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 — "Il ne faut pas craindre la mort, elle faiblit parfois plus facilement qu'on ne le pense."

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2 participants
AuteurMessage
Ayaline Y. Tsukino
À fleur de peau
Ayaline Y. Tsukino


Région : Sinnoh
Classe : Vagabonde
Féminin
Nombre de messages : 468
Age : 26

Feuille du personnage
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Objet du sac:
Pokémon PC:
— "Il ne faut pas craindre la mort, elle faiblit parfois plus facilement qu'on ne le pense." Empty
MessageSujet: — "Il ne faut pas craindre la mort, elle faiblit parfois plus facilement qu'on ne le pense."   — "Il ne faut pas craindre la mort, elle faiblit parfois plus facilement qu'on ne le pense." EmptyDim 24 Nov - 14:37


Comment tu t’appelles ? Ayaline Yatomi Tsukino.
Superbe prénom, et t'as quel âge ? J'ai 16 ans.
Dans quel région es tu actuellement ? À Sinnoh, je présume..
Ah au fait, c'est quoi ton métier exactement ? Mon métier ? ... Aucun. Je vagabonde ou plus précisément, je fuis.
Et quel est ton Pokémon ? "Mon" pokémon se trouve être un Zorua.

Okay, et dis moi à quoi tu ressembles maintenant. 5 Lignes complètes demandées

         Les apparences peuvent être trompeuses, certes, sauf que c'est l'exception qui confirme la règle.
Ayaline est une jeune fille aux premiers abords fragile, timide et instable, c'est touché le mille. Une silhouette élancée et une taille d'une banalité consternante, ce qui l'est moins c'est sa posture et ses manières: les épaules légèrement voûtées, repliées contre le reste de son corps, aussi longiligne qu'une allumette. Souvent la tête ancrée dans les épaules et les bras croisés sur sa poitrine, on serait vite porté à croire que cette frêle mortelle est parcourue d'un sang tellement froid qu'il la congèlerait intérieurement. Elle se protège. Contre les maladies, contre la sociabilisation, contre la société, contre d'éventuels agresseurs, contre la mort.. Mais là n’est pas la question.
Ayaline est dotée d'une longue chevelure rousse, si foncée qu'on pourrait qualifier rouge, qui lui tombe en cascade dans le dos, des myriades de mèches s'éparpillent en tout sens et lui tombe au niveau des cuisses. Une épaisse mèche lui cache l’œil gauche, mais ce n'est pas bien important, non que ses yeux soient laids, - ce qui n'est aucunement le cas pourvus de leur couleur vert-d'eau - seulement, ses prunelles ne transmettent qu'un gouffre interminable, n'émanent aucune lueur d'espoir ni de joie, trahissant de nombreuses années de solitude et d'enfermement, comme si les maintes larmes qui avaient perlés sur ses joues avaient fait fondre l'éclat coloré de ses yeux.
Un teint de peau très pâle, considérable à la porcelaine, un nez fin et des pommettes dessinées à cause de ses fréquents rougissements. Ses habits sont très simples, pourtant, un détail est assez tape-à-l’œil, elle ne porte que des robes ou tuniques. Elle s'habille avec les moyens du bord, en ce moment, il s'agit d'une simple robe rose pâle qui lui tombe aux épaules, assez chaude et qui lui tombe au-dessus des cuisses, avec de longues manches qu'elle ne cesse d'étirer pour couvrir ses mains. Elle porte un collant brun et de petites bottines fourrés, en clair, ce qu'elle a réussi à soutirer de l'orphelinat.
Et comment tu te comportes seule, avec les autres... 5 lignes complètes demandées

