Rencontre et recherches

Combattre un Scorplane, cela n'avait rien à voir avec un Sancoki. Si Griknot arrivait à viser correctement l'aqualimace, c'était principalement du fait que ce pokémon n'est pas très rapide. Rien à voir avec un Scorplane qui est un pokémon sol des plus rapides. Ainsi, si la première Tête de Fer avait fait mouche, principalement du fait que le scorpion venait de se réveiller, le second – certes peut être pas aidé par sa précision baissé – fut facilement esquivé. Pour le reste du tour, ce fut des échanges entre des Bains de Smog de Fantominus et des Jets de Sable de Scorplane, qui rata cependant son second jet.

Ce dernier fait établissait cependant une situation facile à remarquer : le scorpivol faiblissait. Pas aidé sûrement par le premier Tête de Fer de Griknot, le pokémon sauvage avait pris pas mal de coups du Fantominus, même s'ils n'étaient pas très forts... Et il était temps désormais d'en finir... Jetant un regard à Hisato en espérant qu'il comprendrais le message, je me préparais à la fin de ce combat et donna un dernier ordre à Hook.

« N'abandonne pas et reste concentré ! Je veux un Draco-Rage précis ! Tu peux le faire ! »

Pendant que je prononçais ces paroles, j'allais chercher une pokéball vide dans mon sac, puis appuya dessus afin de la préparer à l'envoie. Je regardais les phases offensives se passait, puis au dernier moment, je lança la balle d'acier pour un premier essai de capture en combat...

« Pokéball, GO ! »

Combat :

Griknot rate son assaut, mais Fantominus, lui, touche sa cible. Voilà une merveilleuse chance que vous avez saisis pour capturer Scorplane ... Et c'est une belle réussite, bravo ! Vous reprenez votre souffle, appréciant votre belle victoire. Seuement, vous n'avez pas vraiment le temps de vous attarder.

Hisato - Dépêchons-nous. Vous avez d'autres pokémons, n'est-ce pas ? Je ne pense pas que nous ayons le temps de retourner au centre. Le spécialiste avait l'air plutôt à cheval sur l'horaire, et on aura déjà du retard.

Vous repartez donc à travers la forêt, sans avoir pus soigner Griknot ni votre tout nouvel allié. Bah, vous avez d'autres pokémons, comme l'a si subtilement fait remarqué Hisato. Vous arrivez finalement dans une clairière, plus large que la première. Au beau milieu se trouve un homme.


Il semble passablement impatient, et vous dévisage avec un regard qui en dit long sur le fait qu'il s'attendait à voir une charmante jeune fille avec Hisato. Qu'importe, il finit par vous approcher.

Spécialiste - Bonjour, vous devez être Hisato. Vous, je ne sais pas, mais je suppose que vous n'êtes pas son amie Annah. Qu'importe. J'ai des indices sur la présence d'un artefact relié à Giratina, dans un labyrinthe qui se trouve un peu plus loin. Vous allez me suivre, me protéger, et nous partagerons la joie -et en partie la gloire, hélas- de cette découverte. N'est-ce pas fantastique ? Allez hop, suivez-moi !

Il parle beaucoup, il parle vite, et il ne vous laisse pas le choix. Et il semble avare de détails. Mais bon, vous êtes là pour ça, non ? Vous le suivez donc, et il vous mène devant des portes battantes en pierre, habilement dissimulées sous des souches d'arbre : c'est visiblement l'entrée du labyrinthe ...

situation

Takeshi :
Griknot : Forme Bonne, pré-2
Scorplane : Forme Faible à Critique

Hisato :
Fantominus : Forme Bonne à Correcte, pré-1
Feuforêve : Forme Critique à K.O

Il était désormais temps que le combat se termine. J'avais alors ordonné un Draco-Rage en demandant à Griknot d'être le plus précis possible, mais il rata sa cible, qui avait esquivé une nouvelle fois. Ce qui suffit à Fantominus pour avoir une ouverture et attaquer. Je ne tarda pas à mon tour d'envoyer la balle de fer. Elle heurta le Scorplane qui entra dans la ball. Trois agitations plus tard, elle s'arrêta de bouger, confirmant la capture. Mais je n'eus à peine le temps de récupérer mon nouveau pokémon que Hisato me dit qu'il fallait se dépêcher. Première surprise. Je ne pensais pas qu'il y avait un horaire prévu. La seconde surpris vint dans le même temps : il m'avait vouvoyé, alors qu'il m'avait dit de ne pas le faire plus tôt. Je supposai que l'urgence lui avait faire prendre un peu de formalité.

Nous avançâmes alors, après avoir dit – inutilement – que j'allais devoir faire avec mes autres pokémons. Prendre le chemin inverse aurait pris plus de temps que faire le reste de la route. Puis, désormais – et déjà – à 6, j'avais donc 4 pokémons en parfait état, en plus que Griknot n'était pas si affaibli que ça. Puis, une dizaine de minutes plus tard, nous arrivâmes dans une nouvelle clairière. Un homme en chemise de travail – qui me faisait penser à celui de Meiji, et m'indiquer donc qu'il devait être un scientifique – nous attendait. Son regard en disait long cependant : il était visiblement impatient, mais surtout, il n'avait pas appris que l'amie de Hisato ne pouvait venir, du fait qu'il me dévisageait.

Il expliqua, sans que je n'eus le temps de me présenter, la raison de notre venue : un artefact lié à Giratina serait présent dans un labyrinthe non loin d'ici. Troisième surprise. Je ne m'attendais pas à ce qu'un objet aussi précieux était à trouver. Je pensais qu'il nous amènerait dans des ruines où il nous expliquerais ce qu'il a trouvé. Mais je n'eus pas le temps de réfléchir à quoi que ce soit, sous peine de rater un bout de ses phrases. Puis, après son discours, il parti sans oublier de dire de le suivre. Lorsque nous nous arrêtâmes, ce fut devant des souches d'arbres. Mais en y regardant de plus près, nous pouvions apercevoir des portes en pierre. Mais pour passer, il va falloir virer ces souches. Machinalement, ma main se porta sur la première pokéball attaché à ma ceinture...

« Torti, on a besoin de ton aide ! » m'exclamais-je, en lançant la ball en l'air, tandis que mon meilleur ami apparaissait. « Canon Graine sur les souches, il faut qu'on s'occupe de dégager le passage. »

S'occuper des arbres, des pousses et des fleurs, c'était une habitude des habitants de la forêt d'où venait mon Tortipouss. Mais c'est aussi une compétence que j'avais acquis, à force de travailler avec eux. Ainsi, après que la tortue de type plante entame les souches avec ses graines explosives, je m'occupai de tirer sur le bois mort pour dégager le passage.

Rp :

Bon, et bien Tortipouss frappe et vous dégagez l'entrée. Un  peu bourrin, mais le scientifique (du moins c'est en effet ce que laisse penser sa blouse) semble ravi. Même une fois dégagées, les portes n'ont pas l'air bien grandes, à peine de taille humaine.

Une fois ouvertes, elles dévoilent un boyau assez sombre qui plonge assez vilainement dans les sous-sols de la zone. Le scientifique produit une lampe torche et éclair le chemin, laissant toutefois Hisato passer devant, pendant que vous êtes chargé de l'arrière-garde. Cependant, on dirait qu'il est aussi excité que votre ... ami ? Employeur ? peut importe ... vu qu'il se remet à déblatérer.

