Mission de Redemption de dernière minute

Une fois sur le bateau, je profitais agréablement de la brise, c’est vrai, cela faisait du bien de sentir un tel vent, alors que je passais mon temps sous la pluie ou sous un soleil terrible. Je gonflais mes poumons de cet air frais, qui s’infiltrait partout dans mes vêtements, et me donnais presque l’impression de pouvoir voler. Cependant, après avoir pris une nouvelle gorgée, je me demandais si c’était réellement correct, ce que j’avais fais, vis-à-vis Andréas. Après tout, j’étais parti, sans avoir eu le temps de le chercher. Mais s’était pas necessité, je ne devais pas rester a Johto, sinon j’allais avoir de gros problemes… Oui mais c’est mon pote…
Mon Pote ? Depuis quand j’avais des amis humains moi ? Depuis quand je pouvais être chaleureux avec quelqu’un… ? Depuis… Depuis qu’il était ici. Depuis qu’il était dans ma vie. Et je ne pouvais pas l’abandonner comme ça. Pas question. D’autant plus que le gamin était encore sous le choc de nos aventures. Non, décidément, je pouvais pas le laisser derrière. Je fis le tour du bateau, afin de me mettre sur le pont arrière, et je fis apparaitre Lokhlass dans l’eau. Elle se fit rapidement distancer par le bateau, mais ce n’était pas grave. Moi, je me mit debout sur la rembarde, et, faisant fis des gens autour de moi, je sautais dans l’eau, espérant aller assez loin pour ne pas finir broyer par les propulseurs du bateau.
J’entrais rapidement dans l’eau, et restais sous la surface un moment, afin de rejoindre Lokhlass plus rapidement. Mais finalement, ce fut la sirène qui me récupéra, et qui me hissa sur son dos, en ayant plongé en dessous de moi, et en ayant remonté en me posant sur son dos. Une fois a flot, je regardais le bateau s’en aller, avant de revenir vers Johto. Non décidement j’avais bien fais. Je m’assis, tout en caressant ma belle des mers. Elle était a bout de force, mais elle était toujours aussi magnifique.

-Tu es magnifique Lokhlass, je suis ravi que le destin ait fait croisé nos chemin.
-Looooooooh.

Je souris, et lui caressa la nuque, alors que la plage de Ville Griotte se redessinait au loin.

Lokhlass continuait a fendre les flots tranquillement, et moi, je me perdait dans des pensées douces et rêveuse, a l’image de celle des enfants. JE me voyais capitaine de bateau pirate, régnant fièrement sur son vaisseau, prêt a conquérir le monde a coup de laser Glace et autre attaque Tonnerre. Cependant cette chimère s’effaca bien vite pour me ramener a la réalité. EN effet, au loin je vis les bateau de la police. Eh merde. Mon premier réflexe, fut celui de donner l’ordre a Lokhlass d’utiliser Laser-Glace. Mais après quelques seconde je me retins. Faire cela aurait été d’aggravé ma peine, et je n’avais pas envie de continuer ainsi.
Le bateau arriva a mes cotés, et Lokhlass ralentit, méfiante. JE m’approchais d’elle, et lui caressais la tête doucement, tout en essayant de la rassurée. Après quelques secondes je remarquais que tout le régiment était au rendez vous, et qu’ils m’avaient tous en joue, et les dizaine de reflet de soleil me confirmais que je n’étais pas de taille a lutter. JE soupirais, avant de regarder les policier, avant de sauter dans l’eau. Mais je n’allais pas loin, je ressorti quelques mètres plus loin, avant de me tourner vers Lokhlass, pour la rappeller dans sa pokéball. Une fois la sirène en lien sur, je me servis de l’eau pour dissimulé mes pokéball, dans mon sac, et les remplacées par des pokéball vide. Ainsi, s’ils me prennent juste mes pokeballs a la ceinture, je ne serais pas séparé de mes compagnon.
Ceci fais, je nageais jusqu’au bateau, et je grimpais a bord a la force des bras, vu qu’ils refusaient de me filler une corde. Une fois a bord, je laisse mon modérateur décrire l’accueil qu’ils m’ont réservé

[La suite :3]