         "Avec les autres".. Et bien, pour savoir ce qu'il en retourne, aurait-il déjà fallut voir notre intéressée en pratique, ce qui est actuellement très rare. En effet, depuis sa tendre enfance elle loge dans un orphelinat, rien qu'à cette information, on serait vite porté à croire que la sociabilisation est le cadet de ses soucis, malgré tout, Ayaline n'a jamais été une personnalité ouverte et en quête de nouvelles rencontres, c'est tout le contraire. Quand elle est arrivée dans l'orphelinat, elle esquivait tout contact physique, détournait les yeux quand on la regardait, elle cherchait même à s'isoler des autres, au point de manger seule à l'heure du repas, de rester prostrée dans son lit en fixant les fissures du mur tandis que ses camardes jouaient ensemble. Tout bien réfléchi, elle parle très peu, se contentant de hocher la tête pour un oui ou pour un non. Le timbre de sa voix est faible et lent, aussi doux qu'un murmure. Ayaline est donc d'un tempérament craintif et timide, évitant les relations humaines et cherchant toujours la solitude à l'entraide. Dans son orphelinat, elle était considérée comme une ratée, une "folle", il ne passait une journée sans que vrille une insulte, que tonne des ricanements, que coule une larme.
Cependant, Ayaline n'a plus réellement toute sa tête, cet enfermement social lui est monté à la tête, une perte chère et douloureuse a entraînée des troubles obsessionnels compulsifs, sans cesse elle voit cet être, cette ombre infâme et persistante... La jeune fille a développé une peur constante et maladive, des soubresauts, des tremblements incontrôlés, des yeux fuyants.
Malgré tout, Ayaline prends de plus en plus sur elle, dans sa dernière année au pensionnat, ses TOC n'ont pas disparus, loin de là, mais son tempérament s'est calmé et refroidi, devenant parfois glacial et tranchant.
Qu'as tu à me raconter à propos de ton passé ? 10 lignes complètes demandées