Spécialiste - Tout le monde à entendu parler de l'orbe platine. C'est vrai que c'est fantastique cette relique, mais elle est tellement connue qu'elle a perdu beaucoup de valeur à mes yeux. Ce qui est vraiment fantastique, c'est l'inédit de ce qui est là-dedans. Les légendes sur le retour de Giratina ont été nombreuses, mais rare les hommes à avoir choisis de vénérer ce pokémon dont la puissance colossale était vouée à notre mort. Cependant, une petite secte avait rassemblé les fonds et les connaissances nécessaires pour forger quelque chose de rocambolesque : une armure. Elle aurait parfaitement épousé la forme du pokémon, qu'il soit sous sa forme terrestre ou d'origine. Après de longues recherches, j'en suis arrivé à la conclusion qu'elle se trouvait au fond de cet endroit, mais ... ATTENTION !

Le scientifique rattrape soudain Hisato par le col et le fait violemment reculer. Après quelques mètres de glissade, vous aviez en effet pénétré dans un long couloir aux parois décorées de fresques représentant ... Giratina, sa vie, son œuvre. Complètement absorbé par lesdites fresques, Hisato n'a pas regardé au sol : des dalles le recouvrent, mais ...

Alors que certaines sont d'un blanc si pur qu'on se demande comment c'est possible sous terre et avec autant de poussière, les autres sont d'un noir si profond qu'on hésite à poser le pied dessus, de peur de se faire aspirer ou de découvrir qu'il ne s'agit en fait que de trous habilement camouflé. à n'en pas douter, elles ne sont pas normales. Le scientifique sort deux petite billes, qu'il lance le long du couloir. Elle rebondissent sur les dalles noires avec un petit tintement, mais une colonne d’électricité s'élève à chaque fois qu'elles heurtent une dalle blanche. Malgré la situation, le scientifique paraît ravi.

Spécialiste - Fantastique, un labyrinthe piégé ! J'ai toujours voulu déjouer un labyrinthe piégé !

Il commence donc à traverser en chantonnant, sautillant d'une dalle noire à l'autre. Vous échangez un regard circonspect avec Hisato : cet homme m'a l'air vraiment bien renseigné, et un peu trop guilleret. Bon, le perspective de la gloire sans doute ... Ceci dit, vous n'avez pas trop le choix.

Illuminée par la lampe torche de votre informateur/guide/chef d'expédition, vous pouvez observer une lourde porte à deux battants La serrure semble être une sorte de puzzle, et le scientifique se gratte la tête devant. Vous pourriez peut-être aller l'aider ? Dès que vous aurez traversé le couloir piégé, vous serez donc devant ceci :


Les pièces sont en fait des clous que l'ont peu retirer pour replacer où bon vous semble, ayant tous une pointe différente. Quand tous seront à leur place, le puzzle devrait marcher à la fois somme une clé et une poignée. Bon courage !

Ce travail d'arrachage des souches mortes fut un succès : nous avions réussi à dégager un passage afin de pousser et franchir les portes de pierre. Elle laissait apparaître des souterrains, ou plutôt des escaliers qui y menaient. L'endroit était plutôt sombre et pas rassurant pour un sou. Le scientifique récupéra une torche et avança, bien qu'il ait laissé le passage à Hisato, afin qu'il prenne les devants, sûrement en cas de piège. Je formais l'arrière-garde. Ce qui ne me laissait pas indifférent, et pour deux raisons.

D'un côté, j'étais content d'être à l'arrière, mais de l'autre, je craignais que le jeune homme roux, bien trop intéressé par la légende de Giratina. Pour ma part, je n'aimais pas ce genre d'endroit, et je ne pouvais pas m'empêcher de regarder partout, sur le qui-vive, tout en écoutant – mais d'une oreille distraite – le speech du scientifique. Il parlait d'orbe platine – qui était apparemment connu, mais je n'avais aucune notion concernant les légendaires et leurs histoires ou autres reliques les concernant – et d'une armure qui serait fait pour le pokémon – qui possédait deux formes aussi, apparemment. Mais alors que des fresques concernant le pokémon de l'autre dimension était visible sur le mur, ce que je craignais failli arrivé : sans les réflexes du scientifique, qui attrapa Hisato pour le faire reculer, qui sait ce qui lui aurait arrivé.

Car en effet, le sol était désormais dallé. Mais ces dalles n'avaient rien d'ordinaire et s'opposaient : les blancs, trop étincelant pour que cela n'en paraisse pas louche, et les noirs, tellement sombre que l'on se demandait s'ils étaient bien là. Le scientifique lança alors deux billes, révélant au jour le piège : les dalles blanches pourraient électrocuter quiconque marche dessus. Encore moins rassuré de savoir qu'il existait des pièges ici, je suis à contrecœur les deux hommes, non sans avoir d'abord récupéré Tortipouss sur ma tête. Heureusement, l'exercice était facile.

Le second obstacle fut une porte avec un puzzle. Certainement qu'il fallait résoudre ce puzzle pour passer, ou quelque chose dans le genre. Voyant le scientifique se grattait la tête, en train de réfléchir, je me permis de prendre les devants et de commencer à bouger les pièces. Même si je n'avais aucune idée de ce qui se passera une fois que ce sera terminé.

Ainsi, prenant l'aide des pièces ayant ce qui ressemblait à un bord ou un coin, les deux premières pièces de la première ligne se placèrent à chaque coin inférieur du cadre, descendit d'un cran le 4e, remontant d'un celui qui était à l'opposé sur cette même colonne. La première pièce de la troisième ligne remonta d'un cran elle aussi, tandis que celle qui était désormais à sa droite pris le coin supérieur gauche. La dernière pièce de la deuxième colonne remonta tout en haut, de même que l'avant-dernière de la troisième colonne. Plus le puzzle avançait, plus il ressemblait à un Ptera... mais pourquoi un Ptera ? Allez savoir... En tout cas, le bout de sa queue pris l'opposé, tout en descendant de deux lignes, et celle qui la remplaça parti sur la deuxième colonne de sa ligne. Puis celle de la deuxième colonne, troisième ligne, alla dans le coin supérieur gauche. Les deux cases du bas furent les plus difficiles à deviner, mais vu que j'avais le bout de la queue, le reste vint facilement. Encore quelques pièces à bouger, et le puzzle était entier et terminé.


Nous entendîmes alors un déclic, et sans réfléchir, je tenta de pousser la porte...

Hisato à l'air surprit, et il questionne le scientifique du regard : en effet, pourquoi un Ptera ? Quel rapport entre un piaf antique et un dieu qui était là au début des temps ? Hum, l'ancienneté ? Autre chose ? Le scientifique hausse les épaules, alors que les battants s'ouvrent.

Spécialiste - C'est sur le même modèle que les panneaux des ruines d'alpha. Je suppose qu'il y a eu des contacts entre la secte et Kanto, ou que les membres de ladite secte venaient de kanto à la base. A moins qu'ils aient fait un lien entre ces pokémons ! Ne serait-ce pas fantastique ?

