bon me semblait. Elle n’était pas particulièrement grande, de toute façon, je ne pensais pas avoir x temps a consacré face a la télé, mais le meuble en dessous pourrait aisément contenir la télécommande, et peut être aussi le programme. Il y avait aussi un canapé, avec un angle, que les déménageurs avaient absolument tenu à mettre face a la télé, et c’est a grande peine, qu’ils entendirent que je le voulais face a la cheminé, et finalement, en deux coups de bras, les Pokémons l’avaient mis face a la cheminé. Il y avait aussi une petite table basse noire en verre, sur laquelle mon sac atterrit. Ensuite, sous l’escalier, il y avait un meuble de rangement avec plein de tiroir plus ou moins grands, qui pourrait contenir aussi bien mes bottes, que mes pokéball, ou même que mes clefs. Enfin, il y avait toute sorte de guéridons plus ou moins grand, pour les clefs et autre truc de ce style disséminés un peu partout dans la salle, ce qui donnait l’impression d’être meublé, tout en conservant une place certaine. J’avais aussi tenu à avoir une porte manteau, parce que mon manteau était pas mal encombrant.
A l’étage, le piano était toujours la, mais j’avais ajouté une espèce de canapé de psychiatre, proche des transats, sous l’escalier le long du mur du bureau. Oui, j’avais préféré inversé, dans le cas ou si j’avais un invité, celui-ci ne soit pas dérangé entre mes allées et venue pour mon bureau. Je n’avais rien ajouté d’autre, cette pièce étant trop petite pour ajouter quoi que ce soit de trop volumineux, mis à part quelques plantes, et quelques cadres photo sur le piano, demeuraient vide. Ledit bureau à coté était juste somptueux : j’avais demandé ce que j’appelais un bureau de ministre : c’est-à-dire un bureau en angle droit sur la droite, afin de pouvoir avoir mon ordinateur sous la main, tout en gribouillant sur les multiples feuilles que j’éparpillais immanquablement sur le bureau. La chambre voisine avait un lit double, normal, ainsi qu’un petit bureau, pour y écrire ou y déposé les affaires. IL y avait une commode, dont j’allais avoir du mal à remplir les tiroirs : je ne suis pas fringue du tout.
Enfin, je n’avais pas trop touché à la salle de bain, celle-ci étant déjà équipée, j’avais juste disséminé des tapis de bain un peu partout, et ajouté tout le nécessaire de toilette. Enfin, le grenier, j’en avais fait une bibliothèque. Une grande bibliothèque prenait tout un pan du mur, une table basse, un rocking-chair abandonné dans un coin de la pièce en compagnie d’une lampe a pied a coté. Un autre fauteuil trônait dans la pièce étrangement vide, tout aussi perdu que le rocking-chair. Je savais que cette salle ne tarderait pas à être mon second bureau, j’avais donc mis, dans un coin, le bureau que j’avais commandé par erreur, qui était similaire au premier, bien que plus petit. Il était contre un mur, face à une fenêtre, toujours pour avoir l’interface entre l’intérieur et l’extérieur. Enfin, au pied de la porte vitrée du fond, j’avais mis un petit tapis, tout en faisant vérifier les serrures : pas question que quelqu’un puisse entrer par ici. Voila, j’avais fais le tour de chez moi, j’étais enfin dans ma maison.
J’inspirais un grand coup, satisfait de ma besogne de la journée, avant de redescendre limite en courant, non sans manquer de tomber deux ou trois fois dans les escaliers, et de m’approcher de mon panneau qui était toujours tout seul perdu entre trois brins d’herbe. J’y suspendis un autre petit panneau indiquant « Ouvert ».

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MessageSujet: Re: OS ouverture du Old Cowboy   OS ouverture du Old Cowboy EmptyMer 19 Fév - 23:02

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