         Son passé... Étant à ce stade de sa description, inutile de vous précise qu'il n'a pas été des plus florissant.
Commençons par le commencement, Ayaline a perdu ses parents très tôt, enfin d'après les nombreux dires mais surtout car elle s’est retrouvée dans un orphelinat à l'âge de 4 ans. Elle avait un frère, plus âgée qu'elle de 3 ans, ils étaient très proches depuis toujours, se soutenant dans leur détresse. Les années passèrent, l'orphelinat se détériorait à vu d’œil, à chaque coup de vent, on sentait la charpente osciller, les murs trembler, les bourrasques s'infiltrer sous les bas de porte.  Les deux frères et sœurs n'ont jamais vraiment été proches des autres pensionnaires, ils préféraient s'isoler dans un coin annexe où le silence était roi. Ayaline venait d'avoir ses 14 ans, Itô en avait donc 17. Comme toujours après les cours, ils se rejoignaient dans leur planque, l'endroit était de plus en plus difficile d'accès à cause des poutres qui s’étaient affaissées, le tonnerre grondait et de sourde bourrasque frappait la paroi externe du bâtiment. Peut-être n'auraient-ils pas dû. Les murs s'ébranlaient de plus en plus, la tempête se déchaînait, Ayaline et Itô avaient échangé un regard, cet instant serait gravé à jamais dans la tête de la jeune fille. L'orphelinat voyait ses locaux se détruire à petit feu, de nombreuses dettes s'accumulaient sans que rien ne se passe, mais en cet instant, ils s'avaient tout deux que la limite était franchie.
Au-dessus de leur tête, les poutres restantes se mirent à vaciller à vu d’œil, lâchant une fine poussière qui vint s'écraser au pied d'Ayaline, cette dernière se redressa vivement, lançant un regard inquiet à son frère qui demeura interdit. Cette seconde d'hésitation fut fatale, suite à un à-coup, la poutre se détacha de la charpente en un bruit sourd, entraînant avec elle des myriades de saleté et de poussière ainsi que des bouts de bois qui dégringolèrent, le toit du bâtiment annexe s'effondrait, affolée, Ayaline eut seulement le temps de voir Itô  faire volte-face, de l'attirer vers lui et la propulser en direction de la sortie, sa tête percuta violemment une poutre qui barrait l'entrée depuis quelques temps, elle perdit connaissance.
Ayaline demeura inconsciente pendant une bonne semaine, à son réveil, elle se trouvait dans un hôpital, un Leveinard fixait sur elle un regard bienveillant, elle se dressa sur son lit, choquée, croiser un pokémon à l'orphelinat était rare, une infirmière vint lui expliquer la situation une fois ses esprits remis. Le bâtiment annexe à l'orphelinat, trop fragile pour supporter la tempête, s'était effondré, elle lui dit aussi qu'Ayaline eut de la chance qu'on la retrouve. Elle s'empressa de quérir des nouvelles de son frère, l'infirmière ne répondit pas, elle baissa la tête et prit une inspiration, quelque chose attira le regard de la rousse par delà l'épaule de la soigneuse, une ombre noire lévitait  dans l'obscurité, elle ferma les yeux et frissonna, son regard croisa celui peiné de l'infirmière et il n'en fallut pas plus à la jeune fille pour admettre la fatidique vérité, son frère était mort.
    Après qu'elle soit totalement remise de ses blessures physiques, elle revint à l'orphelinat, la vie reprit son cours, malgré que c’est à cette période que ses troubles apparurent, ses moments d'absences, son isolement par rapport aux autres, les remarques de ces derniers, la peur constante de la mort, et aussi étrange soit-il, cette ombre qui ne cessait d'apparaître dès qu'elle se trouvait dans le noir.. Était-ce son imagination ? Devenait-elle vraiment folle ? Une forme plutôt ronde, des yeux malsains et un sourire pourvu de deux petites dents à faire froid dans le dos. Elle se cachait le visage avec ses mains dès qu'elle le voyait, contrôlant sa respiration malgré ses tremblements, quand elle les rouvrait, l'ombre disparaissait.
Les années passèrent, Ayaline avait désormais 16 ans, voilà deux ans, jour pour jour que son frère avait quitté ce monde. La première année, elle n'avait pu fermer l’œil de la nuit, de même que cette fois-ci, l'ombre se dessinait au coin de la porte, lévitant et ondulant doucement, Ayaline n'avait plus peur d'elle, elle la fixait depuis de longues minutes, allongée sur son lit. Elle ne sut dire comment, mais durant une seconde d'inattention, elle perdit l'ombre de vue, alertée, elle se redressa en position assise sur sa couette, ses longs cheveux tombant sa chemise de nuit, elle tourna la tête derrière elle, les autres dormaient à poings-fermés, profitant de la situation, elle ouvrit la porte et sortit. Une fois dans le couloir, l'ombre se dessinait nettement dans la clarté lunaire de l'encadrement d'une fenêtre, offrant des reflets violacés, la rousse voulut la rejoindre, mais la forme semblait impossible à rattraper, avançant toujours plus vite et traversant le pensionnat jusqu'à la fin du bâtiment, le coin annexe.. Les yeux de la jeune fille se posèrent sur ce paysage, le toit avait été refait avec les moyens du bord, pourtant de nombreuses poutres barraient encore l'entrée. À tâtons dans la pénombre, Ayaline s'avança de quelques pas, parcourut du bout des doigts un mur à la paroi glaciale, elle entra dans la petite planque, ses yeux s'étaient désormais habitués à la pénombre mais à sa plus grande surprise, l'ombre n'était plus là. Un bruit de pas, lent et régulier se posait sur le sol, hébétée, la rouquine resta silencieuse durant quelques secondes, craignant même de respirer, elle prit une grande respiration et se retourna, son cœur manqua un battement.