Mouais ... cet homme ne m'a pas l'air si calé que ça. Votre ami commence à froncer les sourcils, mais vous n'êtes pas au bout de vos peines : voilà la suite. Le couloir présente à présent des fresques sur les pokémons préhistoriques, et vous alliez finalement tourner les talons quand vous remarquez quelque chose : sur chaque représentation, la lune est dessinée comme un gouffre, pas comme une sphère. Vous continuez le long du couloir, pour finalement vous trouver dans une immense salle.

Les fresques ont changé de thème on dirait. Ou plutôt, le thème s'est précisé. Vous voyez devant vos yeux l'histoire d'un culte des plus noirs qui perdure depuis que les humains ont découvert le sombre Giratina. Vous y voyez le récit de sacrifices, de guerres, de génocides perpétrés au nom du chaos. A voir la tête d'Hisato, ce n'est sûrement pas pour ce genre de choses qu'il cherche à en savoir plus sur le légendaire.

Quand au chercheur, il se signe : respect, crainte ? Qu'importe, il reprend le fil de son récit montrant tour à tour les images sculptées dans la pierre, vous forçant à les voir si vous voulez comprendre ce qu'il raconte.

Spécialiste - La secte se réclame d'être aussi vieille que l'humanité. Ce serait grâce aux spectres qu'ils auraient découvert le Seigneur du Chaos, et commencé un rituel qui devait s'étaler sur des milliers d'années. Un rituel permettant le retour triomphant de Giratina, un rituel capable de briser le confinement voulu par Arceus lui-même. Pour cela, ils ont commencé à faire des sacrifices ... beaucoup de sacrifices, de plus en plus de sacrifices. Après avoir passé des années oublié de tous -pendant l'ère des pokémons antiques, c'est sûrement pour ça qu'ils décoraient le couloir- Giratina pus fixer son œil -visiblement, la lune, on le voit très clairement ici- sur des êtres qui voulaient l'aider.

Il tourne sur lui-même dans un balai fou, qui semble petit à petit écœurer Hisato. Les horreurs qui sont contées là n'ont rien de contes de fée : mais Giratina n'est pas vraiment un gardien de l'équilibre du monde non plus. Vous n'écoutez pus le scientifique, et vous allez vers Hisato, justement, dans l'idée de lui demander si tout allait bien, quand un cri vous fait sursauter.

Spécialiste - ET VOILA !!! La lune !!! Un couloir entre le monde distorsion et le notre !! C'est pour l'ouvrir qu'ils ont fait ces sacrifices : pour amasser assez de puissance pour ouvrir la lune ! Quels gens passionnants, non ? Ho, évidemment ce ne sont que leurs légendes, il ne faut pas tout prendre au pied e la lettre ... Bon, il vaut mieux trouver l'armure. Alors, que disaient les textes ... Il sort un calepin et marmonne des mots sans suite, avant de pousser une exclamation. Continuant de vous ignorez royalement, il entame la lecture. A la fin de l'histoire s'ouvre le couloir ... L’œil du Maître veille sur son armure ... Depuis les profondeurs revient Giratina ... Qu'il nous épargne, pour prix de nos tributs.

Mouais ... aussi clair qu'une nuit sans lune ... oui bon j'ai mal choisit mes termes aussi, me regardez pas comme ça, ma langue à fourchée. Bon, maintenant il semblerait qu'il y ait un mécanisme pour atteindre l'armure ... Drôle de labyrinthe qui n'a qu'une seul couloir d'ailleurs. Hisato n'a pas l'air en mesure de réfléchir à quoique ce soit, et vu son adresse au puzzle, le scientifique ne sera pas très utile. Allons, dépêchons-nous jeune homme, je n'ai pas envie de rester au milieu de toutes ces scènes macabres, moi : trouvez ce foutu mécanisme.

Une fois le puzzle terminé, je poussai la porte, qui s'ouvrit sans trop de soucis. Assez content de moi, je continuai à suivre mes deux... guides. Entre temps, le scientifique avait parlé des ruines d'alpha de Johto... et qu'il y avait des panneaux comme cela là-bas ? J'avais dû l'apprendre, mais j'ai dû l'oublier. Il faut dire que ce qui touche à l'antiquité ne m'intéresse pas plus que ça... Par contre, les fresques avaient changés, et comme pour répondre à notre interrogation précédente, les dessins représentaient des pokémons préhistoriques... Je reconnaissais Ptera, Amonita, Kabuto et leurs évolutions... mais pas les autres.

Cependant, malgré mon exploit, je n'étais toujours pas rassuré. Et les fresques changèrent encore, pour devenir plus sombre. Cela parlait de sacrifices, d'après le scientifique, pour ''libérer Giratina''. Cela ne me réconforta pas, et à en voir son visage, Hisato était même dégoûté. Étrangement, même si c'était atroce, cela me paraissait logique. Giratina n'est pas censé être représenté comme l'incarnation du Mal, ou un truc du genre ?

L'obscurité de l'endroit restait forte, et les exclamations soudaines du spécialiste n'arriva qu'à me faire sursauter. Vivement que je me tire de là, mais il va falloir d'abord que je finisse de les aider. Et en arrivant dans une salle immense, je me disais que nous étions plus très loin. Ou plutôt, je l'espérais. Puis vint l'énigme :

« A la fin de l'histoire s'ouvre le couloir ... L’œil du Maître veille sur son armure ... Depuis les profondeurs revient Giratina ... Qu'il nous épargne, pour prix de nos tributs. »

Je me disais aussi qu'il y avait quelque chose d'étrange : nous n'avions qu'une seule sortie: là d'où nous venions. Donc il y avait un couloir caché... je crois. Par contre le reste... ''L’œil du Maître'' ? A qui faisait référence ce dernier mot ? Arceus ? Non, impossible. ''Depuis les profondeurs revient Giratina. Qu'il nous épargne, pour prix de nos tributs.'' Euh... Qu'est-ce que cela voulait dire ? Non, je le prends à l'envers... Je devais chercher une signification explicite lié à cette salle. ''Dans les profondeurs revient Giratina''... Ah !

« Éclairez le sol ! »

J'étais presque certain de moi. Et j'avais raison : une image de Giratina était présent au sol. Mais nous ne voyons pas grand chose avec juste sa lampe. Si seulement nous avions d'autres sources lumineuses... Ah mais attendez... J’attrapai deux balls à ma ceinture et je tourna la première vers mon pokémon qui était encore accroché à ma tête.

« Torti, reviens, je veux pas te faire prendre de risque. Léo, on a besoin de toi ! »

Une lumière blanche et une autre rouge transperça les ténèbres. Le pokémon plante ainsi retourna dans sa ball, tandis que Lixy sorti de la sienne. Si les pokémons électriques avaient une particularité spéciale, c'est qu'avec leur électricité, ils pouvaient produire un peu de lumière. Ce sera mieux que rien.