Et quel accueil, woaw, je n’avais jamais vu un accueil aussi chaleureux. En effet, a peine était-je de retour sur mes deux pieds, que les hommes se dépêchèrent de m’enlever ma ceinture, je dûe même retenir mon pantalon en grognant, puis ils m’enlevèrent bâton et sac dans le même mouvement, avant qu’un homme ne vienne me faire une fouille au corps. Bien évidemment, je faisais tout pour ne pas lui faciliter la tache : rendez moi ma ceinture ! Après un grognement afin de retenir toutes les insultes de mon vocabulaire, j’écoutais l’homme en face de moi m’étaler mes méfait sur le coin du nez.
A peine eut-il terminé, que je ne pû m’empêcher de répliquer :

-Et tout ce que je pourrais dire sera retourné contre moi, c’est ça ?

Après un ricanement, l’homme m’expliqua mes droits, et après un looooooong soupir blasé, je regardais la lune qui se levait sur l’océan, comme si celle-ci pouvait répondre a mes questions. Après quelques seconde, je replantais mon regard dans l’homme en face de moi en disant :

-Très bien. Mais rendez moi mon Sac et ma ceinture, et j’obeirais sans sourciller.

Je n’étais pas en position de donner des ordres, mais je ne comptais pas descendre de ce bateau sans avoir récupéré ma ceinture. Pas question. Après quelques seconde, je songeais a Andréas, que dirait-il en me voyant… Oh, sûrement qu’il avait dû prendre la fuite quand les policiers étaient arrivés, ou bien il était planqué dans un coin, en espérant que tout se passe bien pour lui. Après un grognement je défiais du regard tout les types autour de moi de m’approcher. J’étais peu être désarmé et dans la plus ridicule position qu’il soit, je n’allais pas m’écraser comme une fillette. J’avais encore mes poings et mes pieds, et je pouvais encore casser des nez et briser des testicules.

Je n’ai jamais aimé les humains. Jamais. Même lorsque j’avais mes parents et compagnie, je n’ai jamais aimé les autres. Et ces types faisaient tout pour renforcer cette inimitié. Quand on se saisit de moi, je cherchais a me débattre, a me libérer de leurs prise, cependant je m’immobilisais quand je vis la seringue, avant de me forcer a ne pas bouger, le temps qu’ils m’injectent leur merde. Je grognais, avant de me debattre a nouveau, pendant que le type m’expliquait que ce n’était rien. Heureusement que les type me tenaient bien, parce que sinon j’éclatais mon poing dans la gueule du type. JE grognais, avant de récuperer mon Sac et ma ceinture.
Tout en snobant magistralement le type je me rhabillais, remis mo sac sur mon dos, avant de faire apparaite Lokhlass dans l’eau. Pas question de rester une minute de plus en compagnie de ces type, sans quoi j’allais les bouffer. Je plongeais a mon tour, avant de monter sur Loki, en lui disant :

-On va la bas.

La sirene avanca alors que je restais debout sur son dos. JE detestais ces type. S’ils étaient incapable de chopper un dealer de merde, alors ils n’avaient pas a m’embringuer dans leurs histoires. JE grognais, tout en passant ma main la ou il m’avaient piquer. Chaque action qu’ils avaient fait am on encontre me poussais a les detester encore plus. J’allais le trouver ce damné dealer, mais qu’ils ne fassent pas plus chier après. Je grognais, avant de mettre pied a terre, et de rappeller ma Sirène. Après quelques seconde, je ne réfléchis pas, et m’enfoncais immédiatement dans les ruelles sombre. Si je cherchais un dealer, alors autant aller a lui directement.

Sans surprise, il ne faisait pas assez sombre pour que les dealers osent sortir. Je réfléchis rapidement. SI je ne pouvais pas mettre mon nez dans le nid de Noiraude, alors je mettrais mon nez dans le nid de serpent. Et rien de mieux, que d’aller directement me jeter dans la gueule du loup. Il y a trop d’animaux dans cette phrase. Rapidement, je me tournais, avant de continuer a dehembuler dans les rues, a la recherche d’un bar un peu glauque. JE cherchais l’endroit le plus dangereux, celui qu’ils ne laisseraient pas un gosse de mon acabit entrer.
Je ne savais pas encore ce que j’allais faire une fois a l’intérieur, car provoquer une baston générale, même si c’était ma spécialité. Ce n’était pas mon but. Cependant, j’allais devoir me frotter de très prêt a la drogue, et j’avoue que cela me faisais peur. Je n’avais que deux drogues dans ma vie : le froid et les Pokémons. Et ces deux drogues n’avaient aucune incidence sur ma vie. Je n’en voulais pas d’une troisième qui elle, allait me la ruiner. Je grognais, avant de trouver ma cible. Un vieux bar glauque, perdu au fond d’une ruelle. Je souris, avant de m’engager, la capuche sur la tête, même si je m’attendais a me faire tout de suite arrêter par le videur.