Son frère se trouvait devant elle, il n'avait pas changé d'un poil, les yeux d'Ayaline se posèrent sur ses vêtements, les mêmes que le jour de l'accident, la jeune fille sentit son pouls s'accéléré, sa main se posa sur son visage, réprimant un lourd sanglot.
« Ayaline. »
La voix semblait lointaine, comme si le son ne provenait pas de la bouche d'Itô, résonnant comme un écho contre les parois du bâtiment. La rousse n'osait regarder son frère droit dans les yeux, trop effrayée.
« Quitte cet orphelinat, évade toi. »
Elle hoqueta, surprise, pourquoi voulait-il qu'elle fuit ? Ayaline n'avait aucune endroit où loger, rien à se mettre sous la dent. Elle fixa bêtement ses pieds, se demandant s'il s'agissait d'un rêve. Quand elle redressa la tête, son frère avait disparu. Elle courut jusque dans sa chambre, plongea dans son lit, et étrangement comparé à l’accoutumé, ne versa aucune larme.
Le lendemain, les paroles ne cessèrent de la tourmenter, jour comme nuit, c'est après une semaine sans dormir qu'elle se décida enfin. Assise sur le rebord de son lit, elle étira les bras pour attraper son sac à dos, vira les quelques livres de cours qui y était et s'aventura hors de sa chambre. La rouquine rejoignit la cuisine au pas de course, armée de sa lampe de poche qu'elle jeta dans son sac et prit bon nombre de barres de céréales et de viandes séchées, ainsi qu'une grande gourde d'eau, elle prit aussi un couteau qu'elle trouva sur le plan de travail ainsi que du bandage et des pansements dans une armoire voisine et retourna à la chambre. Elle enfila sa robe de tous les jours ainsi que ses bottines fourrées, un caban et un bonnet, sans oublié le nœud papillon qu'elle portait toujours au bras. Ni une ni deux, elle ressortit de la pièce. Son seule soucis était désormais de trouver comment sortir de ce foutu bâtiment. L'ombre se matérialisa au fond du couloir, pointant vers elle ses yeux grands ouverts, sans réfléchir, Ayaline courut la rejoindre, à sa grande surprise, elle la mena droit vers le coin annexe, lévitant contre un velux à deux mètres de hauteur. Comment voulait-elle que la rousse parvienne à sortir ? Un élément au sol attira l'attention de cette dernière, une poutre reposait au sol, coincée dans l'angle, elle pourrait aisément l'escalader pour atteindre son objectif, ce qu'elle fit non sans mal, la surface lisse n'offrait aucun point d'appui, elle du s'accrocher de toutes ses forces aux extrémités pour attraper ensuite la anse du velux, -tellement stupide de laisser une fenêtre avec possibilité de l'ouvrir- Ayaline tira et elle s'ouvrit, elle se glissa à l'extérieur, la caresse de la nuit balaya ses cheveux en bataille et s'infiltra dans ses narines, elle savoura le doux parfum de la liberté. Néanmoins, le toit était raide, elle s'avança prudemment jusqu'à la gouttière, prit une grande inspiration et sauta. Malheureusement, elle se réceptionna très mal, sur le pied gauche et roula sur le côté, sa cheville la lançait et lui infligeait une douleur atroce, elle grimaça, tenant fermement son pied entre ses mains, accroupie. L'aube menaçait de pointer à l'horizon, il fallait qu'elle fuit au plus vite, elle avait laisser des traces et ils ne tarderaient pas à lui faire chasse.
    Ayaline courra comme elle le put, boitillant comme un animal blessé et haletante. Elle se posa sur un rocher, dans une petite clairière, elle avait traversé une bonne partie de la forêt, son estomac criait déjà famine et alors qu'elle ouvrait son sac à dos, un imperceptible mouvement attira son attention, elle se redressa rapidement, tous sens en alerte, l'ombre fit son apparition, se positionna face à elle, et à sa plus grande surprise, fut parcourue d'une lumière blanche, et se transforma en son frère, bouche bée, la rouquine en laissa tomber son sac à terre, tendant la main vers le visage d'Itô qui.. s'effaçait aussitôt, elle baissa les yeux, peinée, quand son regard croisa celui d'un petit renard rouge et noir, il s'agissait d'un pokémon et il lui semblait l'avoir déjà vu quelque part.. Zorua.

As-tu repéré le code dans le règlement ? Ok by Lili
Comment as-tu trouvé notre forum ? J'y étais inscrite par le passé. ^^
Qui est le personnage sur ton avatar, d'où provient-il ? Flaky, Happy Tree Friends.


Dernière édition par Ayaline Y. Tsukino le Dim 24 Nov - 15:28, édité 1 fois
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Lilianne O'Connord
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MessageSujet: Re: — "Il ne faut pas craindre la mort, elle faiblit parfois plus facilement qu'on ne le pense."   — "Il ne faut pas craindre la mort, elle faiblit parfois plus facilement qu'on ne le pense." EmptyDim 24 Nov - 14:44

Bienvenue bienvenu ! Tout est parfait à l’exception d'un partie du code qui manque. Une fois que tu l'auras trouvé, nous pourrons te valider !

Edit : Eh bien il me semble que c'est bon, je te valide ! Zorua connait les attaques Griffe, Groz'Yeux, Poursuite ainsi qu'une attaque de repro de ton choix. Tu peux dès à présent faire ta carte de dresseur et aller recenser ton avatar. Bon jeu ~
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— "Il ne faut pas craindre la mort, elle faiblit parfois plus facilement qu'on ne le pense."
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