« Léo, Chargeur ! Essaye de t'illuminer le mieux que tu peux. »

Sur mes ordres, le petit lion électrique chargea son électricité dans tout son corps, et sa fourrure se mis à s'illuminer. Ce n'était pas une énorme source de lumière, mais c'était mieux que rien. Je lui ordonna de rester à mes côtés, tandis que je regardais le sol, à la recherche de... quelque chose. Un trou, un mécanisme, je ne sais quoi. Puis quelque chose tilta dans ma tête. Dans les précédentes fresques, il y avait quelque chose de bizarre : les lunes n'étaient pas représentés comme des sphères, mais des gouffres. Et le scientifique avait parlé d'un couloir... non, que la lune était un couloir entre deux mondes, quelque chose du genre. Je cherchais donc la lune et je la trouva. Et avec elle, un trou, minuscule, mais qui semblait pouvoir accueillir quelque chose... ''L’œil du Maître veille''...

« Cherchez euh... » Qu'est-ce qu'on devait chercher en fait ? « L’œil du Maître... Vous aviez parlé d'un œil fixé sur les êtres qui veulent l'aider, non ? Cherchez-la, et mettez-la dans le trou ici ! »

Je parlais et ordonnais comme si je savais ce que je faisais, mais, en moi, l'incertitude était partout. J'étais parti dans une logique, dans une réflexion, sans savoir si j'avais bon ou pas, même si les indices pouvaient le confirmer.

Enigme et résumé :

Le membre 'Takeshi Morichi' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'dé Shiney' :

C'est une bonne intuition que vous avez eu là ! Le scientifique à un sourire très satisfait, peut-être un peu sournois, mais bon, il faut sans doute attribuer cela à l'atmosphère un peu malsaine du coin. Une fois qu'on sait ce qu'on cherche, on le trouve rapidement. Même s'il semble un peu hésitant, Hisato Finit par utiliser la même astuce que vous pour remplacer la lampe torche du spécialiste, qui s'est mis à inspecter les murs.

Vous ben ... vous restez à côté de votre trou, à attendre. Pas trop de choix, ce serait dommage de perdre de vue ce qui semble bien être le mécanisme. Finalement, vous vous asseyez au sol pour économiser vos jambes, et vous commencez à vous ennuyer sec au milieu de toutes ces images de sacrifices humains et pokémons, quand Hisato finit par dénicher "l’œil". Comme c'était prévisible au vu des paroles du spécialiste, il a la forme d'une petite lune, et était incrusté dans l'une de celles qui décorent les murs. Une fois le petit artefact dans le trou, trois pans de mur s'ouvre soudainement.

Celui de gauche ouvre sur un escalier qui semble monter (peut-être vers la sortie, mais rien n'est moins sûr : il présente un coude au bout de quelques mètres ), celui du centre s'enfonce dans les ténèbres, et présente lui aussi un coude très rapidement. Le dernier chemin, lui, est un couloir qui part tout droit, mais sur une telle distance que malgré vos sources de lumière, vous n'en voyez pas la fin.

Il va falloir choisir : je vous laisse en discuter avec vos compagnons de voyage !

La dernière énigme fut plutôt difficile. Non seulement, parce que nous étions dans une grande salle vide – mis à part les fresques qui ornaient les murs – et que l'on y avait presque goutte. Mais avec une énorme réflexion et de la logique, j'avais finalement compris le tout. Le mécanisme était au sol, où se trouvait une image de Giratina, au niveau du cercle qui symbolise la lune. Et pour déclencher le mécanisme, il fallait ''l’œil''.

Je me posai alors, assis au sol, restant à proximité du trou, avec mon Lixy qui brillait. La lumière n'était pas forte, mais suffisamment pour voir à deux mètres correctement. Hisato et le scientifique s'étaient mis à chercher, le premier appelant d'ailleurs son propre Lixy afin d'avoir lui aussi sa propre source de lumière. Léo regarda alors le pokémon de son espèce, surpris. Pour ma part, je caressai doucement la tête de mon pokémon.

« Ca va, Léo ?
- Liiii ! »

Son sourire et son petit cri joyeux me confirmèrent qu'il allait bien. En tout cas, il n'était pas aussi peu rassuré que moi. Puis le temps passa. Forcément, ''l’œil'' n'était pas trouvable facilement. Mais plus le temps passé, plus l'ennui et la crainte m'envahissait, seul la présence de mon pokémon électrique à côté de moi me rassurai. J'eus un sourire. Dire qu'à l'origine, il n'était pas prévu que je l'emmène avec moi... Je suis heureux qu'il était revenu ce jour-là pour jouer. Il était en plus très affectif. Il me faisait penser aussi au Raichu de Maku, mon frère, qui est un pokémon très joyeux et qui possède la même détermination que mon frangin. Finalement, peut-être que le petit lion électrique voyagera plus longtemps avec moi. Après tout, la limite des six pokémons avait été réussi à être outrepassé, et je pouvais bien garder avec moi un aussi bon compagnon, même lors des combats lorsque je ne mettrais pas sur le tapis ma conviction d'être le meilleur dresseur de pokémon sol.

« Je l'ai ! »

La voix de Hisato me réveillait de mes pensées, et je le vis revenir avec ce qui ressemblait à une petite lune. Le scientifique revint aussi, un sourire au lèvre, et excité d'impatience aussi. Le rouquin mit alors l'artefact dans le mécanisme, et un bruit sourd se fit entendre. Mais ce n'était un couloir qui était apparu, mais trois. Génial, maintenant, la définition du mot labyrinthe vient de prendre tout son sens... Nous regardâmes d'abord chacun des chemins : le premier, à gauche semblait monter, mais tourner un peu plus loin. Le second, au centre, ne montait pas, mais présentais aussi un virage. Le troisième, à droite, était un couloir... un long couloir allant tout droit, car nous ne vîmes aucun virage. Du peu qu'on voyait, en tout cas. Il fallait désormais se décider. Je me serais dit : on a trois couloirs et on est trois, donc on en prend un chacun, mais après ce qui s'était passé avec Hisato au premier piège, et du peu que je connais de ce scientifique... Ce n'était pas une superbe idée...

« Hmmm... vous disiez que la lune était un couloir entre deux mondes... non ? Du coup, ne prendrait-on pas le long couloir, à droite ? » demandais-je, me demandait s'il comprendrait ma logique.

Je regardais les deux guides, qui réfléchissait, avant finalement de se mettre d'accord. C'était parti...

Choix :

Un long, long couloir ... très long couloir ... suuuuper long. Les dalles du sol sont, en plus, de plus en plus sombres, et le scientifique semble marcher de plus en plus lentement : vous voyez même une légère goutte de sueur couler sur son front. Pourtant, vous en avez déjà vu, non, des dalles noirs ? A l'entrée, et elle balisaient le chemin le plus sûr ! Pourquoi cela l’effraierait...

Hisato - HAAAA !

Vous sous intéresse à Hisato, qui pend ... dans le vide ? Sa main se retiens à quelque chose ... Il faut la lumière de son Lixy pour que vous réalisiez que les dalles noires ont disparue, et qu'il se retient à la dernière avant le début d'un gouffre. Avec l'aide de la lampe du scientifique, vous estimez que ledit gouffre fait deux mètres de large. Rien d'insurmontable pour quelqu'un d'un peu athlétique, mais dans cette obscurité, ce piège tout simple aurait pu être fatal. Le couloir fait un coude deux mètres après la fin du gouffre, ce qui signifie que vous n'êtes pas encore arrivés au bout de ce chemin, où qu'il mène.