Personne ne m’empecha d’entrer. Personne ne vient a ma rencontre poire me demander ce qu’un gosse de mon age venait fourre dans un lieu aussi glauque que celui-ci. Surement devaient ils avoir l’habitude, sois de gamin qui fuguent, soient de gamin qui viennent trouver refuge ici pour ouvoir perdre encore plus de neurone. Maintenant que j’étais potentiellement la pou je devais être, je devais maintenant trouver quelqu’un qui allait  possible, sans quoi la personne allait se poser des questions, et peut être meme se braquer.
Jeèreflechis donc quelques instant, alors que le type au bar me demandais ce que je voulais boire. Je ne pouvais pas ne rien commander, j’allais me faire repérer. Après quelques secondes je répliquais :

-Une bière. Blonde.

C’est a ce moment la que je me rendit compte que l’homme avait les yeux injectés de sang. Pourquoi ? Après quelques secondes, je décidais plutôt qu’aller chercher le type, ce serait lui qui viendrait a moi. Une fois ma bière arrivée, je pris l’air le plus mélancolique qu’il soit, et je pris plaisir a changer mon masque de froideur contre un masque de tristesse. Une fois ce masque parfaitement en placeà il n’y avait plus qu’a attendre.

Cette bierre est deguelasse. Vraiment, le type a du me mettre quelque chose d’autre de jaune dans mon verre, c’est pas possible. M’enfin, plutôt que boire, je faisais attention a mon environnement, et celui-ci évoluait doucement au fil des heures. Après quelques heures passées assit a mon comptoire, je me rendit compte, d’un coup, que la clientelle avait changé, doucement mais sûrement. C’était toujours les même bouseux crasseux et vaseux, mais ils n’avaient plus les mêmes têtes. Je souris, avant de me lever, laissant mon verre a l’abandon, je payerais plus tard, il ne fallait s’implement pas que je m’approche de la porte de sortie.
Je me mis a fouiner dans le bar, discrètement, passant près des tables de billards, et faisant mine de m’interessé au jeu qui était en train de jouer, je regardais autour de moi, le bar d’un nouveau point de vue.  Je repérais les toilettes, mais entre nous, ce n’était pas ça qui m’interessais. Tout en abaissant mon regard vers la table, j’écoutais les conversations plus ou moins lointaines. Il y avait des conversation banales, a propos d’un Pokémon de compagnie, mais d’autre conversation bien plus interessantes, mais dont je ne parvenais pas a saisir le fond. Finalement, au fur et a mesure de ma contemplation, je repérais une porte, ou un type était a coté.
Je souris, avant de quitter la table de billard, et de retraverser le bar. Après quelques instant, je m’approchais tranquillement de la porte, les mains dans les poches.

[Jack repère une porte suspecte autre que la porte des toilettes]

Un placard a balais, raté. JE gognais, et alors que j’allais me retourner, je vis le barman arrivé. Je soupirais, j’allais passer un sale quart d’heure. Après quelques seconde, l’homme me rappella a l’ordre, et, avant de lui répondre, je basculais sur mes pieds, afin d’apercevoir ledit pochetron. Après un regard blasé, je regardais le barman, avant de baisser d’un ton, et de demander tout bas :

-Dites moi, pourriez vous me dire ou je pourrais trouver un donneur de rêve ? Ceux qui vendent la poudre blanche. JE suis nouveau dans la ville, et je commence a être en manque.

Et, comme je savais qu’il allait pas me filler un nom comme ça, je m’approchais de lui d’un pas, et murmurais, au creux de son oreille, tout en passant le bout de mes doigt sur son ventre, avec un eptit sourire lubrique :

-J’ai des arguments très convainquant, pour vous convaincre, vous savez.

