Acte 1 scène 4

C’était la première fois que je pêchais seul. Mon père m’avait déjà emmené pêcher l’une ou l’autre fois, mais on n’avait jamais rien ramener. Mais maintenant je sais pourquoi : avec un gosse qui court en long et en large le long de la barque, en disant « Oooooh regarde il y a un Pokémon la-bas ! » Ou qui énumère les noms des Pokémons rencontrés, ça a vite fait de faire fuir les poissons. Mais mon père avait toujours eut de la patience pour ça, et il m’avait toujours laissé faire. Mais on n’a pas été bien souvent a la pèche, huhu.
M’enfin, maintenant, je comprenais pourquoi mon père amenait quelqu’un avec lui : c’était terriblement chiant, la pèche… Je soupirais, avant de glisser ma main dans la fourrure de Pandore a moitiée couchée sur moi. Je la réconfortais, et je me rendit compte que le Pokémon s’était endormi. Je souris, avant de bailler a mon tour, et de ne pas tarder a piquer du nez. C’est le clapoti excité de l’eau qui me réveilla. En ferrant mon poisson ne n’en découvris pas un, mais deux. Et quelles prises ! Dedans faisait parti le Pokémon que je recherchais.
Amusé, je fis appel a Fenrir et Hamlet, pour pouvoir laisser Pandore se reposer, elle en avait besoin, après la nuit que nous avions passé. J’ordonnais alors a mes deux combattants :

-Hamlet, utilise Vampigraine sur Carvannah, puis sur Lovdisk. Quant a toi Fenrir, utilise Grondement puis croc éclair sur Carvannah

[Grainipiot utilise Vampigraine une fois sur Carvannah puis sur Lovdisk
Medhyena utilise Grondement puis Croc Eclair sur Carvannah]

Le combat se goupilla exactement comme je le désirais. Je souris, comme prévenu, Carnannah avait sorti la Frénésie. Je souris, avant d’ordonner :

-Ecoutez moi bien : Fenrir, tu vas utiliser deux fois Crocs Eclair sur Carvannah, puis tu vas t’échapper, de manière a laisser Hamlet prendre l’attaque. Pendant ce temps, Hamlet, tu utilise Patience !

La stratégie était de retourner la frénésie contre son envoyeur, cependant il était toujours plus agréable de renvoyer quelque chose de puissant contre un adversaire, que quelque chose de mou. Ainsi, les crocs éclair avaient pour but d’énerver Carvannah, de faire monter sa frénésie, qu’il relachera contre la patience, et dont la puissance sera doublée. Mais dans cette équation je n’avais pas pris en compte Lovdisk, et je savais qu’il allait s’agir du point faible de la stratégie. Je soupirais, avant de concentré toute mon attention vers le combat. L’heure de vérité a sonné !

[Medhyena utilise Croc Eclair sur Carvannah, puis il se pousse pour laisser Grainipiot, qui a lancé Patience, se prendre les quatre répliques.]

Le combat se déroula exactement comme je le désirais, et je ne pouvais qu’être heureux de voir la stratégie que j’avais mise en place être effectué avec brio. Grainipiot, bien qu’il ne soit pas très fort, avait une ressource phénoménale, et c’était incroyable a quel point il parvenait a resisté, même s’il était supporté des vampigraine. Il envoya alors la sauce, et Lovdisk vint sauver son copain. Mais le copain était déjà assez fatigué, a cause des attaques de Fenrir, il n’allait pas résister longtemps. Je souris, avant de donner mes ordres :

-Fenrir, en avant, feu sur Lovdisk !

Puis, alors que j’étais en train de chercher une pokéball pour Carvannah, je vis Hamlet lui fondre dessus et utiliser une attaque que j’identifiais comme Force-Nature. Un grand sourire pueril se dessina sur mes trait : mon petit gland commence a grandir. Mais ça ne m’empêcha pas de lancer ensuite une pokéball sur Carvannah.

[Medhyena utilise deux Croc-Eclair sur Lovdisk.
Grainipiot utilise une fois Force-nature sur Carvannah, puis il y a tentative de capture.]

Victoire totale. Le Pokémon eau est capturé, et l’autre est KO. Je souris, avant d’aller ramasser la pokéball de Carvannah. Une fois la pokéball en ma possession, je fis signe a mes combattant de me rejoindre, et je m’approchais d’Absol, qui dormait. Je vis des larmes au coins de ses yeux… Je le secouais doucement, et le Pokémon ouvris les yeux, et tourna la tête vers moi. Il la baissa ensuite, et je le pris contre moi, pour le rassurer :

-Je sais que c’est dur, Pandore, je le sais.

Le Pokémon souffla contre moi, avant de frotter sa tête autant que sa corne le lui permettais a ma poitrine. En voyant cela, Fenrir s’approcha, et sauta sur le dos du Pokémon blanc, avant de commencer a l’embêter et a jouer avec. Je souris, avant de voir Hamlet se glisser de l’autre coté, et de se glisser entre les pattes avant, pour se perdre dans la crinière du Pokémon blanc, pour lui faire un gros câlin a sa manière. Le Pokémon ténébre, surpris, me regarda, avant que je ne dise :

-Je t’avais promis une famille et des amis, non ?

Le Pokémon blanc baissa la tête pour rendre son étreinte a Hamlet. Je souris, avant de me lever, et de les laisser un instant, puis j’engageais le mouvement vers le centre Pokémon. Absol se leva, deséquilibrant Fenrir qui chuta sur le sol, sans se faire mal. Je récupérais Hamlet, puis on se dirigea tout les trois vers le centre. Je soignais tout le monde, puis profitant que tout ce people était dans sa pokéball, je me dirigeais vers le Terminal.

[Carvannah est un Mâle surnommé Léviathan et qui a Pouvoir Antique en repro
Puis-je avoir un bilan siouplait ?]

Une fois de retour a Nénucrique, je me rendis compte que la nuit était tombée, et que, au passage, je tombais moi aussi de fatigue. Entre lanuit du réquiem, et aujourd’hui, beaucoup de chose s’étaient passées, et nous avions bien mérité le repos du juste. Enfin, le « repos »… Ce mot me semblait obscure, depuis quelques temps, depuis que j’avais quitté en fait le bois clémenti. En effet, je faisais des rêves étranges depuis quelques temps. Je ne parvaenais pas a me reposer, mes nuits n’étaient pas calme, j’étais en proie a d’étrange rêves qui me fatiguaient plus qu’autre chose.
Je ne parvenais pas a me souvenir de ce que je rêvais. Tout ce dont je me souvenais, était un brouillard opaque rouge orangé, rien de plus. Je rredoutai sun peu le moment de dormir, et c’est souvent pour cela que je laissais mes Pokémons autour de moi, et je ne m’endormais que lorsqu’ils l’étaient. Je soupirais, avant de m’approché du port, j’avais beosin d’un bateau.
Par chance, le prochain en partant était celui pour Unys. Parfait, la suite de mon périple avait lieu a Unys. Une fois mon billet a bord obtenu, je montais sur le paquebot, et me dirigea directement vers ma couche.