Continuez-vous, ou préférez-vous rebrousser chemin ?
Oh, aurais-je omis de vous parler de ce qui semble être une source de lumière provenant de derrière le coude que fait le couloir ?

Sur un accord commun, nous prenions la chemin de droite, sur les trois apparus dans l'immense salle où nous étions. Et nous reprîmes aussitôt notre organisation : Hisato et son Lixy devant, le scientifique au milieu, et moi et Léo derrière. La marche fut silencieuse, cette fois-ci, certainement dû au manque de fresque sur les murs... ou au couloir qui semblait de plus en plus sombre. De plus, il était long... vraiment long. Il était difficile d'imaginer jusqu'où ce couloir nous amènera. Le scientifique ne semblait pas rassuré, ralentissant sa marche. Et en voyant les dalles, je remarquai qu'elle s'étaient bien assombris au fur et à mesure.

« HAAAA !
- Hisato ! »

D'un coup, le rouquin avait disparu de mon champ de vision, et j'avais craint le pire. Mais à la lumière de son Lixy, je vis le bout de sa main, agrippé aux dalles. Soulagé, je m'approchai pour l'aider à remonter. Je remarqua en même temps une légère lumière un peu plus loin dans le couloir... Cependant, un gouffre nous en séparait. Les dalles, qui étaient devenus de plus en plus noirs, nous avaient leurrés. Le scientifique éclaira devant, nous faisant remarquer que ce fossé devait être large de... deux bons mètres ? Environ. Je n'aurai pas de souci à le passer, et Hisato, au vu de son réflexe, devrait pouvoir lui aussi. Mais pour le scientifique...

« Bon... je suppose qu'il n'y a plus qu'à rebrousser le chemin.
- Attendez un instant. »

La légère lumière que j'avais vu m'intriguait, et m'avait d'ailleurs fait remarquer que le couloir tournait. Mais il était hors de question de sauter pour rien au-dessus de ce gouffre. J'avais Scorplane désormais pour qu'il puisse passer, mais il était trop faible. D'un autre côté, ce serait stupide d'envoyer un pokémon si la soit-disant armure n'était pas encore là, et qu'il s'agit d'une autre salle, on perdrait du coup du temps à visiter les autres salles. Je n'avais plus trop de choix... Je m'accroupissais afin de m'approcher de mon pokémon.

« Léo, je vais t'envoyer de l'autre côté, je veux que tu m'éclaires le rebord en face. »

Inquiet mais d'accord, je le pris dans mes bras avant de le lancer de toute mes forces. Il arriva alors sans souci en face, puis, suite à mes ordres, il s'approcha du rebord. Je pris alors de l'élan, aidé par l'éclairage du Lixy de Hisato pour connaître le bord de notre côté, puis je m'élançais, utilisant cette vitesse pour franchir le rebord. Je réussis à arriver sans souci en face, mais le cœur battant d'avoir sauté au-dessus de ces ténèbres, et je me retournai alors.

« Je vais aller voir ce qu'il y a, et je vous en ferait part. Ne bougez pas d'ici, s'il vous plaît. »

Suite :

C'était risqué de lancer votre pokémon, comme ça : et s'il avait glissé ? En attendant, vous avez réussis à traverser le gouffre et vous tournez donc en suivant le coude. Ce que vous trouvez est pour le moins ... bizarre. la salle est en tout point semblable à celle que vous avez quittée tout à l'heure à l'exception près qu'il y a un petit objet lumineux à la place de "l’œil" de Giratina, au sol.

Vous le saisissez pour essayer de comprendre, et trois nouveaux chemin s'ouvrent. l'un monte, l'autre descend, le troisième fait un angle de 90° avec le couloir où sont encore le scientifique et Hisato : une véritable copie conforme de la première salle, on dirait. Le soucis avec un labyrinthe dont les couloirs sont en plus cachés, c'est qu'on ne peut pas vraiment savoir si on est sur le bon chemin ... En plus, vos compagnons de route attendent toujours de savoir ce que vous avez découvert.

Hum, un indice peut-être ? Le couloir qui monte refoule une odeur d'humus, celui qui descend lui exhale un parfum âcre, et Lixy semble éviter de trop s'en approcher. Quand au long couloir ... il sent le brûlé ...

La petite bille de lumière que vous avez ramassée perd petit à petit de l'éclat : d'ici un quart d'heure, elle s'éteindra, à moins (probablement) d'être remise en place. Quoique que vous souhaitiez faire de cette information.

Une salle immense avec trois chemins, un couloir long et sombre, possédant aussi un gouffre près de la fin de celle-ci, voilà ce que nous avions passé. J'avais sauté par-dessus le gouffre afin d'avancer et de permettre au scientifique de ne pas se risquer à un tel saut, promettant d'expliquer ce qui j'y trouve. Et lorsque j'avançai, je me retrouva... dans une salle identique à la précédente.

La grosse différence était la présence d'un petit objet lumineux présent au sol, remplaçant un œil de Giratina. Intrigué, je le récupéra, ce qui eut pour effet d'ouvrir trois autres chemins. Encore une fois. Cependant, ce qui arriva ensuite fut intriguant. Plusieurs odeurs se mélangèrent, et me disant qu'il s'agissait d'un moyen de savoir quel chemin prendre, je m'approchai d'elles. Le couloir qui semblait monter avait une odeur que je connaissais bien : celle de la forêt. Je m'approchai alors du second.

« Liii... »

Lixy semblait refuser d'avancer, et je compris vite pourquoi : l'odeur provenant du couloir qui descendait était désagréable et irritante. Nous allâmes alors vers le troisième, qui senti le brûlé. Je soupirai, cela ne m'avançait à rien. Je revins alors en arrière afin d'en informer.

« Il y a une salle pareil que l'autre. J'y ai trouvé cette bille... » Je montrai la petite bille lumineuse que j'ai récupéré, et eut l'impression qu'elle avait un peu perdu de son intensité... Étrange. Mais je continua ce que je disais, malgré ce court instant de doute. « Elle se trouvait à la place d'un œil de Giratina, et trois couloirs sont apparus. Les seuls indices que j'ai, c'est que celui qui monte à une odeur de forêt, celui qui descend a une odeur forte... âcre, je dirais, et le dernier sent le brûlé. Est-ce que vous avez le moindre indice qui nous aiderait à savoir quelle chemin prendre ? »

Le temps que j'en parle, la bille semblait avoir de nouveau perdu de sa brillance... Je fis alors part de cette impression, avant d'écouter ce qu'avait à dire le scientifique.

Résumé :

[Dsl du délai :/]

Le scientifique à l'air mal-à-l'aise en vous entendant parler. Il semble garder une information pour lui, mais il vous répond quand même, gardant toujours un œil sur la petite bille, comme si il voulait la voir reprendre sa place immédiatement.

Spécialiste - L'odeur de brûler a dû s'imprégner à cause des travaux de forge qui ont servit pour l'armure. L'odeur d'humus laisse penser que le couloir montant mène vers la sortie, ou est bouché ... Pour le troisième, je n'en ai pas la moindre idée ...