Je me reculais, tout en retirant ma main. Au fond de mon j’étais complètement dégoûté de mon comportement, mais avec ce genre de gens, il n’y avait que la corruption qui fonctionnais. JE souris, avant de me pourlecher les lèvres, tout en abaissant mon regard vers l’aine de l’homme, tout en lui offrant le regard le plus perverti que j’avais dans mon repertoire.

Oui, en effet, si tout le monde n’était pas sexuellement perverti, tous étaient pervertis par la violence. Et mon nez en avait douloureusement fait les frais. Tout en le tenant d’une main, et en me retenant au mur de l’autre, je regardais le type qui se massait nonchallament le poing. Ah ouais, il y avait mis toute sa force en plus… Je grognais, avant de regarder ma main : je saignais du nez, et celui-ci me faisait douloureusement mal. Je grognais, avant d’attraper un chiffon qui trainait, et l’appliqua délicatement contre mon nez qui était en train de se vider de tout ce qu’il avait.
L’homme me menaca, en me disant tout de même ou je devais aller. JE grognais, au moins je n’aurais pas a coucher pour progresser dans cette hsitoire, même si j’aurais bien voulu garder mon nez. JE grognais, avant de m’écarter du mur, pendant que le type m’indiquait les toilettes. Une fois le type parti, je marmonais, a l’attention des petites machines dans mon bras :

-J’espère que vous avez entendu ça.

Ceci fait, je m’approchais de la sortie, et fermais la porte derrière moi, inutile de laisser la remise ouverte, puis je me dirigeais vers les toilettes : ça faisais un mal de chien, grand dieu.

Quelle surprise, je venais de quitter un bar miteux, pour rentrer dans un… hotel ? Luxueux… ? Je grognais, tout en me tenant le nez, avant de regarder le type. Serieusement, qu’est-ce que j’irais a foutre dans un casino, alors que je suis sencé chercher de la drogue… Je m’avancais de quelques pas, l’ambiance cosie m’oppressais. Je n’avais pas l’habitude d’un tel luxe, moi l’enfant des bois et de la neige. Je regardais le type, avant de dire, ma voix pincée par l’absence de nez :

-Barlez boi des brix, s’il vous blait. Et exbliquez boi quel est cet endroit, aussi…
T : Parlez moi des prix, s'il vous plait. Et expliquez moi quel est cet endroit, aussi

En effet, malgré toute l’imagination du monde, je ne parvenais pas a concevoir qu’un casino se planque derrière un vieux bar pourri… Je m’avancais encore de quelques pas, et pris connaissance de mon environnement, sans oser non plus trop avancer, presque intimider…

Un casino, sans surprise. Je regardais autour de moi. Je ne pouvais pas rester ici trop longtemps, avec mon nez cassé, valait mieux pour moi d’aller plus vite a l’hopital, plutôt que m’attarder ici. Cependant, plutôt que faire demi tour et partir, je restais a contempler cette zone. Je souris, avant de me tourner vers la femme, en disant :

-Je souhaite barler a botre batron. J’ai un très bon blan a lui broboser
T – Je souhaite parler a votre patron. J’ai un très bon plan a lui proposer.

Je me demandais si je ne devais pas abandonner les flics, révélé toutes mes actions a ce type, pour me faire blinde de pognon, et… Oui, mais dans ce cas là, j’étais bloqué a Johto, et ce pour encore un bon moment. Mais d’un coté, je me disais que les gens qui venaient ici, devaient sois en avoir besoin, qu’importe le besoin, sois ils en vivaient. Après tout, que deviendraient ces danseuses, qui auront perdus leurs emplois, ou même les gens qui vivent des jeux ici ? Je regarda autour de moi, avant de m’avancer un peu.
Que faisais un gosse de ma trempe ici ? J’étais encore surpris qu’ils acceptent des gens de ma trogne ici, après tout, quel était l’enfant, qui n’avait jamais cherché a ouvrir une porte fermée rien que pour voir derrière. Okya, je n’étais pas petit en taille, mais j’en voyais dans la salle, des jeunes de mon âge, et je me demandais sérieusement quel âge ils pouvaient avoir réellement. Cela me rappellais cette pub d’Orangina, ou les sites protégeaient eux même leurs droits, et que les sites pornos étaient symbolisés par un aveugle. Je regardais alors la demoiselle, en attendant qu’elle accède a ma demande.