Le Grand Voyage (Os 1 Parmanie -> Celadopole)

Donc j’étais sur la plage, comme un glandu, a me demander ce que j’allais faire, avec mon pied en charpie, entamer un voyage comme celui que je prévoyais était un peu stupide, d’autant plus que j’avais encore quelques choses a régler au Old Cowboy avant de partir. Je devais donc y retourner. Je revins sur la plage, ramassais mon sac, mon manteau et mon chapeau, et en compagnie de Lævateinn, nous regagnons le centre Pokémon. L’infirmière Joelle, quand elle me vit revenir, manqua de mourir d’un infarctus. Elle ne tarda pas a me passer un saxon, quant a l’imbécilité de se baigner avec une jambe dans le platre ! Je crois que même mes parents ne s’étaient jamais autant mis en rogne a mon propos.
Une fois le sermont fini, je pris une chambre, afin de me laver et de me reposer avant de prendre la route vers Céladopole. Je pris une douche bien chaude et bien longue, j’ai sûrement dû pomper une bonne partie de la réserve de tout le monde, vu comment j’ai entendu mes voisins de chambre râler toute la soirée. Moi ça m’amusa. Un bon repas, et tout le monde était prêt a aller dormir. Une bonne nuit complète de repos, et dans la nuit, j’eus une brillante idée. Le lendemain, je me mis a chercher des cordes. Une fois ces cordes en ma posséssion, je mis en pratique mes connaissances en équitation, et plutôt en cordage équin, pour faire un licol a Lævateinn, qui se laissa faire. Une fois le harnachement terminé, je me mis sur le vélo, et attrapais les cordages que j’avais volontairement laissé pendre.
Vu que je ne pouvais pas rouler, je comptais me faire tracter par Lævateinn ! J’ordonnais donc a la voix au cheval de partir, et le vélo suivit le Pokémon. Quelle bonne idée c’était, cela permettait a Lævateinn de se défouler. Quand je voulais tourner, je n’avais qu’a tirer légèrement sur la bride, pour que le cheval comprenne. C’est ainsi qu’on se « traina » jusqu’à l’entrée de la piste cyclable. Ils tirèrent une bonne tête, les gardiens, mais me laissèrent passer. Non, je n’avais pas eu a avancer leur salaire du tout. Nous remontions donc l’ensemble de la zone, et je fus surpris de la volonté du poney. Il fallait dire que s’il me lachait a ce moment la, j’étais bon pour trois chose : terminer en bas de la piste, avec un vélo pas fait pour les grande vitesse, et sûrement que je gagnerais Céladopole, mais en voiture, dans une ambulance.
Finalement, le cheval gagna le sommet de la côte, et a la sortie de la piste, je laissais quelques heures au cheval pour se reposer, nous avions bien galopé, et il avait tout ces droits. Finalement, nous terminions le chemin tranquillement, et Jacob tira une tête étrange quand il vit arriver mon étrange attelage.