Vous sentez toutefois dans sa voix qu'il voudrait bien que vous vous y engouffriez. Hisato, lui, semble un peu distrait, mais au bout de quelques secondes, il vous rejoint Le scientifique manque de rater son saut, mais grâce à l'aide de votre compagnon, vous réussissez à le hisser. Cependant, vous avez besoin tous es trois de reprendre votre souffle, et une fois cela fait, vous pouvez bel et bien vous assurer que la lumière de la bille faiblit : cela révèle des entrelacs de runes zarbis, si mélangées qu'on ne peut les différencier les unes des autres.

Malgré les réticences des deux Lixys, vous prenez donc le chemin qui descend, dont l'odeur âcre n'inspire finalement pas grand monde.

Vous débouchez enfin dans une grande salle, au centre de laquelle e dresse un autel de pierre. Le sol est teinté d'un rouge qui ne saurait démentir l'usage de tout cela : c'est un autel sacrificiel. Le plus embêtant vient sans doute des deux formes encagoulées qui semblaient vous attendre. Lorsque que vous vous retournez vers le scientifique, vous réalisez qu'il est déjà remonté, avec la bille lumineuse ! Il vous adresse un sourire narquois avant de replacer la bille en place, scellant le chemin que vous aviez pris : vous avez été trahis !!

Les deux formes dégainent alors des armes ... non, des Monorpales ! Vous apercevez, à la lueur des bougies disposées en cercle sur le pourtour de la salle de sacrifices, que l'étincelle de la conscience à depuis longtemps quitté les yeux des humains : ils sont manipulés, hantés. Ce sont des adversaires très particuliers que vous allez devoir combattre ...

Ah oui, c'est peut-êtrele dernier de vos soucis à l'heure actuelle, mais vous reconnaissez parfaitement les vêtements que portent ces gens : ce sont ceux de la secte, dont l'histoire tapissait les parois du labyrinthe un peu plus tôt !

situation

Homme hanté par Monorpale 1 : Forme Parfaite, agressif
Homme hanté par Monorpale 2 : Forme Parfaite, agressif

Vous et Hisato : Trahis, au milieu d'une salle sacrificielle

De retour de la salle aux trois odeurs, je me mis à expliquer ce que j'avais senti, ainsi que de la bille de lumière. J'écoutai alors l'avis du scientifique. Je fus étonné qu'une odeur de brûlé à pu s'incruster,  surtout si les travaux de l'armure date de longtemps... A moins que c'était récent ? Du moins, plus récent que je le pensais ? Cela me paraissait assez étrange tout de même. Je me disais qu'il fallait probablement suivre ce chemin, mais le scientifique, qui n'avait aucune idée sur le couloir ayant l'odeur âcre, semblait vouloir prendre ce chemin... Et puisque c'était lui le guide... Lui et Hisato sautèrent alors au-dessus du gouffre, mais nous dûmes l'aider, ayant raté son saut, et ayant eu le réflexe de m'allonger et de prendre son bras avant qu'il tombe. Le rouquin m'aida alors à le remonter.

Nous prîmes ainsi le chemin descendant, ayant l'odeur âcre, qui rebutait les Lixy, mais nous aussi, finalement. Cependant, nous avancions. Pour arriver dans une salle où se trouvait un autel... Et au vu de la couleur rouge-sang du sol, cette pièce était facile à deviner à quoi elle servait : c'était la chambre sacrificielle. Des bougies étaient présents aussi, allumés, ce qui était étrange... Mais ce n'était pas le seul problème : deux ombres étaient présents, ou plutôt, deux personnes encagoulés... Un piège ? Je n'eus même pas le temps de réfléchir que je senti une main arracher la bille de lumière de la mienne, et lorsque je me retournai, je vis le scientifique remonter vite fait, et disparaître de mon champ de vision après nous avoir décoché un sourire narquois. Furieux, Hisato tenta de le poursuivre, mais je l'arrêta à temps : le mur s'était refermé devant notre nez.

Le cœur battant fort, je me retournai pour me faire face aux deux silhouettes. Pourquoi ? Qu'est-ce que cela voulait dire ? Était-ce une piège préparé depuis le début ? Puis, aidé par les bougies, mais aussi par les Lixys qui rayonnait un peu plus, dû au sentiment de danger présent, je remarqua que leur accoutrement me faisait penser aux fresques. C'était ceux de cette secte... Puis ils dégainèrent des épées.

« Des Monorpales... »

L'écoutant à moitié, je paniquais intérieurement : je ne voulais pas mourir ! Non... Je ne devais pas céder au pessimisme. Je me dois de réfléchir et de trouver un moyen de me débrouiller. Mon frère m'a appris cela. Je sorti mon pokédex, sentant que les épées, suite à la remarque de Hisato, n'étaient pas des objets...

« Monorpale, le Pokémon Glaive. Lorsqu'un humain l’empoigne, il enroule son étoffe autour du bras de ce dernier et aspire son énergie vitale. »

Une description terrifiante. Ce pokémon avait les types Spectre et Acier, pas étonnant que Hisato le connaissait. Je regarda alors le visage de nos vis-a-vis et je vis leurs yeux, vides. Certainement possédés par le pokémon spectre depuis longtemps. Il ne fallait pas rester ici ! Mais comment faire ? … Oui, je sais !

« Hisato, envoie un de tes pokémons spectres dégager la bille de lumière de la dernière salle ! Il devrait pouvoir passer à travers les murs et le faire si l'autre type n'est plus là, non ?
- Oui, je suppose. Mais pour eux ?
- On... gagne du temps. »

C'était le mieux à faire : pas le temps de savoir s'il y avait un passage dérobé, il fallait qu'on se sauve de là par le chemin qu'on connaît. Et donc, il fallait qu'on survive – ou qu'on neutralise les deux ennemis – le temps que le spectre de Hisato s'occupe de nous ouvrir le passage. Bien, il est temps de jouer une nouvelle carte...

« Léo, en retrait, Sammie, à l'attaque ! Vise leurs yeux avec Coud'Boue ! »

J'ordonnais ainsi à mon Lixy de rester derrière moi tandis que je pris la pokéball de Sancoki et l'envoya, donnant mes ordres à son apparition.

Résumé et Combat... ? :

Le membre 'Takeshi Morichi' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'dé Shiney' :

La partie de votre plan concernant le spectre n'est pas bête du tout, et vous voyez donc le Fantominus de Hisato partir vers le couloir. Votre Sancoki prend place sur le terrain, et lance des coup d'boue aux humains ... qui ne ralentissent même pas !

Ben oui, les Monorpales qui les contrôlent, eux, ils voient très bien. Une petite marionnette pourrait aussi bien être aveugle, çan'empêche pas le marionettiste de faire joujou avec. Toutefois, le choc de l'assaut les a rélentits un peu, vous laissant le temps de reprendre vos esprits : vous aller devoir continuer à vous battre le temps que Fantominus s'en sorte ...

Parce qu'il est pas au bout de ses peines, le petit. En effet, le scientifique n'a qu'un pokémon, mais il serait difficile à vaincre pour la pauvre boule de spectre :



Je vous épargne les détails de ce duel que ni vous ni Hisato ne pouvaient voir, mais il servira de décompte pour savoir combien de temps vous allez devoir gagner.

situation

Combat principal :
Homme hanté par Monorpale 1 : Forme Très bonne, arrive au contact pour la prochaine mod ^^
Homme hanté par Monorpale 2 : Forme Très bonne, arrive au contact pour la prochaine mod ^^
Sancoki : Forme Parfaite, aimerait bien avoir de l'aide

Hisato : Trop inquiet pour son Fantominus pour penser à vous aider.

Fantominus VS Motisma : 3 mods à tenir.

Petit thème de combat pour l'ambiance ! x):

Nous voilà piégé. Pris au piège et trahis. Trahis par celui qui devait nous guider vers des informations concernant Giratina. Ou peut-être que trahi est un trop grand mot. Après tout, cela pouvait être son plan dès le début, et il a juste joué la comédie. Nous nous sommes fait avoir, quoi. Et nous allons être sacrifiés pour un rituel pour le pokémon de l'autre dimension. Ça, il en était hors de question.

Finalement, nous – ou plutôt je – établîmes un plan : gagner du temps afin que le Fantominus de Hisato s'occupe de virer la bille de lumière de son socle, nous permettant de fuir. Mais il fallait s'occuper de deux types armés... ou plutôt manipulés par des Monorpales, des pokémons ressemblant à des épées. J'envoyai alors Sancoki pour les aveugler... ce qui fut quasi-inutile, car c'était les épées qui les contrôlaient entièrement. Au moins, j'en étais sûr... par contre, ils se rapprochaient... D'un coup d’œil, je vis Hisato inquiet pour son pokémon, essayant d'entendre le moindre bruit derrière le mur amovible, et préféra compter sur moi-même. Il fallait les faire reculer...

« Torti, aide-nous ! Canon Graine en zone ! Repousse ces types ! Sammie, occupe-toi de viser les yeux des Monorpales avec des Coud'Boues ! »

C'était le meilleur plan venu en tête en peu de temps. Si les Monorpales perdent de la précision, nous aurons plus de chance de survivre. Vu la faible vitesse des ''zombies'' hantés, on avait une chance concernant la possibilité d'esquiver leurs coups... mais on ne devait pas perdre notre seul sortie en les ayant en travers de notre chemin. Par Arceus, faîtes que j'arrive à les tenir à distance !

Combat :

Les ... gens ... marionnettes .. .zombis ... whatever font quelques mouvements avec les lames, qui vous rappellent vaguement une dans-lame. Les premier barrage de Tortipouss les immobilise un moment, mais les lames repartent à l'assaut ! Alors que le premier coup d'boue frappe un Monorpale, C'est tout en utilisant taillade qu'il force son porteur à frapper.

Sancoki grince un peu des dents, mais la seconde ball'graine repousse son agresseur. TOutefois, le second hanté place lui aussi une taillade, sur un Tortipouss qui n'apprécie pas du tout ... deuxième coup d'boue.

Vos assauts semblent grandement affecter les corps humains, déjà affaiblis et amaigris par une possession et un manque de nourriture continu. Si ils sont encore vivants, vous risquez de les tuer à ce rythme ... D'un autre côté, leurs assauts boostent ceux des Monorpales, ce qui les rend particulièrement redoutables. Il va falloir compter sur la chance et serrer les dents.

situation

Combat principal :
Homme hanté par Monorpale 1 : Forme Correcte, le corps humain semble très peu résistant, att+2, pré-1, une taillade
Homme hanté par Monorpale 2 : Forme Correcte, le corps humain semble très peu résistant, att+2, pré-1, une taillade
Sancoki : Forme Très bonne à Bonne
Tortipouss : Forme Bonne à Correcte

Hisato : Trop inquiet pour son Fantominus pour penser à vous aider.

Fantominus VS Motisma : 2 mods à tenir.

Ils arrivaient trop près. Dans cette salle fermée, là où nous étions piégés, et où se situait un autel sacrificiel, nous devions, en attendant que le Fantominus de Hisato ouvre la voie, nous occuper de deux types hantés par des Monorpales. Mais était-il seulement hantés ? La question se posait. Car nos assauts sur eux avaient des effets différents : les aveugler ne servaient à rien, mais les attaquer, c'était une autre histoire d'efficacité. Car sur les Canons Graine de Tortipouss, ils semblaient être drôlement affectés. Dû à leur corps ? Probablement.

Du côté de Sancoki, ses deux Coud'Boues touchèrent les deux épées maudites. Et ces deux dernières, au vu de leur mouvement, semblaient avoir réalisés une attaque Danse-Lame avant d'attaquer avec taillade chacun de mes deux pokémons, nos derniers remparts. Combien de temps allons-nous tenir ainsi ? Je ne savais pas, mais cela ne se passer pas bien. Perpétuellement en recherche d'idée, surtout que je me demandais ce qui se passerait si on ''achevait'' les deux zombies : est-ce que les deux pokémons allait nous combattre encore ? Probablement. Et ce serait super dangereux. Finalement, je devais tester quelque chose.

« Torti, tu t'occupes du type à gauche, utilise Canon Graine ! Sammie, Coud'Boue sur le Monorpale du gars de droite ! »

Je devais tenir. Et je devais tester quelque chose. Je pris une ball dans mon sac, espérant que mon plan allait fonctionner. Je n'avais aucune envie de le faire, mais ma vie en dépendait... Alors... go !

Combat :

La canon graine est critique ! L'homme ne se contente pas de tomber ... Un énorme trou dans sa poitrine laisse penser que l'attaque de votre pokémon en a définitivement finit avec lui. Le corps bascule et le Monorpale se tortille pour échapper à la poigne de ce qui est à présent un cadavre. Pendant ce temps, Sancoki continue de frapper son second adversaire, mais se ramasse une deuxième taillade améliorée.

Votre ball traverse la zone, et se referme sur le Monorpale qui continu de se débattre. Un énième coud'boue permet de souffler enfin : cette taillade-là passe à côté. Vous avez capturée l'épée !

En revanche, alors qu'Hisato se retourne enfin, il a une mine catastrophée en voyant le sang de votre "victime" se répandre sur le sol ... Oui oui, vous avez tué, jeune homme. C'était de la légitime défense, mais ... vous avez pris une vie.

situation

Combat principal :
Homme hanté par Monorpale 1 : Mort
Monorpale 1 : Forme Faible, capturé.

Homme hanté par Monorpale 2 : Forme Moyenne à Faible, le corps humain semble très peu résistant, att+2, pré-3,
Sancoki : Forme Moyenne à Faible
Tortipouss : Forme Bonne à Correcte

Hisato : paniqué par la mort de l'homme, se retient de vomir.

Fantominus VS Motisma : Ouvre la porte à la fin de la prochaine mod

Le combat continuait, et même faisait rage... mais ce n'était pas un combat commun. Je combattais deux hommes hantés par des épées-pokémon. Mais ils s'étaient trop approchés, et j'avais pensé à une tactique qui nus aiderait à nous en sortir. Ainsi Tortipouss attaqua avec un Canon Graine l'homme à gauche, dont l'explosion fut surprenante : un coup critique. L'homme tomba, mais ce que je vis me frappa d'horreur et je ressenti un grand froid en moi. Et je n'étais le seul choqué : Hisao s'était retourné et avait vu le cadavre, et au vu de son exclamation, venait de paniquer.

Je n'avais aucune certitude concernant l'état de cet homme avant, mais avec le trou causé par l'attaque et le sang qui se répandait, il était... vivant. Et je lui avais ôté la vie... Au bord des larmes, je ne m'abandonna pas à la panique en pensant que c'était lui ou moi et que j'avais un plan à exécuter. Ainsi, ma ball traversa le champ de bataille pour toucher l'épée spectrale qui cherchait à se débattre. Du côté de Sancoki, elle se prit une nouvelle taillade, mais n'abandonna pas et via deux Coud'Boues, réussi à faire échouer la nouvelle attaque de l'autre assaillant. Quand à la ball, elle captura le pokémon : le plan avait réussi à 100%. Désormais, finissons-en.

« Hisato... Il faut capturer ce scientifique. Il faut l'amener à la police... Retourne-toi... »

Ma voix tremblait, montrant ce que j'évitais de montrer extérieurement : ma propre peur. Mais désormais, je devais en finir... Même si cela déchirait mon âme d'y penser : je devais abattre le dernier homme...

Fin du combat :

Sancoki durcit donc son corps, Et intercepte une taillade destinée à son ami. Tortipouss place un magnifique coup sur l'épée, ce qui fait reculer le bras de l'homme sous l'impact. Sancoki durcit encore pendant qu'Hisato cède à son envie de vomir, mais c'est inutile car la précision trop faible de l'ennemi lui fait rater son assaut. Epuisée, Monorpale plie devant l'assaut suivant.

Au même moment, de l'autre côté de la porte, Fantominus parvient à feinter son ennemi et retire la bille de son socle. Dès que vous le remarquez, vous n'hésitez pas une seconde et touts le monde se rue vers l'issue. Au moment où vous la traversez, Motisma échange un coup final avec Fantominus, et les deux pokémons tombent K.O. La bille glisse jusqu'à son emplacement, et vous vous jetez en avant pour éviter d'être écrasés.

Le "scientifique" à l'air pour le moins énervé de vous voir vous en être sortis aussi bien, et décide d'en finir lui-même :


Voir Fantominus tomber K.O finit par secouer Hisato. D'apathique et choqué, il deviens enragé : il envoie un Griknot, visiblement prêt à se battre et à venger l'honneur de Giratina, qu'il considère comme baffoué par les agissements de cette secte. Choisissez votre propre allié avec discernement.

situation
Rappel des formes des pokémons :

Hisato :
Fantominus : K.O
Feuforêve : Critique à K.O
Griknot : Forme Parfaite

Vous :
Griknot : Forme Bonne
Scorplane : Forme Faible à Critique
Tortipouss : Forme Bonne à Correcte
Sancoki : Forme Faible à Critique
Monorpale : Forme Faible

"Scientifique" :
Motisma : K.O
Drakkarmin : Forme Parfaite
Ténéfix : Forme Parfaite

La situation devient extrême. Mais depuis la réussite de mon plan, j'étais à deux contre un. Je me devais de régler cela par moi-même, du fait que Hisato n'avait pas tenu le coup. Mais mes ordres furent exécutés sans aucun souci encore une fois : après une Amure, Sancoki intercepta une Taillade ennemi avant que Tortipouss ne repoussa l'épée spectrale et son hôte. Le second tour fut pareil à ceci près que le Monorpale ne toucha pas. Cependant, après l'attaque de mon starter, je n'eus pas le temps de vérifier l'état de l'autre homme : la porte s'était enfin ouverte.

Sans réfléchir, Hisato et les deux Lixy s'y engouffrèrent, tandis que je rappelai les deux autres pokémons et récupéra la ball du Monorpale capturé. Je me précipita alors dans l'allée.

« Fantominus ! »

Le cri de Hisato à son pokémon me surpris presque, d'autant que peu après, l'allée se ferma, ce qui m'obligea à sauter pour éviter de me faire écraser. Je me releva rapidement et regarda la scène : le Fantominus et un pokémon que je connaissais pas étaient à terre, KO, la bille était de retour dans son socle, Hisato semblait choqué, et le soit-disant scientifique était aussi là, surpris de nous voir. Je sorti mon pokédex afin de connaître le pokémon du traitre :

« Motisma, le Pokémon Plasma. Son corps est composé de plasma, ce qui lui permet de prendre le contrôle de certains appareils ménagers. »

« Impossible ! »

Ces paroles provenaient du sientifique, qui était visiblement bien surpris de nous voir en vie. Il nous regardait, tour à tour, puis son regard s'appuya sur le rouquin.

« J'aurais dû me méfier d'un gars à la recherche d'information sur Giratina. Je ne pensais pas que vous utiliseriez un spectre pour vous tirer de là. C'était un bon plan, une chance que je sois resté ici... Maintenant, vous allez disparaître ! »

Il tira alors deux pokéballs après avoir rappelé son pokémon KO, d'où sortis deux nouveaux pokémons inconnus au bataillon – pour ma part. Nouvelle utilisation du pokédex :

« Drakkarmin, le Pokémon Caverne. Il sillonne les grottes étroites, capturant ses proies avec ses griffes acérées. La peau de son visage est plus dure que la pierre. »

« Ténéfix, le Pokémon Obscurité. Il creuse dans les grottes à le recherche de pierres précieuses, dont il se nourrit. »

Deux pokémons trouvable donc surtout dans des cavernes, mais ce qui me frappa fut leur type : Dragon pour le premier, Spectre et Ténèbres pour le second. Spectre et Dragon. Décidément, j'en vois beaucoup depuis ma rencontre avec Hisato. Certes, nous étions dans un endroit consacré à Giratina, mais cela me surprenait tout de même. Je m'apprêtais alors à tirer à mon tour mon pokémon quand j'entendis un bruit venant de Hisato. Je le regardai serrer les dents. Et il sorti finalement de ses gonds, enragé par tout ce qui s'est passé.

« Et vous osez vous appeler serviteurs de Giratina... Je vais m'occuper de vous !! Griknot, montre-leur de quoi tu te chauffes ! »

Le rouquin sorti un Griknot. Alors lui aussi en avait un. Pas étonnant qu'il s'était intéressé à moi. Quand à moi, rongé aussi par la colère, je m'apprêtais à envoyer Manzaï quand je vis Lixy se positionné devant moi. Il s'était arrêté de luire, mais nous voyons bien du fait que la bille lumineuse éclairait très bien. Lixy me regarda un instant, me faisant comprendre qu'il était lui aussi déterminé. Je comprenais. Du fait qu'il avait vu tout cela, il ne pouvait plus rester en arrière.

« Bien Léo, c'est parti ! Croc Feu ! Mord ce que tu peux ! »

L'atmosphère était bouillante de haine. Ce combat va être un champ de bataille. Le pseudo-scientifique était l'adversaire à battre, afin que nous puissions sortir d'ici et arrêter cette folie. Une sorte de combat final. Où il me restait Lixy et Manzaï en forme, ainsi que Tortipouss et Griknot en assez bonne forme. Mais je n'arrivais pas à savoir si ce scientifique avait d'autres pokémons en réserve. Je ferais sans, déterminé à mettre à terre mon adversaire. Non, mon ennemi.

Combat :